Saint Bruno, confesseur
Sommaire :
Actualité nationaliste Europe
- Communiqué de Hervé Van Laethem
France
- Bretteville-sur-Laize : l’ex-maire poursuit ses administrés pour incitation à la haine raciale
- Larossi Abballa, le terroriste islamiste de Magnanville enterré au Maroc
- Thierry Mugambi,multirécidiviste Rwandais, condamné pour des violences au Havre
- Une vingtaine de clandestins Albanais, installés dans un squat
- Farid et Nordine s’introduisent dans un foyer et agressent le vigile
- Un Marocain menace d’égorger le procureur au tribunal de St-Nazaire
- Quenelle devant l’école juive : Jo le Corbeau s’explique…
- Jean-Marie Le Pen : « Et ça veut gouverner la France, ça ? »
Etranger
Europe
- La FIFA inflige une amende de 27 000 euros aux Italiens pour un salut européen
- Italie : invasion record, plus de 10 000 envahisseurs rapatriés en Europe en 48 heures
- Belgique : 2 policiers poignardés dans une attaque terroriste à Bruxelles
- Allemagne : cyber-attaque militaire pour libérer une otage en Afghanistan
- Espagne : opération antiterroriste conjointe avec l’Allemagne et la Belgique
Monde
- Pour le rabin (((Pinchas Goldschmidt))) les juifs quitteront l’UE si terrorisme islamique et antisémitisme ne cessent pas
- Judaïsme politique : les petits privilèges du milliardaire Ronald Lauder en Israël
- Syrie : le convoi humanitaire onusien bombardé serait une mise en scène
Vidéo
- Qui est Vladimir Zéev Jabotinsky ?
Kiosque
- Rivarol n° 3252
Ephéméride nationaliste
- 6 octobre 1931 : fondation du Verdinaso
- 6 octobre 1936 : mort de Gyula Gömbös
- 6 octobre 2007 : mort de Serge de Beketch
Agenda
- Madrid : Commémorations du 20 novembre
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Actualité nationaliste Europe
Communiqué de Hervé Van Laethem
Les gens de Riposte Laïque (anciens bobos reconvertis dans l’islamophobie), présents à la journée de Synthèse Nationale et qui ont pourtant le mot d’unité toujours en bouche, ont violemment attaqué nos camarades Pierre Vial et Alain Escada dans des articles où l’insulte côtoie le procès en sorcellerie ! Et ceci car les discours de ces derniers ne leur avaient pas plus. Riposte Laïque montre ainsi son vrai visage de chien de garde du mondialisme visant à utiliser les nationalistes comme infanterie coloniale contre les islamistes. Et faire oublier la responsabilité des mondialistes dans la situation que nous connaissons aujourd’hui !
Les choses sont claires : Riposte Laïque est là pour défendre les intérêts du système au sien même du courant identitaire et patriote. Je n’en suis nullement étonné car je n’ai jamais eu la moindre illusion sur ce genre d’initiatives.
Je suis solidaire avec Pierre Vial et Alain Escada et espère que dorénavant, les nationalistes français traiteront Riposte Laïque comme ce groupe le mérite, comme on traite un groupe qui sert les intérêts des mondialistes.
Jeune Nation tient à rappeler que lorsque les gens de Riposte Laïque ne sont pas à des réunions du type de celle de dimanche dernier, organisée par Synthèse Nationale, ils sont présent à des manifestations des juidentitaires ou bien ils sont –notamment- dans les Salons du livres du (((Bnai Brith))) –organisé en France grâce aux aides du CRIF !- en compagnie de la vielle tante Renaud Camus et de la maire Front National d’Hayange, (((Fabien Angelmann)))…
Qui pouvait espérer quelque chose de ces gens qui ne sont à nos côtés que par anti-islamisme primaire et qui font l’apologie de l’entité sioniste ?
France
Bretteville-sur-Laize : l’ex-maire poursuit ses administrés pour incitation à la haine raciale
A Bretteville-sur-Laize, une trentaine d’envahisseurs pourraient être installés dans une ancienne maison de retraite suite au démantèlement programmé de la jungle de Calais. Une décision qui n’a pas réjoui les habitants de la ville. Ces derniers sont persuadés que la mairie s’intéresse plus au sort des clandestins qu’à ses citoyens. Et après l’annonce de l’ouverture du centre d’accueil, une vague d’indignation a déferlé sur la ville. « On va les loger gratuitement. On va leur donner de l’argent, alors que nos jeunes n’ont rien !», s’est exclamée une habitante. Plusieurs commerçants ont affiché sur leurs vitrines des pancartes « Non au centre d’accueil », « Les migrants à Bretteville sans activité = incivilités, vols, agressions, viols, perte de valeur de nos commerces et de nos biens ».
