Sommaire :
Actualité nationaliste en France
- Vincent Reynouard – Entretien avec Alison Chaboz, révisionniste harcelée
- Conférence à Dijon d’André Gandillon, secrétaire général du Parti Nationaliste Français
Actualité nationaliste en Europe
- Hongrie : un maire nationaliste interdit les mosquées, le voile et les uranistes
France
- Un trafic de migrants démantelé, trois Albanais incarcéré
- Deux Géorgiens condamnés pour avoir braque et ligote une bijoutière
- Murrash vole un portable de manière agressive: 3 mois de prison ferme
- Amine, prison ferme pour un coup de tesson devant un kebab à Toulouse
- Le dealer Kamel Djanti, tué par balle, est retrouvé dans la Garonne
- Attentat dejoué: Yassine.B, Icham.M, Zakaria.M, Samir.B mis en examen
- « Certifié Conforme » pour la LICRA
- Ménard quitte le plateau d’Ardisson après avoir eu l’honneur d’être comparé à Hitler…
Etranger
Europe
- Des Danois se révoltent contre l’envahisseur islamique
- Allemagne : un restau bobo de Berlin refoule les sympathisants de l’AfD
Monde
- Égypte : le maréchal al-Sissi exprime son soutien à l’armée syrienne de Bachar el-Assad
- Syrie : importantes avancées du régime de Bachar el-Assad dans Alep et Damas
Vidéo
- Serge de Beketch balance les noms d’«élites française » de la mouvance pro pédophiles
Kiosque
- Militant n°687
Agenda
- 11 décembre 2016 : XXIème Table Ronde de Terre et Peuple
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Actualité nationaliste en France
Vincent Reynouard – Entretien avec Alison Chaboz, révisionniste harcelée
https://www.youtube.com/watch?v=T0Iheon7JRU
Conférence à Dijon d’André Gandillon, secrétaire général du Parti Nationaliste Français
Une trentaine de personnes s’était réunie à Dijon, ce samedi 26 novembre 2016, pour entendre la conférence donnée par André Gandillon, l’homme aux trois casquettes de secrétaire général du Parti Nationaliste Français, rédacteur en chef de la revue Militant et président de l’association des Amis de Rivarol.
Venue de toute la Côte-d’Or, et parfois même des départements ou régions voisins, l’assemblée se montra très intéressée par le tour très complet de l’actualité géopolitique et financière internationale que leur proposa André Gandillon, l’écoutant studieusement.
Celui-ci réussit le tour de force de faire une présentation détaillée mais synthétique des principales puissances mondiales à l’œuvre actuellement, des rapports de force régissant leur action, ainsi que des intérêts les liant ou au contraire les opposant, tout en sachant les replacer dans le contexte plus global, dominé par les forces mondialistes, dont la principale d’entre-elles : le judaïsme politique !
La partie économique permit à beaucoup des présents de découvrir ou de mieux comprendre un certain nombre de concepts essentiels concernant le fonctionnement de la finance internationale. Cette vulgarisation d’un sujet plutôt pointu fut fort appréciée.
Ces deux thèmes furent bien évidemment disséqués à la lumière de la doctrine nationaliste et en rappelant ce que devait être nos positions et notre action, en tant que nationalistes français ! Des questions pertinentes suivirent, aussi bien sur des sujets économiques que géopolitiques, et d’intéressantes précisions purent être ainsi apportées au public !
Deux stands étaient présents – celui du PNF et celui du Cercle des Amis de Léon Degrelle – et permirent à l’assistance de se fournir en matériel militant, livres et objets nationalistes !
Enfin, la soirée se poursuivit par un repas commun convivial, avant de se terminer dans la même bonne humeur et ambiance chaleureuse autour d’un verre de marc de Bourgogne !
Actualité nationaliste en Europe
Hongrie : un maire nationaliste interdit les mosquées, le voile et les uranistes
Le maire d’une commune du sud de la Hongrie s’est mis en tête de défendre son pays contre tout ce qui ne reflète « l’anti-Hongrie ». Ainsi, tout ce qui fait allusion à l’Islam, mais également à l’homosexualité sera interdit.
Dans un message posté sur Facebook, Laszlo Toroczkai, maire d’Asotthalom, un village situé près de la frontière serbe, a souligné les propositions adoptées par son conseil après une séance tenue le 23 novembre.
