Immaculée Conception de la Très Sainte Vierge
Sommaire :
Actualité nationaliste en France
- Rappel de la malveillance de leur « système » a la veille de l’effondrement du monde d’hier avec un retour populaire vers le nationalisme – Pierre Sidos
France
- Mustapha, Rabah et Hassan en procès pour meurtre
- Un Algérien et son complice Syrien arrêtés pour cambriolages
- Le FM :. Miloud Addou, entrepreneur, exploitait des envahisseurs clandestins sur des chantiers
- Aboubacar jugé pour avoir tué un homme dans un foyer Adoma
- Trois Roumains condamnés après une série de 19 cambriolages
- Un Zambien condamné pour vol à Marseille
- Fares, Mohamed et Anis condamnés pour racket d’un jeune à Marseille
- Hollande a distribué des documents « confidentiels défense » à des journalistes
Etranger
Europe
- Pays-Bas : les services de renseignements découvre l’agent d’influence du judaïsme politique, Geert Wilders
- Royaume-Uni : 55 clubs de foot impliqués dans un scandale de pédomanie
- Russie : Seconde guerre mondiale, des légendes staliniennes qui ont la vie dure
- Portugal : Ibrahim Salem, envahisseur érythréen, viole une femme de 67 ans à Albufeira
Monde
- Palestine occupée : (((Kushner))), le gendre de Trump verse des milliers de $ aux colonies israéliennes
- Syrie : avancée spectaculaire des Forces armées syriennes à Alep
- Équateur : un diplomate compare l’action de l’Entité sioniste en Palestine aux crimes nazis
Vidéo
- BOB MATHEWS – Call To Aryan Warriors
Kiosque
- Rivarol n° 3261
Ephéméride nationaliste
8 décembre 1879 : mort de Sainte Bernadette Soubirous
8 décembre 1975 : mort de Plinio Salgado
8 décembre 1984 : mort de Robert Jay Mathews
Agenda
- 11 décembre 2016 : XXIème Table Ronde de Terre et Peuple
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France
Rappel de la malveillance de leur « système » à la veille de l’effondrement du monde d’hier avec un retour populaire vers le nationalisme – Pierre Sidos
Extrait de l’allocution prononcée par Pierre Sidos, à l’occasion d’un congrès nationaliste tenu les 31 octobre et 1er novembre 2015, à Sèvres (Hauts-de-Seine).
En ces débuts du 21ème siècle s’impose le constat d’une altération gravissime des comportements sociaux et politiques, du national à l‘international, qui trouve son origine idéologique, à l’époque dite du « siècle des Lumières » (le 18ème), dans les idées et les faits de la « révolution américaine » (1775-1783), et dans ceux corroborant de la « révolution française » (1789-1799). Dans le même temps s’ajoutent des révoltes brusques et violentes en Irlande et en Angleterre (1780-1783), dans les Provinces-unies (1781-1787) et aux Pays-Bas autrichiens (1787-1790) du nord et au sud de la Hollande actuelle, à Genève en Suisse (1766-1768) et 1788, en Pologne (1788-1790), dans divers Etats italiens (1796-1799). L’ensemble étant imputable à l’action subversive de groupes de personnes constituées en « sociétés de pensées », parmi elles : « Les illuminés de Bavière » fondée à Ingolstadt (1776), toutes hostiles aux institutions traditionnelles souveraines et confessionnelles. La Franc-maçonnerie apparue à Londres (1717), association philosophique associant le mercantilisme anglo-saxon, le protestantisme libéral, le talmudiste mental, étant la plus importante, étendant rapidement son activité occulte dans différents pays d’Europe : en France (1721) pendant la régence du due Philippe d’Orléans, Allemagne (1737), Autriche (1742), Danemark (1743), Norvège (1745), Portugal (1735), Suède (1735), Suisse (1736) et dans les treize colonies anglaises d’Amérique du Nord (1733). Ainsi dans la ligne initiale de La contestation du divin et de la transcendance, le système de démocratisme cosmopolite s’est donc impose au cours du « stupide 19ème » siècle et du 20ème. Ce système hypocrite, prodigue en « déclarations des droits de l’homme » avec omission révélatrice de ses devoirs envers le Créateur, ses parents, ses semblables et les autres – étant bien entendu que normalement les prochains doivent toujours passer avant les lointains -, est marqué par la malfaisance de ses orientations libertaires, égalitaires et sectaires ; ses violences sanguinaires (en France : 1793, 1848, 1871, 1934, 1944, 1962); ses scandales de corruption financière ; ses incitations à la dégénérescence morale et artistique ; ses trucages électoraux avec notamment la multiplicité des modes de scrutin. Le dit « système », qui est anti-naturel dans son essence, nie les différences existantes entre les humains, les acquis bénéfiques des civilisations ; et met en avant, pour résoudre les problèmes de la vie en société, la revendication de droits rhétoriques à faire valoir, plutôt que la satisfaction raisonnable de besoins réels : alimentation, activité, habitat, famille, sante, connaissance, sécurité, protection. Les deux figures conjointes du « système » en question s’accordant pour professer le culte illusoire de la raison et du progrès, sont le libéralisme mondialiste statufié a New York sous les traits d’une prétendue « liberté éclairant le monde » , et le collectivisme internationaliste incarné par Karl Marx, fondateur de la « 1ère Internationale », soutenant la thèse selon laquelle « il n’y a pas à comprendre le monde, mais à le transformer » , dont a découlé « le plan stalinien de la transformation de la nature » (1948). La forme d’expression du communisme socialiste étant à l’agonie, depuis l’effondrement de L’Union soviétique, demeure maintenant dominante l’hégémonie du libéralisme capitaliste sur un grand nombre de pays, dont la république française ; cette suprématie évidente se couvrant parfois d’artifices dc vocabulaire. S’affirme donc la nécessité impérieuse d’une réaction révolutionnaire d’inspiration nationaliste authentique – ni nationalitaire (non excessif), ni nationalitariste (pas exclusif) – conduite avec vigueur et discernement, dans un temps donné. L’objectif d’une révolution nationaliste étant la reconstitution sociale du peuple de France, comportant la restitution aux Français de leur héritage légitime, dont ils ont été spoliés. Cette révolution doit être accomplie dans la fidélité aux promesses de baptême de Clovis (c.a.d. Louis) le 25 décembre 496 à Reims, acte fondateur de la nation France. L’appellation de « révolution nationaliste », anti-subversive par principe, est plus appropriée que l’emploi par certains du terme de « contre-révolution », en esprit équivalant pour eux à contre-subversion.