Des paroles de bon sens et une saine attitude de précaution qui a pourtant atterré l’ancien maire, Jean-Jacques Lacoste. « J’ai été choqué. Avec plusieurs amis, nous irons témoigner notre fraternité aux migrants lorsqu’ils viendront. Je suis désolé que de tels débordements se produisent dans cette commune où j’ai choisi de vivre », a-t-il expliqué en précisant qu’il allait porter plainte contre ses administrés pour incitation à la haine raciale. Rien que ça !
Larossi Abballa, le terroriste islamiste de Magnanville enterré au Maroc
Le djihadiste Larossi Abballa, qui a tué en juin un policier et sa compagne à Magnanville (Yvelines) avant d’être abattu par les policiers du RAID, a été inhumé au cours du week-end au Maroc, a-t-on appris de l’avocat de la famille du jeune homme.
« Le Maroc a fait preuve d’humanité. L’autorisation d’inhumer a été donnée jeudi, le corps a été transféré vendredi et il a été enterré au cours du week-end ».
Le djihadiste, dont la dépouille se trouvait jusqu’alors à l’Institut médico-légal de Paris, a été inhumé selon le rite musulman, en présence de sa famille. Sa tombe, dont le lieu exact n’a pas été précisé, n’a toutefois pas été anonymisée. « La famille est apaisée. Ils voulaient en finir, ils peuvent maintenant commencer leur deuil », a ajouté l’avocat.
Larossi Abballa, 25 ans, a assassiné le 13 juin Jean-Baptiste Salvaing, 42 ans, commandant de police, adjoint du commissariat des Mureaux, et Jessica Schneider, 36 ans, agent administratif du commissariat voisin de Mantes-la-Jolie, à leur domicile de Magnanville, sous les yeux de leur fils de 3 ans.
Le père de Larossi Abballa avait simultanément formulé trois demandes d’inhumation au cours du mois de juillet : à Magnanville (Yvelines), où le djihadiste avait été tué lors de l’intervention des policiers d’élite, à Mantes-la-Jolie, où il résidait, et au Maroc. Les deux premières communes avaient refusé de procéder à l’inhumation, ce qui avait conduit la famille à attaquer la ville de Mantes-la-Jolie devant le tribunal administratif de Versailles.
La question a ensuite été transmise au Conseil d’Etat, qui doit se prononcer avant la fin de janvier sur la conformité à la Constitution d’une loi qui oblige les communes à procéder à l’inhumation de ses résidents qui en font la demande. Si le combat judiciaire est désormais devenu purement théorique, la famille Abballa entend le poursuivre « car il a un intérêt juridique », a expliqué son avocat.
La loi prévoit plusieurs cas de figure pour le lieu d’inhumation, selon François Michaud-Nérard, directeur général des services funéraires de la ville de Paris : « Si les familles les réclament, les défunts ont droit à une sépulture à l’endroit où ils résidaient, là où ils sont décédés, ou là où la famille a une sépulture familiale. »
Depuis la vague d’attaques terroristes qui sévit en France depuis 2015, la question de l’enterrement des djihadistes est régulièrement posée, les corps des auteurs des attentats étant bien encombrants pour les autorités.
En août, les maires de Montluçon (Allier) et Saint-Dié (Vosges) avaient indiqué leur refus d’accueillir la tombe d’Abdel Malik Petitjean, l’un des assassins du prêtre Jacques Hamel, égorgé à la fin du mois de juillet à Saint-Etienne-du-Rouvray. Il n’a d’ailleurs toujours pas été enterré. Son complice Adel Kermiche a, pour sa part, été inhumé en toute discrétion dans le carré musulman du cimetière intercommunal de Puiseux-Pontoise (Val-d’Oise), à la fin du mois d’août.
C’est également en région parisienne que deux des trois assaillants du Bataclan ont été inhumés. Quant à Brahim Abdeslam, frère de Salah Abdeslam, seul assaillant survivant des attaques du 13 novembre 2015, il a été enterré à Bruxelles en mars 2016.
Thierry Mugambi, multirécidiviste Rwandais, condamné pour des violences au Havre
Trois ans ferme ont été prononcés contre le multirécidiviste havrais de 23 ans.
