Les associations médicales suédoises et danoises ont fortement recommandé l’interdiction des mutilations sexuelles judaïques et islamistes dites « circoncisions », sans nécessité médicale. L’Association médicale de Suède, qui regroupe 85 % des médecins suédois demande à ce que ces mutilations soient impossibles avant l’âge de 12 ans et soit alors soumises à l’acceptation par la jeune victime juive ou musulmane. Le Collège danois des médecins est arrivé à des conclusions similaires dans un autre texte diffusé.
Sous la pression d’Israël, la plupart des pays d’Europe, comme le Danemark et la Suède, acceptent ces mutilations sexuelles, imposées généralement aux enfants de 8 jours chez les Juifs et avant les dix ans dans l’islam.
Il a été relevé à de nombreuses reprises, comme le Réseau international des Droits de l’enfant, que ces pratiques barbares violent les articles 12 et 24 de la Convention sur les droits de l’enfant pourtant signée par la plupart des pays dans le monde.
Le ministre suédois de l’Invasion et d’Israël Erik Ullenhag a immédiatement réagi pour rassurer les colons et autres occupants. Défendant les mutilations sexuelles rituelles, il a prétendu :
« La procédure n’est pas si grave [sic] et les parents ont le droit d’élever leurs enfants selon leur foi et leur tradition. »
Outre tous les textes internationaux auxquels l’État français affirment se soumettre et interdisant les mutilations sexuelles, la question du droit à l’intégrité physique est prévue en France par les articles 16 et suivants du Code civil, faisant partie du Chapitre II : du respect du corps humain de la loi.