L’essentiel est d’avoir comme devise commune « La France aux Français » , qui figurait en tête de l’organe de presse fameux « La Libre parole » d’Edouard Drumont puis d’Henry Coston ; de prononcer l’interjection « Qui vive ? » , à l’imitation de la vigilance soutenue des sentinelles militaires, en y répondant d’une façon claire et unanime par: « France ! » , reprenant ainsi le cri de ralliement des membres de « La Ligue des patriotes » de Paul Déroulède et de Maurice Barrès ; d’adopter ensemble comme un symbole de reconnaissance indiscutable la noble fleur de Lys, la fleur de France, qui a une valeur historique populaire et nationale ; d’agir avec persévérance, dans le respect des ancêtres, le souci des générations à venir, le bien de l’humanité.
France
Mustapha, Rabah et Hassan en procès pour meurtre
Un affrontement sanglant, un mort, et une victime qui gardera des séquelles à vie. Cet après-midi sanglant du 22 août 2012, dans les quartiers nord de Clichy-la-Garenne, est au cœur du procès qui s’est ouvert ce lundi devant la cour d’assises d’appel de Versailles (Yvelines). Trois frères, Mustapha, Rabah et Hassan, respectivement 35, 37 et 39 ans, comparaissent jusqu’à vendredi pour le meurtre de Mourad, 23 ans, et la tentative de meurtre d’Anthony, à l’époque âgé de 22 ans. A l’issue de la première audience, à Nanterre, le parquet général avait fait appel du verdict : 20 ans de réclusion pour l’un des trois frères, 12 ans pour le deuxième… et l’acquittement pour le troisième, qui comparaît libre aujourd’hui.
Toute la journée, les témoins – enquêteurs de personnalité, policiers, médecin légiste – se sont succédé à la barre ou par vidéoconférence. Evoquant pour certains, en toile de fond, la loi de la cité. Dans ces quartiers nord, « deux clans », « deux groupes », celui de la fratrie accusée, et celui auquel appartenaient les deux victimes, s’opposent depuis des années.
A l’endroit où s’est produit le drame, il n’y avait pas de caméras de vidéosurveillance. Restent donc les témoignages, qui seront pour la plupart anonymes. « Nous avons quasiment eu autant de versions que d’auditions », souligne, à la barre, un commandant de la brigade criminelle qui a enquêté sur l’affaire.
« Dans une cité, c’est un rapport de force permanent. Certains n’existent que par rapport au groupe dans lequel ils sont », explique-t-il aux jurés. A l’origine, une vieille histoire de moto volée et de séquestration punitive qui date de 2008. Et depuis, des « railleries, des insultes » à l’encontre du quatrième frère de la famille accusée, le plus jeune, qui avait « osé raconter aux policiers ce qu’il s’était passé ». « Il s’est exclu du groupe. C’était une balance », explique le témoin. Puis une « montée crescendo ». Jusqu’à cet après-midi de l’été 2012 où les deux groupes se croisent dans la cité. Et s’affrontent dans une violence inouïe. Mourad et Anthony sont attaqués à coups de hachoir et de couteau. L’un d’eux, porté au cœur de Mourad par Mustapha – ce qu’il assume – lui sera fatal. Anthony finira avec le visage lacéré par un « sourire de Joker », selon les termes du président – on lui a tranché les joues à partir des commissures. Mais aussi un tendon d’Achille sectionné, des poignets tranchés aux trois quarts et d’autres multiples plaies sur le torse. « C’est exceptionnel de voir des blessures à la feuille de boucher, confie le médecin légiste qui a autopsié le corps de Mourad. Et pourtant j’en fais des milliers ».
Le procès se poursuit toute la semaine, le verdict est attendu vendredi.
Un Algérien et son complice Syrien arrêtés pour cambriolages
Le 1er décembre, les policiers du commissariat de Savigny-sur-Orge ont interpellé un homme de petite taille soupçonné de nombreux cambriolages commis sur la commune de Morangis dans le courant du mois de novembre. Mis en fuite avec son complice à plusieurs reprises, les témoins ont à chaque fois décrit un nain ou un enfant. Un dernier témoignage a bien confirmé qu’il s’agissait d’un nain.