Tous les membres du conseil ont voté pour le nouveau règlement, deux membres seulement s’étant abstenus.
«Au lieu de passer son temps à chercher des boucs émissaires, je propose une solution immédiate, à savoir une défense réelle contre la réinstallation massive et forcée de migrants dictée par Bruxelles», a écrit le maire dans son post.
«Aujourd’hui, le conseil du village d’Asotthalom a adopté ma proposition : un ensemble d’actions visant à défendre notre communauté et nos traditions contre tout plan de réinstallation de réfugiés étrangers. Tout ce qu’il faut faire, c’est que les autres municipalités hongroises adoptent notre plan d’action préventive et que tous ensemble nous défendions notre patrie».
Les mesures mises en place par Laszlo Toroczkai incluent l’interdiction de la construction de mosquées et de tout autre lieu de culte qui «affaiblit l’Église catholique», l’interdiction de l’appel traditionnel à la prière du muezzin et l’interdiction de se couvrir le corps, la tête et le visage avec le hijab, le niqab, la burqa, ainsi que le burkini.
Protéger la Hongrie des deux instrus : l’invasion migratoire venue du sud et le libéralisme extrême venant de l’ouest.
De plus, l’ordonnance interdit toute forme de «propagande publique» mettant en avant l’union de deux personnes de même sexe. Cette interdiction inclut «toute activité publique, performances, démonstrations, panneaux d’affichage, dépliants ou annonces audio».
Laszlo Toroczkai appartient au mouvement nationaliste Jobbik, qui se revendique comme étant un protecteur des «valeurs et des intérêts hongrois». «Je veux être un exemple pour d’autres autorités locales pionnières sur la façon de se protéger de l’invasion extérieure ou de toute autre intention subversive», a-t-il déclaré à la réunion du conseil.
France
Un trafic d’envahisseurs démantelé, trois Albanais incarcéré
Vendredi, trois hommes d’origines albanaise ont été mis en examen et incarcérés dans le cadre du démantèlement d’un trafic d’envahisseurs à partir du port de Roscoff. Quelques semaines plus tôt, deux Finistériens avaient été interpelés et mis en examen dans la même affaire. L’un d’entre eux est sous les verrous, l’autre est placé sous contrôle judiciaire. Ils sont tous les cinq poursuivis pour avoir aidé des personnes à passer illégalement en Grande-Bretagne.
Les détails de ce trafic ont été présentés ce vendredi par le procureur de la République de Brest et le commandant du groupement de gendarmerie du Finistère, lors d’une conférence de presse.
Le 23 septembre, une fourgonnette est arrêtée et fouillée à un contrôle de douane à l’embarquement d’un ferry sur le port de Roscoff. A l’arrière du véhicule, trois Albanais, deux hommes et une femme, ont été cachés derrière des meubles. Le conducteur est placé en garde à vue. Deux jours plus tard, un homme de 43 ans qui avait loué cette fourgonnette est interpelé au volant d’un fourgon à son retour de Grande-Bretagne.
Lors de la garde à vue, le premier affirme qu’il ne savait pas qu’il y avait des migrants à l’arrière de la fourgonnette mais reconnaît avoir accepté 2 000€ pour la faire passer de l’autre côté de la Manche.
Le 25 septembre, ils sont présentés à un juge d’instruction et mis en examen pour « aide à l’entrée ou au séjour irrégulier d’un étranger ». L’un est écroué, l’autre est placé sous contrôle judiciaire.
Les investigations des enquêteurs de la gendarmerie qui suivent permettent d’arrêter mercredi trois hommes Albanais de 19, 20 et 25 ans. Ils sont tous les trois connus de la justice pour des vols, des défauts d’assurances et des ports d’armes. Deux sont en situation irrégulière, l’un ayant déjà été expulsé du territoire mais étant revenu et l’autre étant sous le coup d’une obligation de quitter le territoire.
Les investigations ont permis de mettre au jour les preuves de locations de fourgons, d’échanges d’espèces et de plusieurs passages de migrants. 9 000 livres sterling, 2 330€ et un Magnum 357 sont retrouvés à leurs domiciles. Ils ont été présentés ce vendredi à un juge d’instruction puis placés en détention.
Le Premier a reconnu participer à un trafic de personnes mais affirme ne l’avoir fait que pour des membres de sa famille qu’il faisait payer 200 à 400€. Les deux autres ont reconnu les faits mais pour autant disent ne pas avoir demandé une contre-partie en argent pour le passage des étrangers. Actuellement le nombre d’envahisseurs ayant été transportés dans le cadre de ce trafic n’est pas encore déterminé.
