La perte de tout lien avec l’histoire de la France, de notre France, toute compréhension de la symbolique nationale, tout respect dû à nos morts pour la France, tout contact avec un peuple Français déjà mort à leurs yeux est tout simplement une faute morale commise par cette dictature socialiste au pouvoir, signe d’une crise majeure, aube de la fin de leur régime républicain aux abois.
En effet, pour eux, il n’existe plus que l’Europe, espace ouvert, grand ouvert même, à une mondialisation inscrite dans le sens de leur histoire et qui ne pourra être bien évidemment qu’heureuse !
Quand l’individu aura été enfin réduit au consumérisme, que les raz-de-marée-migratoire auront imposées le multiculturalisme et qu’un cosmopolitisme rêvé nous fera vivre au sein d’une mosaïque de communauté rendues d’autant plus agressive les unes envers les autres que chacune aura le sentiment, d’ailleurs exact, d’être menacé par les autres.
Aujourd’hui commémorer VERDUN, c’est en évacuer sa dimension tragique. Il leur faut absolument clore ces commémorations par un concert, mais pas n’importe lequel, un concert de rap que devra coûte que coûte être festif. Pourquoi un final sous forme de fête ? Eh bien tout simplement pour empêcher à tout prix les jeunes générations Françaises de connaître et comprendre le sacrifice de leurs aînés morts sur le champ de bataille.
Mais nos grands anciens ne sont pas morts pour des idées creuses, vides de toutes substances comme celles que détiennent nos politiques actuels, mais pour leur pays car VERDUN n’est pas qu’un lieu, pas qu’une date commémorative, c’est le symbole d’une génération sacrifiée pour l’avenir de notre Nation, la nation française !
François Palaffittes
C’est le 17e qu’on appelle dorenavant « la petite Jérusalem », ce n’est plus Sarcelles. Cet arrondissement parisien est si prisé par la communauté que le Consistoire y prepare un grand « Centre Européen du Judaïsme ».
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