Les enquêteurs ont alors mis en place, à partir du 20 novembre, une surveillance dans Morangis jusqu’à tomber sur les deux hommes. Pendant plusieurs jours, ils les ont suivis jusqu’à leur domicile et les voyant évoluer, intéressés par certaines maisons ou voitures. Jeudi dernier, les policiers ont déclenché l’interpellation et ont réalisé une perquisition. Des objets provenant des cambriolages ont été retrouvés, notamment de nombreux parfums. Âgé d’une trentaine d’années et de nationalité algérienne, le petit homme est recherché en Allemagne pour des faits du même type. Son complice, dans la même tranche d’âge, est de nationalité syrienne, né à Alep. Ce dernier, à deux reprises, a montré son sexe et ses fesses à des témoins. Présentés au parquet à l’issue de leur garde à vue, ils doivent être jugés selon la procédure de comparution immédiate.
Le FM :. Miloud Addou, entrepreneur, exploitait des envahisseurs clandestins sur des chantiers
Il recrutait notamment des ouvriers en situation irrégulière : un chef d’entreprise hyérois a été condamné à 4 ans de prison et écroué. Il était aussi expert auprès de la police et des tribunaux.
Faire travailler des personnes en situation irrégulières, « au black », à moindres coûts, sur des chantiers du BTP varois en bravant toutes les règles. C’était le juteux système mis en œuvre par des individus peu scrupuleux entre 2006 et 2010. Cinq individus (Naïma Guellal, Jamal Addou, Salah Boujnah, Hamda Karoui et Hedi Trabelsi) ont déjà été jugés les 23, 24, 25 novembre devant le tribunal correctionnel de Toulon où ont été prononcées des peines allant jusqu’à 3 ans de prison et 300.000 euros d’amende. Un sixième prévenu était, quant à lui, renvoyé à l’audience du 1er décembre.
Ce dernier, un chef d’entreprise hyérois à la tête de plusieurs sociétés, n’est pas un inconnu des services de police et de la justice. Non pas que son casier judiciaire soit noirci de condamnations pénales, mais parce qu’il était un habitué des couloirs du commissariat de police de Toulon et des salles d’audience du tribunal de grande instance de Toulon où il officiait comme expert-interprête agréé en langue arabe.
Vendredi, à l’issue de plusieurs heures de débats – où il a choisi de garder le silence -, Miloud Addou a franchi la ligne rouge. Reconnu coupable notamment d’aide à l’entrée au séjour irrégulier d’étrangers en France, d’emploi en bande organisée de salariés sans autorisation, d’exécution de travail dissimulé, de faux et de blanchiment d’argent, il a été condamné à cinq ans de prison, dont quatre années fermes, avec mandat de dépôt à la barre. Une chute judiciaire pour un homme qui avait ses entrées dans les milieux les plus fermés.
C’est la plainte d’un ressortissant algérien, sans papier, le 20 janvier 2009, à la gendarmerie de Hyères qui a déclenché les investigations. L’homme, dont le passeport avait été récupéré par M. Addou, avait indiqué que l’on abusait de sa situation d’irrégulier pour l’exploiter sur des chantiers (dont une mise à disposition dans le golfe de Saint-Tropez, auprès d’un client régulier du prévenu). Une seconde victime a également expliqué qu’on lui a demandé de devenir gérant de paille d’une société.
Miloud Addou, arrivé en France en 1993, qualifié de « personnalité importante pour la communauté maghrébine à Hyères », de « patron ». Il est aussi écrivain public, membre de la loge Olbia du Grand Orient de France, se disant proche du consul d’Algérie. Le prévenu a notamment avoué avoir crédité les comptes de ses proches (dont celui de son fils de 4 ans) pour retirer des sommes en liquide.
Il a été réclamé par le parquet six ans d’emprisonnement (dont un an assorti d’un sursis avec mise à l’épreuve), 500.000 € d’amende, l’interdiction de gérer une activité dans le BTP, de paraître dans le Var et un mandat de dépôt.
Le tribunal a prononcé cinq ans de prison, dont un an assorti d’un sursis, 500.000 € d’amende et 2.000 € à chacune des parties civiles.
Ils sont deux à s’être assis sur les bancs réservés aux victimes. Deux ressortissants algériens qui n’ont pas voulu garder le silence malgré la peur qui les étreint. Le premier à s’avancer face aux magistrats est celui qui a dénoncé les faits aux gendarmes. S. est Algérien.
Sa venue en France, il l’explique par la nécessité de régler la succession d’un oncle en 2003. Il ne comprend pas les procédures et fait confiance à Addou. Il lui est proposé d’obtenir un visa. Moyennant un chèque de 6.000 € et son passeport. Le piège vient de se refermer et les démarches ne seront jamais effectuées. L’homme est en situation irrégulière, privé de sa pièce d’identité. Addou va lui proposer de travailler. « C’était soit tu travailles, soit je te dénonce. »
Son passeport, S. va finalement le retrouver en allant fouiller dans un cabanon que possède M. Addou entre Hyères et La Crau. Le 14 janvier, S. est interpellé à la sortie de son domicile par la police aux frontières et conduit en centre de rétention à Nîmes. Il a été dénoncé par… Miloud Addou, l’expert agréé qui a ses entrées auprès de policiers. La victime dit avoir vécu l’enfer.
La deuxième victime a du mal à contenir sa colère mêlée de crainte lors de son témoignage.
