Les réfugiés comme arme de guerre du Pentagone
C’est ainsi que le Pentagone US qualifie, selon ce que rapporte notre cher camarade italien, le philologue latiniste et versé dans les langues finno-ougriennes, Claudio Mutti, qui est une figure, dans la tradition gibeline, impériale, au reste, de Dante, de l’Islam italien, et éditeur de la revue géopolitique « Eurasia », (http://www.eurasia-rivista.com/migrazioni-o-invasioni/), la troisième sorte de phénomène migratoire que le monde, et point seulement l’Europe, est appelé à subir. Dans un article intitulé « migrations ou invasions », daté de ce 30 novembre, il est bien exposé que jusqu’à présent deux sortes de phénomènes migratoires étaient connus, l’un volontaire, qui est une colonisation au sens propre, la décision de s’établir en tel lieu pour le cultiver (colere) et de s’y fixer, comme, dirions-nous, les Saxons l’ont été en Roumanie, ou des Lorrains le furent en Hongrie à l’appel de l’impératrice Marie-Thérèse, et en Russie à l’appel de Catherine la Grande, princesse allemande devenue Impératrice. Je citerai aussi le cas moins connu, dans les Balkans, de la colonie italienne aux noms slavisés, dont l’agriculture est florissante, ou en France même, dans la Dordogne, d’Italiens du reste persécutés et massacrés parfois à la fin de la dernière guerre ! L’autre migration est involontaire, l’effet d’une contrainte, comme dans les déportations qui ont suivi la Première guerre mondiale et l’échange de population entre la Grèce et la Turquie, ou encore l’afflux des Rouges espagnols, dont plusieurs revinrent, détrompés, dans la patrie, plus qu’on ne veut dire, ou les colons rapatriés chez nous. Enfin l’Allemagne a connu le plus grand taux de déportés de la sorte lorsque des millions de civils, subissant des pertes et des violences horribles, ont du abandonner leur patrie ancestrale, pluriséculaire, et qui faisait dire à Heidegger : « vous me demandez », écrit-il à Herbert Marcuse qui avait été, avant-guerre, son élève et avait été recruté par les Américains pour démoraliser le pays, « de me sentir coupable pour des faits que par ailleurs je suis censé avoir ignoré, mais aujourd’hui, au vu et su de tous, des millions de gens venus de l’Est souffrent, meurent sur les routes, et personne ne dit rien. Alors pourquoi voulez vous extorquer de moi une déclaration de culpabilité morale, pour une chose cachée et invisible, tandis que vous êtes indifférent au malheur visible », écrit Heidegger en substance, à cet agitateur de mauvaise foi qui voulut gangrener la société européenne au sens large, incluant l’Amérique ; en quoi il réussit, dans les limites que Dieu fixe.
Ces immigrés ou réfugiés, expulsés (die Vertriebenen), ont été donc tels par la contrainte, la violence, et il semble qu’il n’y ait pas comme on dit en logique de tiers, tertium non datur, comme on définissait dans nos cours de Logique suspendus par les idéologues, le principe si fécond du tiers exclu : or ce tiers existe bien dans les cerveaux diaboliques, sataniques, devrait-on s’habituer à dire, de nos destructeurs de peuples qui siègent au Pentagone, selon Claudio Mutti qui cite une méchante fée de la sorte, Martha Minow, dans une conférence sur le conflit du Kossovo, tenue le 11 décembre 2000, à la Brandeis University – laquelle institution porte, comme nos lecteurs doivent le savoir, le nom du premier juge suprême des États-Unis, longtemps en poste jusqu’en 1939, militant hyper-sioniste, imposé au Président démocrate Wilson pour effacer un scandale de mœurs, ayant puisé dans les caisses de l’État pour satisfaire aux exigences d’une maîtresse !
Sa formule très simple mérite d’être retenue : « Aujourd’hui la guerre, ce sont les réfugiés » (refugees).
Qu’entendre par là, sinon, selon ce que nous explique le professeur Claudio Mutti, une migration prévue, projetée et en somme préparée pour servir d’arrière plan à des désordres intentionnels. Bref une arme de guerre !
Il doit s’agir d’une immigration massive frappant comme un coup de poing, et Claudio Mutti donne le premier exemple historique de la création de l’entité sioniste, dont la survie et la protection, comme le dit un Social-démocrate d’Allemagne, Martin Schutuz, Président du Parlement européen, dont le propos est rapporté par Avram Burg dans le journal socialiste sioniste « Haaretz » du 14 février 2016, est ce qui fait que « pour moi la nouvelle Allemagne seulement subsiste » (Für mich besteht das neue Deutschland nur, um die Existenz des Staates Israel und des jüdischen Volkes zu gewährleisten,) ! Enfin une raison de vivre !
D’un coup tout un pays palestinien, partie méridionale de la Syrie, s’est effondré, et les gens ont été chassés de leur demeure. C’est une stratégie qui en prépare d’autres, une Palestine aux dimensions mondiales.
En effet, dans une étude récente, une certaine assistante de John Kerry, et consultante au Pentagone, Kelly M. Greenhill conceptualise une « coercive engineered migration », une contrainte migratoire artificielle ! C’est ce que nous avons vu défiler sous les balcons de la Hongrie et qui est conduit par voie technique, artificieuse engineered, combinant les sciences humaines manipulatrices et la technique ainsi asservie à la destruction de la nature, au sens large ! Madame l’experte du Pentagone, la Greenhill parle, et la référence au modèle israélien est patente, d’une migration expropriatrice projetée.
Je laisse le soin de lire l’étude italienne, bien charpentée, à la romaine, devrait-on dire, en citant l’anglais de ces comploteurs internationaux :
« Les migrations spoliatrices artificielles (dispossessive engineered migrations), sont celles dans lesquelles le principal objectif est l’appropriation du territoire ou la propriété d’un autre groupe ou groupes, ou l’élimination du ou des dits groupes comme représentant une menace à la domination ethnique ou économique de ceux qui fabriquent la migration, ceci comprend ce qui vulgairement entendu par nettoyage ethnique ». (« Armes de migration massive, Weapons of Mass Migration,p.14)
Il convient de retenir la formule de la conférence du 11 décembre 2000, citée plus haut, de l’Université Brandeis, « la nature de la guerre a changé, aujourd’hui, la guerre, ce sont les réfugiés ».
Il n’est cependant pas possible, sans citer George Schwarz ou Soros dans le « Wall Street Journal » du 20 septembre 2016 , de laisser le lecteur tirer les conclusions de ce qui n’est pas un problème humain ou moral d’accueil des étrangers, relevant d’une Willkommenskultur, culture de bienvenue, que seul l’égoïsme luciférien, le racisme, refuserait alors que le christianisme sorosien ouvre les portes du royaume du père ! En réalité c’est d’une étude très fine des systèmes naturels que les nouveaux stratèges d’une guerre débutée en 1914, partent, et appuyés sur un colossal investissement financier ! Claudio Mutti cite telle personnalité indienne qui met en garde contre ce sacrilège, qui est plus qu’un crime, car il ne va pas seulement à l’encontre de la loi naturelle, mais la détruit, la décapite dans un suicide collectif, typique du Kali Yuga ou âge sombre de l’humanité ! Soros fait donc entendre sa voix qui couvre la raison, accordant 500 millions de dollars aux réfugiés en Europe, direz vous, non pas seulement, mais aux projets d’investissement de ceux -ci dans le monde entier. Oui, la guerre est mondiale !
Pierre Dortiguier