« Sortez avec une pancarte devant et derrière indiquant qu’on n’a pas le droit de vous parler, de vous regarder, de vous sourire », lance la présidente du tribunal correctionnel à Thierry Mugambi, 23 ans et bientôt dix-sept condamnations. Visage fermé comme à l’accoutumée, il est encore agressif dans le box. « Une procédure criminelle vous pend au nez », rappelle la magistrate. « Il est dans la toute-puissance. Au centre pénitentiaire, on a été accablé de son arrivée, tant ils redoutent son comportement », assène le procureur. Le « Havrais de papier » a été placé en détention provisoire à l’issue de sa garde à vue. Ce jeudi 22 septembre, il est interpellé dans le quartier des discothèques, au Havre. Une soirée privée pour étudiants se déroule. Selon un organisateur, Thierry Mugambi veut s’y incruster. Il est refoulé. Le ton monte. Le Havrais repart, pour revenir avec une bouteille en verre. Il admet avoir armé son bras, mais conteste être allé au-delà. Pourtant, la victime présente à l’audience a des pansements sur un bras et sur le visage. Une plaie de dix centimètres s’étale de son œil à sa mâchoire. Après avoir écrasé la bouteille sur le visage du premier blessé, Thierry Mugambi a fait usage d’un cendrier sur une seconde victime blessée. Pendant que l’une était au sol, il a flanqué des coups de pied à l’autre.
Interpellé, le Havrais davantage habitué à semer la pagaille à la gare est une nouvelle fois ivre, à hauteur de 1,54 gramme. Il se revendique « comme bagarreur, mais sans arme ». Il estime que « c’est les autres qui ont commencé ». Ils auraient été cinq ou six sur lui. « Le premier m’a dit : « Casse-toi. C’est moi le boss ici, dégage. » Il était énervé. » Selon le prévenu, les organisateurs auraient voulu lui piquer son kebab. « Je ne vais pas me faire défoncer pour un kebab. C’est une question de fierté. Un homme, ça se défend », répond le multirécidiviste au regard dur. « Après, j’ai un casier chargé comme mon bras. Mais je n’ai jamais utilisé d’arme. » Il peine à maîtriser ses nerfs au cours des débats. Lorsque le procureur requiert trois ans ferme, Thierry Mugambi préfère lancer quelques mots à sa copine dans le public. « Il ne m’écoute pas, constate le procureur. Ça ne m’étonne pas. » Le « jeune », originaire du Rwanda, cogne dans une porte pendant que les juges sont partis délibérer. Il a un pansement quand ils reviennent pour prononcer trois ans de prison ferme, avec mandat de dépôt. Tandis que le parquet avait requis une interdiction de paraître au Havre à la sortie de détention, les juges vont jusqu’à une interdiction de la Seine-Maritime. « Vous êtes sérieux ? » s’emporte encore le prévenu. « Je n’ai pas l’air ? » réplique la présidente. Dans l’escalier qui mène aux geôles, Thierry Mugambi fait résonner des insultes visiblement destinées à la présidente…
Une vingtaine de clandestins Albanais, installés dans un squat
Un collectif militant de français reniés a permis à une vingtaine de personnes de s’installer dans des locaux désaffectés d’ERDF, une dizaine d’adultes et une douzaine d’enfants venus pour la plupart d’Albanie.
La plupart de ces familles sont albanaises, l’une d’entre elles est angolaise.
Tous, envahisseurs clandestins, affirment avoir fait des demandes d’asile et attendent, parfois depuis plus de quatre ans, une gestion positive de leur dossier.
Un constat d’infraction a été établi mais aucune plainte n’a été déposée pour l’instant.
Farid et Nordine s’introduisent dans un foyer et agressent le vigile
Deux hommes ont été condamnés lundi à 4 mois avec sursis et huit mois avec mandat de dépôt pour menaces et violences commises à Toulon sur un employé et la dégradation d’une porte.
Lundi, devant le tribunal correctionnel de Toulon, l’avocate du foyer l’Étape à Toulon (centre d’hébergement et de réinsertion sociale) s’est adressée aux deux prévenus jugés en comparution immédiate pour une série de faits commis vendredi.
Ce soir-là, vers 21 h 30, la police est appelée pour mettre fin aux agissements de deux hommes qui se sont introduits de force dans les locaux. L’un des deux individus va également porter un coup de poing au visage du vigile. « Un coup de poing à un homme qui travaille ici depuis plus de quinze ans, qui a connu des difficultés dans la vie et qui est là pour aider les plus démunis! », a dénoncé la représentante de la partie civile.
À la barre, les deux prévenus contestent. Le premier, Nordine B., 39 ans, est inconnu des services de police. Il dit être hébergé par des membres de sa famille et venir en foyer, de temps en temps, pour « soulager les siens de sa présence ».
Il nie s’être adressé avec des propos violents au vigile et avoir dégradé la porte. « Il ne m’a même pas ouvert! » L’autre mis en cause, Farid H., 38 ans, possède quant à lui un casier judiciaire rempli de sept condamnations (outrages, vols, dégradation…). Dans ce dossier, il est celui qui a été identifié comme l’agresseur de l’employé: l’auteur du coup de poing.
Le tribunal a suivi les réquisitions du parquet. Il a été prononcé quatre mois avec sursis pour le primo délinquant et huit mois de prison ferme pour le récidiviste. Ils devront indemniser la victime à hauteur de 500 euros et l’euro symbolique pour le foyer L’Étape.