« Cet homme est un tyran. Il m’a exploité ! criera-t-il. Il ne respecte rien. Il m’a traité comme un chien. Il me payait 35 € par jour pour de la maçonnerie. Ou plutôt quand il voulait. Il dit qu’il payait 1.200 € et des primes » au black » de 1.000 €! Mais comment peut-il dire ça? Je n’arrive même pas à régler un crédit de 93 € et lui, il venait me montrer des liasses de billets. »
Addou lui demandera de s’inscrire à un stage de formation pour devenir artisan et gérant de paille contre 1 000 euros. « Je risque gros car j’ai témoigné contre lui », a-t-il déclaré avant de faire un malaise quelques minutes plus tard en salle d’audience.
Aboubacar jugé pour avoir tué un homme dans un foyer Adoma
Selon les témoins, les deux hommes s’entendaient bien. Pourtant, au cours d’une bagarre, Aboubacar D. a tué Mahmadou S. d’un coup de couteau le 26 avril 2013. Cet homme de 41 ans comparait cette semaine devant la cour d’assises de l’Essonne à Évry pour ces faits de violences avec arme ayant entraîné la mort sans intention de la donner.
Le jour du drame, les policiers sont appelés au foyer Adoma d’Évry vers 20 heures. À leur arrivée, ils trouvent un homme gisant dans une mare de sang. La victime, consciente, leur indique avoir reçu un coup de couteau à l’épaule droite et de nombreux coups de poing. L’auteur des coups s’est réfugié dans une chambre. Il en sort et se rend aux policiers, confirmant qu’il est bien l’auteur des faits. Rapidement, la victime perd connaissance et ne pourra être réanimée. Le décès est prononcé à 21 h 35.
Les enquêteurs rencontrent vite un problème : aucune des personnes présentes au foyer n’a été témoin de l’altercation. Il semble néanmoins que la dispute entre les deux hommes ait pour origine une fuite d’eau dans les toilettes communes. La victime passait la raclette dans le couloir afin d’éviter que l’eau ne rentre dans sa chambre. Selon l’accusé, Mahmadou aurait tambouriné à sa porte en le menaçant à cause de cette fuite. Il dit être alors sorti de sa chambre, ce qui aurait conduit à une bagarre. Aboubacar assure avoir alors reçu un coup de poing au thorax, puis s’être enfui vers la cuisine. C’est là qu’il s’est saisi d’un couteau à viande pour, affirme-t-il, intimider son assaillant.
Mais la lutte a repris. L’accusé assure qu’il n’a pas volontairement frappé la victime et qu’il s’agissait d’un geste accidentel alors que mis à terre, il tentait de se dégager. L’autopsie et la reconstitution ont montré que ces déclarations étaient compatibles avec le déroulé des faits. Le verdict est attendu ce vendredi.
Trois Roumains condamnés après une série de 19 cambriolages
En un mois et demi, trois hommes ont écumé une vingtaine d’entreprises du Morbihan en 2014. Leur butin était envoyé en Roumanie. Ils ont été condamnés, lundi 5 décembre.
Dans une même nuit, trois ou quatre sites pouvaient recevoir leur visite. Du 28 septembre au 4 novembre 2014, trois cambrioleurs ont sévi à Naizin, Plumelin, La Chapelle-Caro, Bohal, Kervignac, Molac, Evellys. Leur cible : les locaux d’entreprises situées en bordure d’un grand axe de circulation. Une fois les clôtures découpées, les alarmes arrachées, les portes et fenêtres brisées, les locaux étaient fouillés, très souvent saccagés.
Leur objectif ? Récupérer carburant, ordinateurs, portables… Dans une charcuterie industrielle, ils ont volé 500 kg de marchandises, couteaux et outillage. Le butin a été amassé dans des véhicules volés à la société et abandonnés un peu plus loin. Des colis ont ensuite été confectionnés et envoyés en Roumanie où ils ont été réceptionnés par un comparse.
Les enquêteurs français ont fini par arrêter trois hommes. Deux Roumains, âgés de 44 et 29 ans, ont été interpellés en Roumanie en novembre 2015. Le troisième, 32 ans, qui leur a servi de chauffeur, a été arrêté à son domicile, à Ploërmel.
Lundi 5 décembre, le tribunal a condamné le chauffeur occasionnel, complice, à 18 mois de prison dont neuf avec sursis. Florin Dimitriou, 43 ans, et Mugurel Granada, 29 ans, ont écopé de trois ans de prison ferme. Ils sont maintenus en détention et interdits de séjour en Bretagne pendant cinq ans.
Un Zambien condamné pour vol à Marseille
La présidente s’empare de Harry, un grand zambien de 26 ans, qui a volé un portable à un clubber et sa copine sur le Vieux-Port. « C’est le centre de supervision urbain qui a appelé la police. On vous voit sur les caméras de vidéo-surveillance. » - « J’étais soul » reconnaît le prévenu qui veut « rentrer à la Légion étrangère ».
Il est demandeur d’asile en Suisse et logé en foyer d’accueil en France… Il écope de 4 mois ferme à purger illico, en France.
Fares, Mohamed, Anis condamnés pour racket d’un jeune à Marseille
Comparutions immédiates au tribunal correctionnel de Marseille.
