Coup de filet chez Lycamobile impliquant un haut représentant du judaïsme politique
Le Parquet National Financier a annoncé dans un communiqué avoir mené un vaste coup de filet autour et dans l’entreprise de téléphonie Lycamobile. 19 personnes ont été arrêtées à Paris et en région parisienne et 9 d’entre elles ont été mises en examen vendredi, soupçonnées de blanchiment et d’escroquerie à la TVA pour des montants portants sur plusieurs dizaines de millions d’euros. Les mises en examen de vendredi portaient sur des présumées transactions illégales s’élevant à un total de 17 millions d’euros, mais les enquêteurs sont également mobilisés sur des paiements suspects représentant un total de 75 millions d’euros. En pratique des centaines de milliers d’euros auraient atterris chaque semaine sur les comptes bancaires du groupe en provenance de versements en liquides ou de diverses sociétés sans existence réelle couvrant donc des activités illicites.
Jusqu’à aujourd’hui les médiats français s’illustrent par un grand silence sur cette affaire. Serait-ce parce qu’un haut représentant du judaïsme politique est impliqué et pourrait avoir un rôle central dans le dossier : Alain Jochimek, directeur général France de Lycamobile, a donc été mis en examen pour « blanchiment d’argent » lié à la criminalité et « escroquerie à la TVA ». Jochimek est un représentant officiel du Crif, Conseil Représentatif des Institutions Juives de France et vice-président délégué du B’naï B’rith France (la « franc-maçonnerie » juive).
Jochimek est aussi le patron ayant recruté et fait venir en France le Marocain Ayoub El Khazzani qui s’était illustré par l’attaque du train Thalys du 21 août 2015. Coïncidence ?