Le procureur de la République a précisé que les contrôles ont été renforcés ces derniers mois sur Roscoff, surtout depuis le démantèlement du bidonville de Calais. Depuis janvier 2016, 76 personnes ont été interpellées alors qu’elles cherchaient à passer illégalement en Grande-Bretagne.
Deux Géorgiens condamnés pour avoir braque et ligote une bijoutière
Ils avaient ligoté et bâillonné la bijoutière
Deux hommes originaires de Géorgie ont été condamnés à trois ans de prison ferme pour des vols de bijoux avec violence. Ils avaient ligoté et bâillonné une bijoutière du centre de Gramat. Jeudi, un seul de ces Géorgiens, Aleksander Gurgenidze, était présent au Palais de justice de Cahors.
Murrash vole un portable de manière agressive : 3 mois de prison ferme
La victime dit qu’on lui a volé son téléphone portable. Le prévenu rétorque qu’il a mis l’objet dans sa poche sans le faire exprès. Le 7 juillet dernier, la soirée était festive. La France venait de battre l’Allemagne en demi-finale de l’Euro 2016. Pour Arthur, la fête a été courte. À 2 h 40, il s’est rendu au commissariat de police pour signaler le vol de son téléphone portable.
Il explique qu’un peu plus tôt, un type en scooter lui a demandé son téléphone portable pour appeler une amie. Devant la réticence d’Arthur, le type serait devenu agressif en lui disant : « Donne ton téléphone, dépêche-toi ! »
Peut-être choqué ou apeuré, Arthur a donné son iPhone 6 S. Et le type s’est enfui en scooter. Un deux-roues dont Arthur a donné la couleur et la marque aux policiers, tout comme la description de son voleur et du téléphone dérobé.
Le lendemain, 9 juillet, lors d’une patrouille nocturne du côté du quartier de la gare, les policiers aperçoivent un jeune homme dont le scooter ressemble à la description. Sur lui, il trouve un iPhone 6 noir et gris comme celui d’Arthur.
Aux policiers, le jeune homme avait d’abord expliqué qu’il avait acheté ce téléphone 150 euros à un inconnu.
Arthur a reconnu son téléphone qui contenait toutefois la puce de son voleur. Mais tous ces contacts et photos avaient été supprimés et la façade était cassée.
Jeudi, Murrash était à la barre du tribunal de grande instance de Cusset pour s’expliquer.
Cet homme de 26 ans né au Kosovo parle d’une soirée arrosée pour fêter la victoire de l’équipe de France. « Je ne me souviens pas bien, indique-t-il. Le lendemain, quand j’ai vu le téléphone, je me suis dit que je l’avais mis dans ma poche, sans le faire exprès. J’ai regretté, c’est une chose grave. »
« Vous ne l’avez pas pour autant ramené à la police et vous avez mis votre puce dans le téléphone », répond la présidente du tribunal, peu convaincue par Murrash dont le casier a déjà douze mentions.
Murrash a été reconnu coupable et a été condamné à trois mois de prison ferme et 149,90 euros de dommages et intérêts pour le changement de vitre de son téléphone.
Amine, prison ferme pour un coup de tesson devant un kebab à Toulouse
Le 26 octobre dernier, le client d’un kebab est blessé au cou après une agression avec un tesson de bouteille, place Arnaud-Bernard. Son agresseur a été condamné, jeudi, à 18 mois de prison. Le quartier Arnaud-Bernard a vécu dernièrement un nouvel épisode de violence en pleine nuit. Aux alentours de 3 heures, le 26 octobre, la police municipale est appelée pour une rixe entre quatre individus et un client d’un kebab de la place.Alors qu’il s’achetait un sandwich, cet homme voit débouler quatre individus véhéments porteurs de lames et de cutters…
Le dealer Kamel Djanti, tué par balle, est retrouvé dans la Garonne
Le corps retrouvé mercredi dans la vase, vers le pont de Béguey, a été identifié.
Tout semble avoir été fait pour retarder la nouvelle de sa disparition, la découverte de son corps et son identification. Mercredi matin, la présence d’un cadavre a été signalée par des automobilistes, en aval du pont enjambant la Garonne et reliant Béguey à Podensac. Il était comme posé sur la vase. À la fois trop loin de l’eau à marée basse et trop loin de la berge, ce qui n’a pas facilité l’intervention des pompiers et des gendarmes rapidement sur place.