Ils sont trois « jeunes » jugés pour avoir racketé une personne vers la gare Saint-Charles. « On vous reconnaît sur les caméras de la Ville car vous êtes défavorablement connus » lance la présidente. « Vous, vous lui avez arraché sa « beuh » contre 80 euros retirés au distributeur. Vous laissez ensuite le pigeon à vos deux copains qui continuent. La victime doit faire trois tabacs pour acheter 5 cartouches de cigarette pour 350 euros. » – « On l’a juste carotté, on l’a pas forcé. En prison, j’ai vu des gens se prendre des coups de couteau, je suis choqué, je veux pas y retourner » explique Fares. Mohamed est en panique après déjà un mois de détention provisoire : « C’est pas de l’extorsion, c’est du carottage. On l’a pas obligé. On lui a vendu de la pelouse et des feuilles de platane qu’on a fait passer pour de l’herbe. On a fait un truc d’enfants, c’est pas mon monde la prison. Je veux rattraper ma connerie mais tout sauf la prison, y a que de mauvaises fréquentations. Je me retrouve mélangé à des criminels pour de la pelouse ! » Anis, 20 ans a le mot de trop : « La victime, elle en a rajouté. C’était un drogué. » La juge le remballe : « C’est vrai que vous n’êtes pas des drogués avec chacun une condamnation pour usage de stup ».
Un an ferme est requis. Le trio écope d’un an ferme avec embastillement immédiat.
Hollande a distribué des documents « confidentiels défense » à des journalistes
La justice a lancé une enquête après la publication d’un document « confidentiel défense » sur un projet de frappes françaises en Syrie en 2013, obtenu par des journalistes du Monde dans le cadre de leurs nombreux entretiens à l’Élysée avec François Hollande. Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire pour compromission de la défense nationale.
Le 25 août, avant la sortie du livre « Un président ne devrait pas dire ça… », de Gérard Davet et Fabrice Lhomme, Le Monde avait publié une série d’articles intitulée « Dans les coulisses d’un quinquennat ». L’un d’eux, titré « Le jour où… Obama a laissé tomber Hollande », racontait comment la France avait renoncé, à l’été 2013, du fait des tergiversations américaines, à mener des frappes contre le régime syrien de Bachar Al-Assad, alors fortement soupçonné d’utiliser des armes chimiques contre son peuple. Les deux journalistes y relataient un entretien avec le président Hollande à l’Élysée le 30 août et évoquaient un document estampillé « confidentiel défense », présentant le déroulé théorique de l’intervention, que Le Monde avait reproduit en illustration de l’article.
Le ministre de la défense, Jean-Yves Le Drian, proche de François Hollande, avait relativisé la gravité des faits. « De quoi s’agit-il ? De la publication dans un journal du soir d’éléments (…) sur des événements qui remontent à trois ans et en plus sur une opération qui n’a pas eu lieu ? », avait-il lancé le 6 novembre dernier…
Si l’enquête ne vise pas directement l’actuel chef de l’État, ce dernier n’a, d’un point de vue judiciaire en tout cas, pas grand-chose à craindre d’une telle procédure. Le président de la République bénéficie en effet d’une immunité totale, pénale et politique, sur les actes qu’il commet dans l’exercice de ses fonctions. La Constitution ne prévoit que deux exceptions. D’une part, au cas où des actes seraient susceptibles de relever de la Cour pénale internationale et donc d’être qualifiés de crimes contre l’humanité. D’autre part, dans le cadre d’une procédure de destitution.
Mais rien ne le protège des poursuites possibles et méritées qui pourraient être diligentées après un changement de régime politique…
Etranger
Europe
Pays-Bas : les services de renseignements découvre l’agent d’influence du judaïsme politique, Geert Wilders
Selon les révélations d’un quotidien, le Service de Sécurité néerlandais (AIVD) aurait mené pendant 2 ans une enquête dans le plus grand secret sur l’homme politique identitaire, Geert Wilders, député et chef du mouvement anti-islam « Parti pour la liberté », du fait de ses liens avec Israël, qui auraient influencé certaines de ces décisions politiques et sa loyauté ! L’AIVD aurait enquêté sur Wilders entre 2009 et 2010, et alimenté ses investigations par des entrevues avec entre autres 37 employés de l’État, des anciens agents secrets et des gardes du corps.
Cette enquête revêt un caractère exceptionnel, étant donné la réticence habituelle de l’AIVD à mener des investigations contre des politiciens en poste. Wilders était à cette époque, membre du parlement néerlandais et il aurait entretenu des liens étroits avec des personnalités influentes en Israël. L’enquête mentionne plus particulièrement une de ses visites en Israël datant de 2008 avec le général israélien Amos Gilad, aujourd’hui directeur des Affaires politiques du ministère de la Défense. Cette réunion se serait déroulée dans le quartier général de l’armée. De même des rencontres régulières avec l’ambassadeur d’Israël aux Pays-Bas, ont également été rapportées dans l’enquête.
Les résultats de l’enquête de l’AIVD n’ont jamais été rendus publics. Ni Geert Wilders, ni Gerard Bouman, responsable de l’AIVD entre 2007 et 2011, n’ont pour l’instant fait de commentaires.
Rappelons quand même aux services de renseignements néerlandais que Geert Wilders a vécu plusieurs années dans l’Entité sioniste qui occupe la Palestine où il a travaillé dans un moshav, c’est-à-dire un type de communautés agricoles coopératives associant plusieurs fermes individuelles. Les moshav ont d’abord étaient utilisés par les partis sionistes socialistes à partir du début du XXe siècle pour recoloniser la Palestine puis par d’autres courants politiques sionistes, extérieurs au courant socialiste, dont des courants sionistes religieux.