Un Marocain menace d’égorger le procureur au tribunal de St-Nazaire
Un homme habitué des « menaces de mort sur magistrat » a été condamné la semaine dernière en comparution immédiate à Nantes à cinq mois de prison ferme et maintenu en détention, pour les propos qu‘il avait tenus à l‘égard de la procureure de la République de Saint-Nazaire le 27 juillet dernier.
Fabienne Bonnet venait en effet ce jour-là de signifier à ce quadragénaire, qu‘il partait à la maison d‘arrêt de Nantes purger les cinq mois de prison ferme auxquels il avait été condamné trois mois plus tôt pour de précédentes menaces sur une juge d‘Angers. Ce « Choletais de papier » de 46 ans avait à l‘époque promis de lui « attraper la gorge » et de la « tuer »… « Je prendrai un couteau en céramique pour que ça ne sonne pas aux portiques de sécurité », avait-il même précisé.
La procureure de la République de Saint-Nazaire avait décidé de mettre cette peine à exécution, après que son ex-femme ait porté plainte contre lui : il était venu « faire un coucou » à leurs enfants chez elle, à Montoir-de-Bretagne, en dépit d‘une interdiction judiciaire.
À sa sortie du bureau de Fabienne Bonnet, où il n‘avait rien dit de particulier, l’homme avait alors commencé à « hurler » dans les couloirs du tribunal. « La juge je vais la buter, sa cervelle va couler sur le trottoir », avait-il éructé auprès des gendarmes qui l‘escortaient.
« Je vais lui couper la gorge » ; « Il y en a qui utilise des Kalachnikov, moi je vais lui couper la gorge, avait-il encore ajouté devant les militaires. Je sais où elle sort, je connais les portes… Je vais l’attendre et je vais la tuer ».
À l‘audience, l‘homme a nié avoir tenu certains propos, et d‘autres auraient été « déformés » par les gendarmes.
L’homme d‘origine marocaine, arrivé en France en 1998. « Monsieur est continuellement plongé dans son passé… Mais avec cinq condamnations à son casier, on n’est plus un primo-délinquant, comme il ne cesse pourtant de le répéter », rappelle la substitut du procureur de la République de Nantes, dont les réquisitions ont été suivies à la lettre par le tribunal correctionnel.
Quenelle devant l’école juive : Jo le Corbeau s’explique…
La photo a été prise pendant l’été 2013 devant l’école Ohr Thorah fermée. Hier l’avocate de Jo le corbeau a donné le nom de la personne sur la photo jamais identifiée par l’enquête.
Accusé d’avoir diffusé la photo d’une quenelle devant Ohr Torah, l’école juive où Mohammed Merah a assassiné quatre personnes, Jo le Corbeau s’est exprimé devant la cour d’appel. Pour affirmer son innocence.
Longtemps, en garde à vue puis lors de l’instruction, Joe le Corbeau a joué de son droit au silence. Le caricaturiste a été arrêté en janvier 2014 après avoir diffusé sur son site internet la photo d’un homme réalisant ique. Et cette fois, il a expliqué «pourquoi il était innocent». Au préalable il a confié «son empathie aux familles de victimes» et il a condamné «un crime atroce». «Il faut être un monstre pour faire ça. Je le redis», lâche cet homme à la barre.
La suite devient rapidement plus sinueuse. Entre les menaces de mort des organisations pro-sionistes qu’il dit avoir reçues «par milliers» et son refus de l’antisémitisme, on s’éloigne de l’école et de la photo. «Je n’ai jamais publié cette photo. Elle a été publiée sur mon site Facebook puis je l’ai reprise sur mon site mais j’ai pris soin de la couper pour ne pas identifier l’école !»
«Mais vous l’avez bien diffusé sur votre site», s’étonne la présidente.
«Oui mais après les autres… La presse a raconté n’importe quoi. Ils ont même écrit que j’avais réalisé la photo ! On m’a fait porter le chapeau alors qu’il n’y a aucune preuve.»
La diffusion de la photo, même recadrée, qualifie-t-elle la provocation à la haine raciale ? L’avocat général Chazottes le pense et requiert la confirmation de la condamnation. Condamnation que réclament également les parties civiles. Me (((Simon Cohen))) parle pour l’école mais également pour (((Eva Sandler))), épouse de l’enseignant exécuté et de deux enfants exécutés en mars 2012. «Parce qu’ils étaient juifs et vous refaites du mal à des gens qui ne le méritaient pas», condamne (((Me Cohen))). «Vos idées vous regardent et elles ne sont pas condamnables, constate l’avocat. En revanche la provocation à la haine est poursuivable. C’est ça qu’on vous reproche !» Pour la ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme et le bureau national de vigilance contre l’antisémitisme, (((Me Zerbib))) reproche le contexte «nauséabond de l’antisémitisme».