Tout de suite, la mort a paru suspecte aux techniciens chargés de l’examen externe et des prélèvements de police technique et scientifique. Le corps était celui d’un homme, sans papiers d’identité sur lui, simplement vêtu d’un caleçon et de chaussettes. Il présentait, en outre, une blessure et un orifice à la tête et ne semblait pas avoir séjourné longtemps dans l’eau. Une autopsie a été pratiquée mercredi soir sur ordre du parquet de Bordeaux. Elle a confirmé que l’homme n’était pas décédé de noyade. Il a en effet été tué par balle. L’enquête sur cette macabre découverte a donc vite pris une orientation criminelle.
Au vu de la gravité des faits, c’est la section de recherches de Bordeaux qui a été chargée de diriger les investigations. Les gendarmes n’ont pas tardé à obtenir un nom et un prénom. Déjà connu des services de justice, Kamel Djanti, 28 ans, était « originaire » de Saint-Dizier (Haute-Marne) et s’était récemment installé dans le village de Podensac.
Le « jeune » avait fait plusieurs séjours en prison, à chaque fois pour des affaires de drogue. En septembre 2012, alors qu’il était sorti de maison d’arrêt six mois auparavant, il avait été interpellé à la gare de Bordeaux lors d’une transaction de quelques grammes d’héroïne. Dealer d’habitude, comme l’avait révélé son procès devant le tribunal correctionnel de Bordeaux, il écoulait également de la résine de cannabis. Il avait été condamné à l’époque à quatre ans de prison dont un an ferme. Il était toujours sous contrôle judiciaire.
Ces éléments de personnalité et ce passé délinquant sont évidemment une piste sérieuse pour les gendarmes qui ne négligent cependant aucune autre hypothèse. Ils devraient rapidement déterminer avec précision le créneau horaire de la mort et reconstituer petit à petit le scénario du crime. Et son mobile peut-être lié à un différend commercial autour de produits stupéfiants. Même si elle a été découverte dans la vase, la victime a visiblement été tuée ailleurs, transportée et abandonnée au fleuve, peut-être même jetée depuis un pont.
Le domicile de Kamel Djanti a été perquisitionné. L’hélicoptère de la gendarmerie a survolé la zone et les investigations ont déjà débouché sur de premières interpellations. « La Gironde n’est pas habituée à ce type de règlements de compte », a confirmé hier la procureur de la République, Marie-Madeleine Alliot. C’est cependant le deuxième du genre en un peu plus d’un an. Le 20 août 2015, un dealer avait été retrouvé dans un bois de Nérigean. Abattu.
Attentat dejoué: Yassine.B, Icham.M, Zakaria.M, Samir.B mis en examen
Des terroristes voulaient frapper la France le 1er décembre
Téléguidés par un donneur d’ordre retranché en zone syro-irakienne, les suspects déjà armés voulaient cibler des sites symboliques et se filmer en direct au moment de leur passage à l’acte. Ils ont été mis en examen et écroués ce vendredi soir. Hollande a affirmé qu’une «attaque de grande envergure» avait été évitée.
«Un passage à l’acte imminent a été déjoué»: le procureur de la République de Paris, François Molins a confirmé que les terroristes interpellés dans la nuit de samedi à dimanche dernier à Strasbourg et Marseille voulaient frapper la France dès ce jeudi 1er décembre, au nom de l’État islamique. Ils ont été mis en examen et écroués ce vendredi soir pour «association de malfaiteurs en vue de la préparation de crime d’atteinte aux personnes».
Les quatre premiers suspects, interceptés dans le quartier de la Meinau à Strasbourg, sont des amis se connaissant de longue date. En apparence, ils n’ont rien des jeunes de cités fragiles, désœuvrés et en perte de repères qu’enrégimentent habituellement les réseaux terroristes. Yassine B, animateur dans une école et inconnu des services, Icham M, manutentionnaire ayant déjà six condamnations pour des faits de droit commun, Samir B., épicier « franco-tunisien » de 35 ans condamné à sept reprises et Zakaria M, « franco-marocain » de 35 ans sans emploi étaient très prudents. Téléguidés par un donneur d’ordre retranché en zone syro-irakienne, ils communiquaient entre eux en réseau fermé grâce à une ligne spécialement dédiée.