Rappelons encore que Geert Wilders affirme entretenir une relation personnelle forte avec l’Entité sioniste (et même avec le Mossad) où il s’est rendu une bonne quarantaine de fois au cours des 25 dernières années.
Il ne fallait pas donc pas être particulièrement soupçonneux pour s’interroger sur la relation particulière – pas vraiment dissimulée – de Geert Wilders et de l’État juif…
Royaume-Uni : 55 clubs de foot impliqués dans un scandale de pédomanie
La police britannique s’intéresse à 55 clubs anglais, professionnels et amateurs, dans le cadre du scandale d’agressions sexuelles sur mineurs qui fait actuellement vaciller le football anglais, la Fédération anglaise de football et certains grands clubs. Le Conseil national des chefs de la police, un organisme de coordination des forces de police locales, a confirmé que les clubs ont été signalés dans plusieurs enquêtes à travers le Royaume-Uni et qu’un tiers des polices locales mènent des enquêtes.
John Cameron, directeur de l’assistance téléphonique pour les victimes présumées mise en place par la National Society for the Prevention of Cruelty to Children (NSPCC, Société nationale pour la prévention de la cruauté contre les enfants), a déclaré : « Nous avons quelques informations, des allégations comme quoi des enfants pourraient être en danger actuellement ».
La fédération, qui a annoncé l’ouverture d’une enquête indépendante, et certains clubs anglais sont accusés d’avoir couvert pendant des décennies des actes de pédophilie, dont le nombre de victimes potentielles est monté à 350, selon un bilan de la police rendu public jeudi.
En effet, il y quelques semaines plus de vingt joueurs, dont plusieurs anciens internationaux, ont pris la parole publiquement pour raconter qu’ils avaient été agressés sexuellement par un entraîneur ou un recruteur lorsqu’ils étaient enfants. Et depuis, quelque 350 victimes présumées d’actes de pédophilie dans le football britannique se sont signalées auprès des autorités, a annoncé la police. Ce chiffre agrège les victimes ayant contacté la police directement et celles passées par la ligne téléphonique directe d’assistance mise en place par la National Society for the Prevention of Cruelty to Children. Lancée le 23 novembre, cette ligne a reçu plus 860 appels.
Plusieurs enquêtes ont donc été ouvertes par la police, notamment à Londres, et dans les régions de Manchester, Cambridge, Birmingham, Liverpool, Newcastle, en Écosse et dans les Galles du Nord. La fédération, qui a commandé une enquête sur son rôle, et les clubs anglais, sont accusés d’avoir fermé les yeux, voire couvert pendant des décennies des actes d’agressions sexuelles et de viols sur les mineurs membres des clubs.
Russie : Seconde guerre mondiale, des légendes staliniennes qui ont la vie dure
C’était une des histoires les plus glorieuses de l’Armée rouge pendant la Seconde Guerre mondiale, le sacrifice d’un groupe de soldats face aux nazis. C’est désormais un film à succès, « Les 28 de Panfilov », mais aussi une polémique puisque cet épisode n’a peut-être jamais eu lieu.
Le film, sorti dans plus d’un millier de salles, raconte l’histoire de soldats pendant l’hiver 1941 qui n’hésitent pas à se sacrifier pour empêcher les troupes nazies de marcher sur Moscou. L’acte de bravoure de ces « 28 hommes de Panfilov » – du nom du général Ivan Panfilov, commandant la division à laquelle ils appartenaient-, est depuis des décennies inscrit dans les manuels scolaires. Or une enquête, conduite dès 1948 par les autorités soviétiques mais dont les conclusions ne sont connues que depuis peu, a révélé que les actes des soldats avaient été largement exagérés par la propagande.
Les 28 hommes de Panfilov sont un « mythe », a résumé le directeur des Archives nationales Sergueï Mironenko qui a révélé les conclusions de l’enquête, s’attirant immédiatement les foudres du ministre de la Culture Vladimir Medinski. Les historiens « essaient de briser les fondements de notre foi en des choses qui sont gravées dans la pierre et sacrées », a dénoncé le ministre à la télévision. « Même si cette histoire a été inventée du début à la fin, il s’agit d’une légende sacrée, tout simplement intouchable », a-t-il insisté. « Ceux qui (la critiquent) sont les pires gens au monde ».
Peu après la révélation des conclusions de l’enquête, le directeur des Archives nationales avait présenté sa démission. Une décision prise de son plein gré, affirme celui qui était resté à son poste pendant plus de 20 ans. S’il admet que le 16 novembre 1941, d’intenses combats contre les nazis ont bien eu lieu et causé la mort de plus de cent soldats soviétiques, qui se jetaient parfois sous les tanks de leurs ennemis pour les faire exploser, Sergueï Mironenko persiste et signe: l’enquête dit bien que l’histoire des 28 héros a été « inventée ». « Le problème avec le régime soviétique, c’est que les héros fabriqués de toutes pièces sont plus importants que les véritables héros », ajoute-t-il. Plusieurs historiens sont venus à son secours, dont Andreï Issaïev, spécialiste de la Seconde guerre mondiale, qui assure également que l’histoire des 28 hommes de Panfilov n’a « aucun fondement ».