La juifstice rendra sa décision le 9 novembre.
Jean-Marie Le Pen : « Et ça veut gouverner la France, ça? »
Le fondateur et Président d’Honneur du Front National contestait ce mercredi son exclusion du Front national devant le TGI de Nanterre. La décision a été mise en délibéré au 17 novembre.
Jean-Marie Le Pen avait été suspendu du FN en mai 2015, puis exclu le 20 août de la même année par le bureau exécutif, l’instance suprême du parti. Dans cette guerre familiale, le patriarche a déjà eu trois fois gain de cause devant les tribunaux. Le 2 juillet 2015, le TGI de Nanterre annulait sa suspension du parti, dont la durée n’avait pas été précisée. Une semaine plus tard, le juge des référés annulait à son tour le congrès par correspondance, censé supprimer son statut de président d’honneur. Le FN avait fait appel, mais le 28 juillet, la cour d’appel de Versailles rejetait son recours. Pour ce quatrième round judiciaire, Jean-Marie Le Pen demande au tribunal d’annuler son exclusion du Front national. Il réclame également deux millions d’euros en réparation d’un « très grave préjudice » porté à sa fonction de président d’honneur, mais aussi « à sa dignité, son honneur, sa notoriété et son action politique »
Sa présence n’était pas nécessaire ce mercredi, mais selon son avocat, Me Frédéric Joachim, il a tenu à être présent pour prouver sa « détermination ».
L’avocat de Jean-Marie Le Pen a dénoncé le « parricide », « l’exécution » orchestrée par Marine Le Pen et ses « sbires ». Il affirme que la présidente du FN s’est servie des propos de Jean-Marie Le Pen pour l’exclure. « Il fallait l’exclure coûte que coûte. Si ça n’avait pas été le maréchal Pétain ou le détail de l’histoire, ça aurait été autre chose. Ces griefs n’ont jamais posé de problèmes », a-t-il déclaré. Et d’ajouter : « Et ça veut gouverner la France, ça ? »
L’avocat du parti a dénoncé cet argumentaire qui a passé sous silence les multiples condamnations de Jean-Marie Le Pen. « Ces propos constituent des motifs graves qui justifient une exclusion », a-t-il déclaré comme une vulgaire gauchiste. Pour la première fois au cours de ces deux heures d’audience, le fondateur du FN a manifesté des signes d’agacement. « Aujourd’hui, c’est Mr Le Pen qui est devenu un détail de l’histoire du FN », a-t-il conclut.
Etranger
Europe
La FIFA inflige une amende de 27 000 euros aux Italiens pour un salut européen
La Fédération internationale de Football (FIFA) a annoncé qu’elle infligerait une amende de 27 000 euros à la Fédération italienne (FIGC) après des saluts « nazis » (sic) effectués par certains de ses supporters au cours d’un match en Palestine occupée
Les fans italiens ont exécuté le salut Européen pendant l’hymne national israélien « Hatikva » lors du match de qualification pour la Coupe du monde 2018 à Haïfa dans le nord de la Palestine occupée.
La FIFA a déclaré qu’il s’agissait d’une « conduite discriminatoire et de comportements répréhensibles » pour justifier sa décision.
L’année dernière, un extrait d’une interview dévoilait les propos jugés antisémites et homophobes tenus par le président de la FIGC Carlo Tavecchio.
Plus récemment, l’équipe de football écossaise du Celtic Glasgow avait été sanctionnée par l’UEFA à verser une amende de 10.000 euros (non vous ne rêvez pas !) après l’apparition de drapeaux palestiniens durant la rencontre contre l’équipe sioniste d’Hapoel Beersheba le 17 août dernier.
Italie : invasion record, plus de 10 000 envahisseurs rapatriés en Europe en 48 heures
Lundi 3 octobre les autorités italiennes ont annoncé avoir rapatrié sur le sol européen plus de 6 000 envahisseurs. Les gardes-côtes italiens se sont portés au-devant d’une quarantaine d’embarcations chargées de clandestins, non loin du rivage libyen, sous prétexte d’une opération maritime de secours. Les sauveteurs ont retrouvé un corps sur l’une des 39 embarcations et 8 autres envahisseurs sont morts mais sans précisions sur les circonstances.
La marine et les gardes-côtes italiens impliqués dans ces opérations ont agi avec la complicité d’autres bâtiments militaires engagés dans la zone et des bateaux humanitaires comme ceux de Médecins sans Frontières, SOS Méditerranée, «Save the Children», «Sea-Eye» ou encore «l’Astral» des Espagnols de ProActiva Open Arms.