Au même moment, la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI) avait appréhendé à Marseille Icham E., SDF âgé de 38 ans avant que ce dernier ne passe lui aussi à l’acte. Venant de débarquer dans la cité phocéenne, lui seul était connu des services spécialisés. Il avait été signalé pour radicalisation par les autorités du Portugal, où il résidait sous une fausse identité depuis l’automne 2013, après plusieurs voyages suspects dont l’un effectué vers la Turquie d’où il a été refoulé. Selon le procureur Molins, au moins trois des «opérationnels de Daech» ont manifestement eu la velléité de rejoindre la Syrie, notamment via Chypre, pour combattre sous la bannière de l’État Islamique.
Lors des perquisitions, les policiers ont retrouvé un arsenal, dont deux armes de poing de type Sig Sauer et Glock, deux pistolets automatiques, des lots de dizaines de cartouches de calibre 6.35 et 9 mm ainsi que certaines munitions de 38 spécial.
Des éléments saisis à Strasbourg ont en outre, d’après le procureur, «permis de découvrir des écrits très clairs d’allégeance à Daech et glorifiant la mort en martyr».
Une clef USB retrouvée chez Yassin B. recelait deux fichiers mettant en évidence, selon François Molins, la «possibilité d’une somme d’argent» ainsi que les coordonnées GPS d’une cache d’arme. À Marseille, Icham E. disposait de plus de 4281 euros et était sur le point d’acquérir un armement.
Ils envisageaient de se filmer en direct
Au total, une dizaine de sites symboliques – et régulièrement évoqués en cas de menace – ont fait l’objet de recherches numériques. Dans ce sordide inventaire à la Prévert, figure selon plusieurs sources le siège de la police judiciaire parisienne au 36 quai des orfèvres, le marché de Noël des Champs-Élysées, le parc d’attractions Disneyland Paris, des terrasses de cafés dans le nord-est de la capitale, une station de métro parisien et plusieurs lieux de cultes. A priori, si aucun repérage opérationnel n’a toutefois été mené, les membres de la cellule démantelée semblaient déterminés. La veille du coup de filet, Yassine B. et Icham M. avaient téléchargé l’application Périscope pour se filmer en direct devant les internautes.
« Certifié Conforme » pour la LICRA
Stéphane Guillon joue « Certifié Conforme » au profit de la LICRA.
« Certifié conforme ! », c’est le nouveau spectacle « seul en scene » de Stéphane Guillon, qu’il donnera au théâtre Dejazet au profit intégral de la LICRA ce soir, 28 novembre, à 20h30.
Ménard quitte le plateau d’Ardisson après avoir eu l’honneur d’être comparé à Hitler…
« Va te faire foutre. » Ce sont les derniers mots de Robert Ménard à l’animateur Thierry Ardisson.
Le maire FN de Béziers a quitté le plateau de l’émission de C8, diffusée ce samedi soir à 19h05, après une phrase de « l’humoriste » Tom Villa, où il le comparait implicitement à Adolf Hitler :
« Bientôt, tu iras plus loin que l’Hérault et un jour, toi aussi, tu seras connu dans l’univers comme le célèbre Adolphe… Sax, l’inventeur du saxophone. »
« Allez, c’est fini » a répondu l’édile en quittant le plateau, avant de lancer un « va te faire foutre » menaçant à l’animateur, qui tente de le retenir. Celui-ci ironise : « Une fois qu’il était parti, il y avait une meilleure ambiance ».
Etranger
Europe
Des Danois se révoltent contre l’envahisseur islamique
Une attaque aux feux d’artifices a été réalisé contre l’école musulmane Mina Hindholm à Fuglebjerg.
Le proviseur du Lycée de l’école musulmane Mina Hindholm qui est la première école de formation de personnels religieux (Imam Hatip) de la Scandinavie, Ahmet Ihsan Deniz a fait savoir qu’il avait été attaqué 4 fois au cours de cette année, et que l’attaque perpétrée la nuit du 25 novembre était la dernière en date.
L’envahisseur a précisé que 4 assaillants dont l’identité reste inconnue avaient attaqué l’école dans les points de l’école qui ne sont pas visibles par les caméras de surveillance, et noté que la police nationale avait ouvert une enquête concernant l’attaque.