Le film, subventionné à hauteur de 30 millions de roubles (435 000 euros) par le ministère de la Culture, a également réussi à financer un cinquième de son budget grâce à une campagne de récolte de fonds sur internet. Lors du premier week-end suivant sa sortie, il a récolté plus de 154 millions de roubles (2,23 millions d’euros) et à Moscou, où une rue porte le nom des 28 hommes de Panfilov, les cinémas ne désemplissent pas dix jours après sa sortie. Ces dernières années, le pays renouant avec la tradition des films « patriotiques » de l’époque soviétique, plusieurs films de guerre ont été produits : en 2015, « Bataille pour Sébastopol » a rapporté plus de 6,5 millions d’euros, et « Stalingrad » a raflé près de 23,5 millions d’euros.
L’équipe du film « Les 28 de Panfilov » affirme s’être assurée de la véracité des événements en faisant appel à la Société de l’Histoire militaire russe, une institution fondée par Vladimir Poutine. Son président, Vladislav Kononov, qualifie l’épisode de « légende » et de « guide moral » pour les générations russes, tout en admettant qu’il est « possible qu’ils n’étaient pas 28 et qu’ils ne sont pas tous morts ». « Mais le fait qu’ils ont eu énormément de courage et d’endurance ne peut pas être remis en cause », a-t-il aussitôt ajouté. « Laissons l’Histoire aux historiens ».
Toute l’histoire ? A tous les historiens ? Chiche !
Portugal : Ibrahim Salem, envahisseur érythréen, viole une femme de 67 ans à Albufeira
L’homme qui a agressé et violé une femme sans-abri à Albufeira est un envahisseur provenant de l’Érythrée et détenteur du statut de réfugié. Il a été arrêté par la Direction Sud de la police judiciaire. Il fait partie d’un groupe de 15 envahisseurs qui sont arrivés au Portugal à la fin du mois d’octobre. Plus précisément Ibrahim Salem est entré au Portugal le 28 octobre et a été accueilli par la Fondation Antonio Silva Leal, à Albufeira, avec d’autres envahisseurs qui étaient bloqués en Italie. A l’aube, jeudi 1er novembre, il a approché la victime âgée de 67 ans, qui luttait contre le froid à l’entrée d’une succursale de banque dans le centre d’Albufeira. « Grâce à l’utilisation de la force physique, il la déshabilla partiellement et en raison de la résistance de la victime la frappa, lui causant des fractures maxillo-faciales et nasales ». La victime a été secouru par les pompiers de Albufeira et admise à l’hôpital de Faro. Quelques minutes plus tard, l’envahisseur criminel a été interpellé et maintenu par un jeune homme de21 ans jusqu’à l’arrivée des forces de l’ordre. L’homme a été placé en détention par ordonnance d’un juge.
Monde
Palestine occupée : (((Kushner))), le gendre de Trump verse des milliers de $ aux colonies israéliennes
La fondation de la famille (((Kushner))), créée par les parents du gendre du président élu Donald Trump, (((Jared Kushner))), a fait don de dizaines de milliers de dollars pour la construction des colonies illégales israéliennes en Cisjordanie occupée.
Alors que les États-Unis ont longtemps soutenu que les colonies de Cisjordanie occupée étaient contre-productives face à la possibilité d’une solution à deux États, Trump a annoncé après son élection qu’il ne considère pas celles-ci comme un obstacle à la paix et n’a aucune intention d’imposer des solutions à Israël en tant que président.
(((Jared Kushner))), marié à Ivanka -aujourd’hui convertie au judaïsme !-, la fille de Trump siège au conseil d’administration de la Fondation (((Charles et Seryl Kushner))), créée en 1997 au nom de ses parents.
Syrie : avancée spectaculaire des Forces armées syriennes à Alep
Dans des opérations dirigées par les Forces du Tigre et la Garde républicaine, l’Armée arabe syrienne a fait des avancées majeures dans l’antre terroriste d’Alep. Piégés, les jihadistes que les Occidentaux s’échinent à nommer « rebelles modérés » ou « opposition syrienne », luttent pour maintenir le terrain en vain. L’Armée arabe syrienne poursuit depuis samedi son attaque à grande échelle autour d’Alep-Est, visant plusieurs districts sous le contrôle des coalitions terroristes de Fatah Halab et de Jaish Al-Fatah.
Ainsi, de nombreux quartiers ont été pris d’assaut par l’Armée arabe syrienne soutenue par l’Armée de l’air syrienne et ses alliés russes, frappant les défenses des islamo-terroristes sur plusieurs axes, dont les défenses ont été percées. De nombreux jihadistes de Fatah Halab et Jaish Al-Fateh se sont mis à déposer les armes ou à fuir rapidement le champ de bataille.
L’armée syrienne affirme désormais tenir, avec ses milices alliées, les trois quarts des quartiers rebelles et c’est désormais toute la Vieille ville qui est contrôlée par les forces du régime, ce qui laisse aux « rebelles » jihadistes des miettes autour des quartiers restants à conquérir. Ces derniers sont désormais cantonnés dans le sud-est d’Alep, et sont sous la puissance de feu des Forces armées syriennes et de ses alliés.