Et mercredi 5 octobre les gardes-côtes italiens ont encore annoncés avoir récupéré plus de 4 500 envahisseurs en Méditerranée la veille, mardi 4 octobre, au cours de plus de 30 missions fallacieusement appelées « de sauvetage ».
En 2 jours les autorités italiennes et leurs complices ont donc battu tous les records : ce sont plus de 10 000 clandestins, candidats à l’invasion de l’Europe, qui ont été aidés à rejoindre notre sol.
Plus généralement, depuis le début de l’année 2016, ce sont près de 400 000 envahisseurs qui ont violé le sol de notre continent selon le Haut-Commissariat aux réfugiés des Nations-Unies.
Belgique : 2 policiers poignardés dans une attaque terroriste à Bruxelles
Deux policiers ont été agressés et blessés par un homme avec un couteau, mercredi 5 octobre, à Schaerbeek, l’une des communes de Bruxelles. La justice belge dispose « d’éléments pour croire » que l’agresseur a agi dans le cadre d’une « attaque terroriste », a indiqué le parquet fédéral : « Nous avons des éléments pour croire qu’il s’agit d’une attaque terroriste » sans donner plus de détail. Un suspect a été interpellé mais aucune information n’a filtré concernant son nom, son âge, son appartenance ethnique, nationale ou religieuse.
L’agression s’est produite en fin de matinée sur une grande artère de la commune de Schaerbeek. L’assaillant a porté des coups de couteau à 2 policiers, les blessant l’un au ventre, l’autre au cou. Après sa double agression, l’individu a tenté de prendre la fuite et une autre patrouille de police a dû faire usage d’une arme à feu pour l’intercepter. L’individu a été blessé par balle à la jambe lors de son interpellation et il a « légèrement blessé un troisième policier » qui aurait eu le nez cassé.
Également quatre alertes à la bombe ont été déclenchées mercredi, en Belgique, à Bruxelles ainsi qu’à Charleroi. La première a eu lieu à la gare de Bruxelles-Nord, aux alentours de 14 heures, entraînant son évacuation complète et la mobilisation de l’armée. Peu après 14 h 30, l’alerte a été levée et le trafic ferroviaire a pu reprendre progressivement. Une deuxième alerte à Bruxelles a entraîné l’évacuation du siège du parquet de la capitale belge. Plus tard dans la journée, aux alentours de 18 heures, une nouvelle alerte à la bombe a été déclenchée en gare de Charleroi-Sud. La gare a été évacuée selon la procédure classique et l’alerte a été levée quarante-cinq minutes plus tard. Quelques minutes après l’annonce de l’évacuation de la gare de Charleroi-Sud, c’est l’aéroport de Gosselies qui était visé par une alerte à la bombe par voie téléphonique.
Le 6 août, 2 policières avaient été blessées à la machette à Charleroi par un homme criant « Allah Akbar » qui avait été abattu par les forces de l’ordre. Le 7 septembre c’est à Molenbeek, le foyer de l’islamisme radical, que 2 policiers avaient reçu des coups de couteau sans toutefois être blessés grâce à leurs gilets tactiques. L’auteur des faits, inculpé pour tentative de meurtre, est un homme d’origine maghrébine qui était connu des services de police sous une dizaine de pseudonymes.
Allemagne : cyber-attaque militaire pour libérer une otage en Afghanistan
L’armée allemande a lancé la première cyberattaque de son histoire dans le cadre d’une opération de libération d’une Allemande kidnappée en Afghanistan. Les hackers embauchés par la Bundeswehr ont piraté, en 2015, le réseau d’un opérateur mobile afghan pour disposer d’informations sur cette employée allemande kidnappée qui travaillait dans le cadre d’une mission humanitaire. L’intrusion dans le réseau a été commandée par l’état-major de crise dans le cadre de cette prise d’otage en Afghanistan. Après avoir contacté les ravisseurs et envoyé des agents spéciaux à Kaboul, une rançon a néanmoins été versée. La tâche des hackers au service de l’État consistait à mettre les pourparlers téléphoniques sur écoute et à définir si l’Allemande était toujours aux mains des terroristes, ainsi qu’à suivre les itinéraires des malfaiteurs dans la capitale afghane en temps réel.
Étant donné le floue juridique sur le statut de telle opération militaire, les experts en sécurité sont prudents et qualifie l’opération « d’offensive intrusive » et non pas de « cyberattaque », mettant en avant que le réseau et l’équipement de l’opérateur mobile local n’ont pas été endommagés.