Soulignant que l’école, régulièrement qualifiée de lycée ‘islamique’ par les médias danois, était la souvent la cible d’attaque raciste ces derniers jours.
Allemagne : un restau bobo de Berlin refoule les sympathisants de l’AfD
Le restaurant Nobelhart und Schmutzig compte parmi les établissements les plus huppés de Berlin. Dès sa première année, le restaurant de Kreuzberg a été distingué par une étoile au Guide Michelin. Le chef Billy Wagner y cultive un style tout à fait personnel.
C’est ainsi que les clients, quand ils ont sonné, sont accompagnés par lui-même à leur table. Chacun reçoit en outre le même menu, composé de dix plats. Il montre aussi son originalité en faisant savoir dès l’entrée ce qu’il ne veut absolument pas avoir dans son restaurant. À savoir portables, appareils photo et armes.
Depuis quelques jours, un nouveau panneau d’interdiction a fait son apparition devant le restaurant. Il en interdit l’accès aux sympathisants de l’AfD. Billy Wagner en a publié la photo sur la page Facebook du restaurant. Sa démarche y a suscité des discussions houleuses et des centaines de commentaires. Même des utilisateurs qui ne se déclarent pas sympathisants de l’AfD trouvent la mesure exagérée.
Une mesure digne de la nuit de Crystal et qui rappelle les heures les plus sombres de l’histoire de l’Allemagne ?
Monde
Égypte : le maréchal al-Sissi exprime son soutient à l’armée syrienne de Bachar el-Assad
Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi a exprimé, dans une interview télévisée, son soutien à l’armée syrienne, une position en contradiction avec ses alliés du Golfe comme l’Arabie saoudite. L’ancien chef de l’armée égyptienne devenu président en 2014, a été l’artisan d’un rapprochement avec la Russie, principal soutien du régime du président Bachar el-Assad. « Notre priorité est de soutenir les armées nationales, par exemple en Libye pour renforcer le contrôle de l’armée sur le territoire et traiter les éléments extrémistes. Même chose en Syrie et en Irak », a-t-il dit déclaré en répondant à la question de savoir si l’Égypte envisageait un rôle de maintien de la paix en Syrie sous mandat des Nations-Unies.
Le maréchal al-Sissi, qui a destitué son prédécesseur islamiste Mohamed Morsi en 2013, a mené une répression sanglante contre les Frères musulmans et combat les jihadistes de l’État Islamique dans le Sinaï. Malgré les milliards d’aide reçus de l’Arabie saoudite, les relations entre les deux pays se sont refroidies récemment en raison de la position du Caire sur la Syrie. Riyad finance des opposants en guerre contre le régime syrien qui lui est épaulé par l’Iran et la Russie. De plus Riyad a décidé en octobre de suspendre ses livraisons de produits pétroliers au Caire, pourtant vitales. En parallèle, l’Égypte a soutenu aux Nations-Unies en octobre une résolution russe sur la Syrie farouchement décriée par l’Arabie saoudite. En effet le maréchal al-Sissi est favorable à une issue politique pour mettre fin au conflit en Syrie : « Notre position en Égypte est de respecter la volonté du peuple syrien, et qu’une solution politique à la crise syrienne est la meilleure façon de procéder ».
Syrie : importantes avancées du régime de Bachar el-Assad dans Alep et Damas
L’armée syrienne a annoncé dimanche 27 novembre avoir pris le contrôle du quartier, sous contrôle des islamo-terroristes, de Djabal Badro à Alep-Est, qui jouxte celui de Massaken Hanano, lui-même reconquis la veille. On a également appris un peu plus tôt que par milliers des civils avaient fui l’un des secteurs tenus par les « rebelles » d’Alep, vers des zones gouvernementales après la prise de Massaken Hanano. Des civils fuyant les zones tenues par les petits protégés des Occidentaux, qui les appellent « rebelles modérés » ou « opposition syrienne », pour se réfugier et se mettre sous protection du gouvernement d’Assad qu’ils appellent « le boucher », voilà qui devrait pourtant interpeller la Communauté internationale, les Nations-Unies, les États-Unis, la France…
Néanmoins, la capture samedi de Massaken Hanano est le plus important succès militaire de l’armée syrienne depuis le début de son offensive le 15 novembre visant à reprendre le secteur Est d’Alep qui était tombé sous contrôle des terroristes depuis 2012 et qu’elle assiège depuis quatre mois.
