« Pour que la petite et la grande propriété puissent faire appel au ministère de l’or sans avoir à le redouter comme arbitre de tout, il faut que l’État soit assez puissant pour dominer l’usure, assez sage pour modérer le fisc et le proportionner aux intérêts de la fortune nationale, celle qui est incorporée au sol, enfin assez maître de soi pour ne rien demander à l’élection démocratique. »
Charles Maurras