Espagne : opération antiterroriste conjointe avec l’Allemagne et la Belgique
Le 28 septembre dernier, les autorités espagnoles, allemandes et belges ont arrêté 5 personnes soupçonnées de former une cellule « active et dangereuse » du groupe islamo-terroriste État Islamique et de promouvoir le jihadisme islamiste dans les 3 pays, selon le ministère de l’Intérieur espagnol. Quatre suspects étaient « espagnols » et l’un était marocain. Deux ont été arrêtés à Barcelone, un dans l’enclave nord-africaine espagnole de Melilla, un à Bruxelles et l’autre à Wuppertal en Allemagne. La police espagnole a travaillé en collaboration avec les forces de l’ordre allemandes et belges pour les arrestations.
La cellule jihadiste a utilisé les réseaux sociaux, et en particulier une page Facebook « Islam en Espagnol », qui avait plus de 32 000 supporters, pour glorifier l’État Islamique et diffuser le message du groupe islamo-terroriste qui opère à partir de la Syrie et de l’Irak. Les individus qui communiquaient quasi-exclusivement en espagnol, sont poursuivis pour l’instigation au passage à l’acte terroriste, promotion du jihadisme islamique et association de malfaiteurs en Europe.
Depuis que l’Espagne a relevé son niveau d’alerte à 4, le deuxième plus haut, en 2015, sa police a arrêté 143 jihadistes islamistes, dont 113 sur le sol espagnol et 30 à l’extérieur du pays. En 2016, ce sont quelques 34 personnes qui ont déjà été arrêtées en relation avec le jihadisme islamiste, selon les chiffres du gouvernement.
Monde
Pour le rabin (((Pinchas Goldschmidt))) les juifs quitteront l’UE si terrorisme islamique et antisémitisme ne cessent pas
Un rabbin renommé a déclaré au Parlement européen que les attaques terroristes islamistes, la montée de l’extrême droite et le Brexit créaient des conditions déstabilisantes pour la survie des Juifs en Europe.
Lors de la Conférence des rabbins d’Europe, le rabbin de Moscou, (((Pinchas Goldschmidt))), proche de Poutine, a consacré beaucoup de son temps de parole à la vie actuelle des juifs au sein de l’Union européenne et aux menaces auxquelles ils sont confrontés.
Selon le rabbin, les juifs font face à deux obstacles principaux qui les empêchent de vivre sereinement en Europe : l’islam radical et l’extrême droite antisémite. En comparant ces deux mouvements à deux trains qui avancent à vitesse croissante, il a précisé qu’il était nécessaire de les arrêter avant qu’il ne soit trop tard, car le peuple juif est «debout sur la voie ferrée».
D’après les statistiques présentées fin septembre par le président du Parlement européen, Martin Schultz, «un juif sur cinq en Europe a connu la violence verbale ou physique», tandis que «la population juive européenne a diminué de près de quatre millions en 1945 à un peu plus d’un million aujourd’hui».
«La question que les juifs se posent aujourd’hui, non seulement en tant que juifs, mais en tant qu’Européens (sic), est de savoir si l’Europe dans sa forme actuelle offre un avenir après les attaques [terroristes] à Paris, à Bruxelles, à Copenhague, et après Brexit», a déclaré le rabbin, en exhortant l’UE à faire davantage pour intégrer les «vagues d’immigrants qui inondent l’Europe» dans le système des valeurs européennes afin d’éviter «l’antisémitisme enragé et le radicalisme qui sévit au Moyen-Orient».
Selon le rabbin, si la situation en Europe ne change pas, l’UE risque de devenir «une expérience ratée» car on observe à l’heure actuelle l’Europe être en proie à «des divisions entre Etats membres» et «tomber sous l’influence des Frères musulmans» ou «sous l’influence de la droite radicale».
Voilà des déclarations qui remontent le moral d’un honnête Européen !
Judaïsme politique : les petits privilèges du milliardaire Ronald Lauder en Israël
Benjamin Netanyahu, est au centre de diverses investigations policières portant sur des transactions financières suspectes : l’utilisation de fonds attribués à des organismes « caritatifs » communautaires américains ; l’utilisation de fonds publics de l’État juif ; ou encore la réception de fonds de diverses personnalités très fortunées qui pourrait être la contrepartie de pactes corruptifs. Ainsi, les enquêteurs s’intéressent à la perception par Netanyahu d’importantes sommes d’argent du milliardaire juif à papiers français, Arnaud Mimran, qui auraient pu servir à financer sa campagne. Celui-ci, escroc connu, a d’ailleurs écopé en juillet dernier d’une peine de 8 ans de prison par le Tribunal correctionnel de paris pour une escroquerie à la taxe carbone de 283 millions d’euros. Il est actuellement écroué en France.