Fort de cette avancée, le régime a assuré sa volonté de « nettoyer » ce secteur de la rébellion, qui dénonce l’inaction de la communauté internationale face à la politique « de faim et de soumission » du régime. Massaken Hanano a été symboliquement le premier quartier capturé par les rebelles à l’été 2012, divisant l’ex-capitale économique de Syrie en deux avec l’ouest aux mains du régime et l’est contrôlé par les insurgés, qui détiennent encore plus de 250 000 habitants sous leur férule.
La télévision d’Etat syrienne a diffusé dimanche des images montrant une foule de civils, notamment des femmes et des enfants, s’attrouper près de bus verts venus les prendre du quartier de Massaken Hanano. « L’armée syrienne a réalisé le plus important de ses succès à Alep-Est » et « ouvre la voie à une nouvelle progression », a écrit dimanche le quotidien Al-Watan, proche du régime. Elle « est déterminée à poursuivre ses efforts, d’abord dans les quartiers adjacents de Massaken Hanano, puis en nettoyant complètement les quartiers est », poursuit le journal.
De leur côté, les rebelles ont intensifié leurs tirs de roquettes sur les quartiers ouest samedi soir et dans la nuit, tuant au moins quatre civils et en blessant des dizaines, selon la même source. Au total, 27 civils dont 11 enfants ont péri depuis le début de l’opération.
Dans deux agglomérations de la région de Damas, Al-Tall et à Khan esh Sheikh , la mise en place de l’entente de réconciliation locale parachevée par les autorités compétentes et les groupes armés a débuté samedi 26 novembre. L’accord garantit aux hommes armés ne souhaitant pas régulariser leur situation la possibilité de rejoindre la région désirée avec leurs armes personnelles à condition qu’ils rendent les armes moyennes et lourdes. Ce sont ainsi plus de 1000 jihadistes qui ont souhaité déposer les armes et régulariser leur situation à Al-Tall après que l’armée les ait encerclés leur coupant toutes les voies de retrait. De même à Khan esh Sheikh, la trêve a été parachevée jeudi dernier après quatre jours de négociations et les islamo-terroristes ont commencé à déposer les armes moyennes et lourdes. Au total, jusqu’à 2 000 hommes armés et membres de leur famille doivent quitter d’ici deux jours cette ville pour être acheminés dans la ville d’Idlib.
Vidéo
Serge de Beketch balance les noms d’«élites française » de la mouvance pro pédophiles
https://www.youtube.com/watch?v=UJVro77dw48
Kiosque
Militant
Revue nationaliste pour la défense de l’identité française et européenne
N°687 de novembre 2016
Sommaire :
Après le séisme du Brexit, la révolution Trump ? ; Vers la légalisation de la charia au Royaume Unie (Maurice Guffroy) ; Finance de l’ombre ou trou noir ? (André Gandillon) ; ALSTOM, le naufrage du géant français du transport (François Palaffites) ; La Wallonie, dindon de la farce (Albert Foehr) ; La Bosnie, futur centre Islamique de l’U.E. ? (Charles Esamp) ; Chroniques impertinente…
5€, abonnement 11n° 59€ – renforcé 82€ – soutient 160€
MILITANT B.P 154 75463 PARIS cedex 10
Site du journal et abonnement en ligne ici
Agenda
11 décembre 2016 : XXIème Table Ronde de Terre et Peuple
© Jeune nation – 2016
Lady Thimbelby et sa sœur, 1637, Antoine van Dyck
(National Gallery – Londres)
L’épouse du porte-parole de Poutine dans un numéro de patinage artistique sur le thème de l’Holocauste. Tatiana, qui portait un uniforme rayé avec étoile jaune, patinait pour l’émission « Ice Age ».
http://fr.timesofisrael.com/lepouse-dun-proche-de-poutine-dans-un-numero-de-patinage-sur-lholocauste/
Dans son équipe, la cinéaste Rama Burshtein emmene son assistante, qui la suit partout pour éviter toute rencontre avec un homme, et son rabbin expert en cinéma casher. « Tout ce qui se passe sur mon plateau doit être conforme à la Halakha » explique la realisatrice coiffée d’un turban qui cache ses cheveux, comme le prescrit sa religion.
http://www.leparisien.fr/flash-actualite-culture/rama-burshtein-l-ultra-du-cinema-israelien-25-11-2016-6375009.php