Le défilé en mémoire de Clément Méric, tué par accident alors qu’il attaquait des nationalistes il y a trois ans, a tourné à l’affrontement entre dégénérés antifas et forces de l’ordre samedi à Paris. 90 personnes ont été interpellées après que des militants ont jeté des projectiles sur les policiers, qui ont répondu à l’aide de gaz lacrymogènes.
Parmi les interpellés, quatre personnes avaient été placées en garde à vue : une pour outrage et rébellion, deux pour participation à un attroupement armé après sommation, et une pour participation à un attroupement armé après sommation et refus de se soumettre au relevé d’empreintes.
C’est aux cris de « on n’oublie pas, on n’oublie pas », « tous les flics sont des bâtards », « tout le monde déteste la police », « pas de fachos dans le quartier, pas de quartier pour les fachos », que le cortège, qui rassemblait quelques centaines de personnes, s’est mis en marche peu après 14 heures 30. Mais alors qu’ils devaient défiler de la place de Stalingrad à Ménilmontant, les manifestants ont rapidement rejoint le quai de Valmy, tout proche, et les violences se sont faites de plus en plus nombreuses. Décision a alors été prise par le préfet d’interrompre la manifestation.
Les militants de l’anti-France ont lancé des bouteilles en verre, des fumigènes sur les forces de l’ordre qui ont répliqué en lançant des gaz lacrymogènes et chargé sur le quai de Valmy. Le bilan des dégradations fait état de plusieurs véhicules renversés dont un appartenant à la mairie de Paris, de nombreux tags, d’un feu tricolore détruit, de deux vitrines brisées et quatorze fragilisées. Il faut noter qu’il n’y avait pratiquement que des blancs, comme toujours, alors qu’ils se revendiquent d’une « culture métissée » et prônent la mixité… Les idiots utiles de l’établissement.
Les antifascistes, complices du système, ont tous été relâchés.