Mais il y a également les cadeaux et les voyages payés par Ronald Lauder. Ce dernier n’est pas n’importe qui. Lui aussi est un milliardaire juif à papiers américains. Mais il est surtout le président du Congrès juif mondial, un des principaux organes décisionnel du judaïsme politique. Et il n’a pas apprécié d’être interpellé par la police israélienne à sa descente d’avion, en Israël, alors qu’il se rendait à l’enterrement de son ami Shimon Peres. Comme à l’habitude de ses coreligionnaires, Ronald Lauder n’a pas hésité à jouer sur la chouinerie et la corde sensible pour se soustraire, au moins temporairement, aux questions des enquêteurs de l’unité spéciale de la police Lahav 433 : « J’arrive d’une commémoration du massacre de Babi Yar (l’exécution de plus de 34.000 juifs par les nazis en Ukraine), je viens pour les funérailles d’un bon ami dont j’ai partagé les initiatives diplomatiques (Peres) et vous m’appréhendez ? »
Ronald Lauder a refusé d’être entendu et la police israélienne a obtempéré. Un accord a été trouvé selon lequel soit les enquêteurs iront l’interroger dans les prochains jours à New York soit il reviendra en Israël pour témoigner…
Une porte-parole de la police a refusé de commenter ces informations alors que le ministère de la Justice israélien présente les investigations comme des vérifications qui n’ont pas atteint le stade de l’enquête. Et le cabinet du Premier ministre Netanyahu a refusé tout commentaire. Affaire à suivre, s’il y a encore affaire…
Syrie : le convoi humanitaire onusien bombardé serait une mise en scène
Un convoi humanitaire conjoint des Nations-Unies et du Croissant-Rouge syrien a été attaqué près d’Alep dans la nuit du 19 au 20 septembre. 12 personnes ont été tuées. Les États-Unis ont alors pointé du doigt l’aviation russe comme responsable du bombardement criminel. Face aux dénégations russes les responsables militaires américains avaient refusé de divulguer « leurs preuves » tout en confirmant leurs accusations : « Nous savons qu’il y avait deux avions russes à ce moment-là, dans cette zone. Et j’estime qu’ils pouvaient le faire. Mais nous savons également qu’il y avait encore des avions syriens. Je ne peux pas dire avec certitude que c’était la Russie. Mais c’était soit les Russes, soit le régime ».
Un conseiller de recherche du programme des Nations-Unies pour les images satellites (ONUSAT) a affirmé mercredi 5 octobre devant la presse que les images satellites sur l’attaque du convoi humanitaire accréditent la thèse d’une frappe aérienne. Mais rebondissement le même jour lors d’une réunion du Groupe international de soutien à la Syrie où a été présenté un rapport rédigé par 2 experts qui accrédite la thèse d’une mise en scène. Fondant leurs analyses sur les images disponibles dont celles d’un drone russe qui accompagnait le convoi, leurs conclusions ne confortent pas la thèse d’un bombardement aérien. Selon les experts, l’habitacle d’un des véhicules est resté intact et les bords des orifices percés par des fragments d’obus sont recouverts de rouille… En outre, le revêtement de la route est dans un état idéal, chose impossible à la suite d’une frappe aérienne. Les experts ont encore souligné que si les véhicules et les conteneurs de fret avaient effectivement été attaqués depuis les airs, ils auraient été, au moins, renversés par l’onde de choc. D’autant plus que les murs des maisons riveraines n’étaient pas lézardés. Et les experts concluent : « en dressant le bilan de cette analyse préliminaire, nous en venons à la conclusion qu’il s’agit d’une mise en scène bien préparée ou d’une fausse attaque ».
Le document présenté lors de la réunion du Groupe international de soutien à la Syrie a ensuite été remis pour information aux représentants des États-Unis qui n’ont pas accepté les conclusions…
Vidéo
Qui est Vladimir Zéev Jabotinsky ?
Kiosque
Rivarol
N° 3252 du 6 octobre 2016
Sommaire :
Avortement : le pouvoir veut créer un délit d’entrave numérique ! ; Hongrie : 98 % des votants contre les migrants imposés par Bruxelles ; Qui est vraiment Hillary Clinton ? ; Artillerie lourde contre le professeur Faurisson et Vincent Reynouard ; Impayables media à collier : Orban battu avec 98,4 % des suffrages ! ; Il y a soixante ans, en octobre 1956, la Hongrie se soulevait contre la domination communiste ; Jean Boissel et le Front Franc : un national-socialisme français voué à l’échec ; Internet : le verrou est mis etc…
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Ephéméride nationaliste
6 octobre 1931 : fondation du Verdinaso
Le 6 octobre 1931, Joris Van Severen fonde le Verdinaso, mouvement basé sur la national-solidarisme et le nationalisme thiois.
6 octobre 1936 : mort de Gyula Gömbös
6 octobre 2007 : mort de Serge de Beketch
Agenda
Madrid : Commémorations du 20 novembre
18 novembre – 21 novembre 2016
Avec une délégation de Jeune Nation.
© Jeune nation – 2016
Marquise Balbi, 1623, Antoine van Dyck
(National Gallery of Art – Washington)