Dans un dernier espoir de sauver les islamo-terroristes, marionnettes des Occidentaux, 6 pays (France, Allemagne, Canada, États-Unis, Italie et Royaume-Uni) ont réclamé le 7 décembre « un cessez-le-feu immédiat dans la ville d’Alep ». « L’urgence absolue est un cessez-le-feu immédiat pour permettre aux Nations unies de livrer de l’aide humanitaire aux populations de l’est d’Alep et de porter secours à ceux qui ont fui. L’opposition a approuvé le plan de quatre points de l’Onu pour Alep. Le régime doit aussi accepter ce plan. Nous l’appelons à le faire d’urgence pour soulager la situation désastreuse à Alep ; nous appelons la Russie et l’Iran à user de leur influence dans ce sens ».
Et ces 6 pays-là continuent donc surréalistement à brandir des menaces de sanctions et rétorsions contre le régime syrien, se disant « prêts à envisager des mesures restrictives supplémentaires à l’encontre des individus et des entités qui agissent pour le compte du régime syrien ou en son nom » et coupables de crimes de guerre. Cela s’applique-t-il aux bombardements de leurs « amis rebelles » sur Alep-Ouest ou à leur usage de produits chimiques ou toxiques ?
Le gouvernement syrien, lui, ne s’en laisse pas compter et a répondu aux menaces par un nouvel ultimatum aux groupes terroristes et jihadistes, les appelants à la reddition !
Équateur : un diplomate compare l’action de l’Entité sioniste en Palestine aux crimes nazis
L’ambassadeur de l’Équateur à l’Assemblée générale des nations-Unies a prononcé un discours dans lequel il a comparé le sionisme à du nazisme. Horacio Sevilla Borja s’exprimait devant l’Assemblée dans le cadre de la Journée de Solidarité avec le peuple palestinien et citant Fidel Castro qui venait de mourir, il a déclaré : « Nous dénonçons de toutes nos forces les persécutions et le génocide perpétré par les nazis contre les Juifs. Mais le seul événement de l’Histoire contemporaine qui pourrait être comparé à cela sont les expulsions, les persécutions et le génocide que les impérialistes sionistes commettent contre le peuple palestinien »
Il n’en fallait pas plus pour que le rouleau compresseur du judaïsme politique se mette en branle et lance sa cabale contre l’ambassadeur. Ainsi, l’ambassadeur d’Israël aux Nations-Unies, Dany Danon, a adressé une lettre au Secrétaire général Ban ki-Moon lui demandant de condamner ces propos haineux. De même le Centre Simon Wiesenthal de Jérusalem a adressé un message ferme au président équatorien Rafael Correa lui demandant de présenter des excuses publiques pour diffamation envers le peuple juif.
Le Premier ministre Benjamin Netanyahu, qui détient également le portefeuille des Affaires étrangères, a ordonné à Modi Ephraim, directeur général adjoint du ministère pour l’Amérique du Sud et l’Amérique centrale, de convoquer le troisième secrétaire de l’ambassade équatorienne, Enrique Ponce, pour une « réunion urgente ». Éphraïm a dit au diplomate que Jérusalem « s’oppose fortement » au discours de Sevilla, « qui est empli d’erreurs et de distorsions historiques ». Israël a demandé des « clarifications » à l’Équateur, a dit Éphraïm à Ponce, qui a promis de rapporter immédiatement le sujet à son bureau.
Vidéo
BOB MATHEWS – Call To Aryan Warriors
https://www.youtube.com/watch?v=tRbLmkP7jNI
Kiosque
Rivarol
N° 3261 du 8 décembre 2016
Sommaire :
Délit d’entrave numérique : l’avortement est la religion de leur République ; Autriche : nouvel échec d’un populisme pasteurisé ; Pourquoi la révolution Trump n’atteindra pas la France en 2017 ; Vers un duel Valls-Fillon : le match des doublures ? ; Le symbolisme pédosatanique ou l’ouverture sur le Mal ; Le trouble et dangereux jeu d’Erdogan ; L’étrange Henry de Montherlant ; Choses vues et entendues à Hanoï etc…
3,5€ en kiosque ou en ligne ici
ABONNEMENTS : 2 ans : 194 euros — 1 an : 114 euros — 6 mois : 64 euros — 3 mois : 36 euros — soutien : 175 euros — propagande : 210 euros —1 an (chômeurs, étudiants, lycéens, personnes en grande difficulté) : 100 euros.
RIVAROL 19 avenue d’Italie 75013 Paris Tél. : 01-45-86-06
Ephéméride nationaliste
8 décembre 1879 : mort de Sainte Bernadette Soubirous
8 décembre 1975 : mort de Plinio Salgado
8 décembre 1984 : mort de Robert Jay Mathews
Agenda
11 décembre 2016 : XXIème Table Ronde de Terre et Peuple
© Jeune nation – 2016
Prométhée supplicié, 1611-1612, Peter Paul Rubens
(Museum of Art – Philadelphia)
Boycotter « Les guerres pour l’Etoile » ? Quelle idee !
http://forward.com/news/356088/is-star-wars-is-a-sinister-jewish-plot-to-promote-diversity-alt-right-says/
Le pape François compare les lecteurs de la presse à scandales à des mangeurs d’excréments.
http://www.lapresse.ca/international/europe/201612/07/01-5049058-le-pape-compare-la-presse-a-scandale-a-la-coprophilie.php
En 2015, le terme « Lügenpresse » (presse a mensonges) avait été désigné « non-mot de l’année » par un jury de linguistes … et de journalistes.
http://www.slate.fr/story/126866/lugenpresse-nazis-pegida-trump