Allemagne : l’invasion migratoire fait exploser la criminalité. Silence médiatique !
Au cours des 6 premiers mois de l’année 2016, les envahisseurs ont été impliqués dans plus de 140 000 crimes et délits, selon l’Office fédéral de police criminelle. Soit près de 780 infractions par jour en moyenne, un chiffre en hausse de 40% par rapport à l’année 2015 (208 344 crimes et délits commis par des envahisseurs soit environ 570 par jour). Et il ne s’agit pas de l’ensemble des infractions constatées par la police mais seulement de celles ayant donné lieu à une ou plusieurs arrestations de suspects. En fait, l’information est à rapprocher d’une autre : ce sont des centaines de milliers d’envahisseurs qui sont entrés comme demandeurs d’asile ou candidats au statut de réfugiés. Et parmi eux, des dizaines de milliers ont quitté les centres d’accueil. Ceux-là ont donc disparu des radars administratifs, sans doute volontairement, car arrivés en Europe et enregistrés en Allemagne sous le faux prétexte de « persécutions » en réalité inexistantes. Et ceux-là, mais pas exclusivement, se livrent massivement au vol, aux trafics, agressions et à la violence criminelle.
Dans de nombreuses régions, la police locale reconnait qu’elle travaille aux limites de ses capacités et se dit incapable de maintenir la loi et l’ordre. « Le trafic de drogue a lieu sous nos yeux. Si nous intervenons, nous sommes menacés, insultés, couverts de crachats. Parfois, quelqu’un dégaine un couteau. Ce sont toujours les mêmes. Ils sont sans pitié, sans peur et n’ont aucun scrupule à voler, même les personnes âgées », déclare sous anonymat un agent de sécurité privée allemand.
Les forces de l’ordre, elles, se plaignent de la justice allemande dont le laxisme est perçu par les envahisseurs comme un encouragement. « Ils sont habitués à des peines plus sévères dans leur pays d’origine. Ils n’ont aucun respect pour nous », affirme Freddi Lohse du syndicat de la police de Hambourg. « Il n’est pas possible que les délinquants continuent de remplir les dossiers de la police, nous blessent physiquement, nous insultent et j’en passe, et que tout cela demeure sans conséquence. De nombreux délits sont classés sans suite et des délinquants sont libérés après avoir été condamné à des peines avec sursis ou quelque chose d’équivalent. Oui, ce qui se passe aujourd’hui dans les tribunaux est une blague » confirme Tania Kambouri, une officier de police.
Et les forces de l’ordre ne trouvent quasiment aucun soutien non plus du côté des médiats allemands qui obéissent aux lobbies antiracistes et au gouvernement allemand pour tenter de masquer la réalité de la délinquance étrangère. Par exemple, lors du viol d’une petite fille de 10 ans à Leipzig le 27 octobre dernier, la police a explicitement refusé de dire que le suspect est un envahisseur. Mais le portrait-robot, lui, ne laissait pas de doute. Alors les autorités l’ont assorti de l’avertissement suivant : « Cette image ne peut être publiée que dans la presse écrite de Leipzig et son agglomération. La publication de cette image sur Internet, et les médias sociaux tels que Facebook, n’est pas autorisée par l’avis de recherche du tribunal et est donc interdite ». Ils ont inventé le portrait-robot à ne pas diffuser trop largement… Et le journal de Berlin Bild, a été l’un des rares et seuls médias hors Leipzig à le publier quand même, et à signaler le viol.
Mais tous les efforts conjugués des médiats, des traîtres associatifs et des autorités ne servent à rien ! Tous les sondages et les enquêtes d’opinion montrent que le déni et la censure n’empêchent pas la population d’avoir conscience que l’anarchie va croissant en Allemagne !