Sam : Saint Raymond de Peñafort, Maître général des Dominicains
Dim : Fête de la Sainte Famille
Sommaire :
Actualité nationaliste en France
- L’hypocrisie des bien-pensants : à propos de « Chez Nous », film anti-Front National – Vincent Reynouard
Actualité nationaliste en Europe
- Les députés viennent d’interdire les patrouilles des nationalistes slovaques
France
- Mohamed El Lamine, Tchadien, frappe sa femme avec un cric
- L’argent du trafic de drogue transitait par un grossiste Asiatique
- Fouad, 19 ans et 5 mentions au casier, tente de semer la police
- Kamel Benbakhti, Salaheddine Abdelkafar, Billel Abid… blanchiement d’argent et trafic de drogue
- Condamné pour avoir ouvert une école musulmane clandestine
- Un bar-brasserie de Saint-Quentin, retire son cocktail en hommage à Erwin Rommel
- Institut du monde arabe : les incroyables gaspillages de Jack Lang
- C’est à lire !
Etranger
Europe
- Italie : les services spéciaux évalue à 400 les jihadistes entrés en Europe parmi les pseudos « réfugiés »
- Finlande : Miss Helsinki est africaine…
- Europol : terroristes et criminels, les bases de données explosent
- Bulgarie : 2 envahisseurs retrouvés morts gelés dans une forêt
Monde
- États-Unis : 4 Noirs poursuivi pour un odieux crime raciste antiblanc à Chicago
- Entité sioniste : Netanyahou veut gracier le soldat assassin d’un Palestinien désarmé
- Libye : un pays en permanence au bord du chaos
Ephéméride nationaliste
- 7 janvier 1889 : naissance de Philippe Henriot
- 7 janvier 1873 : naissance de Charles Peguy
- 8 janvier 1909 : naissance de Pierre Rostaing
- 8 janvier 1924 : naissance de André Figueras
Agenda
- Paris : Galette des rois du PNF Ile-de-France
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Actualité nationaliste en France
L’hypocrisie des bien-pensants : à propos de « Chez Nous », film anti-Front National – Vincent Reynouard
A quelques mois des élections présidentielles françaises, un film clairement anti-Front national vient d’être annoncé pour le 22 février prochain: « Chez nous », de Lucas Belvaux. Le réalisateur justifie son film en déclarant que les partis populistes ne supportent pas qu’on soit en désaccord avec eux et refuse de discuter avec leurs contradicteurs… Dans cette courte vidéo, Vincent Reynouard lui rappelle, sur des exemples précis, que ce comportement est exactement celui adopté par les antirévisionnistes ; il l’invite donc à faire un film pour l’illustrer.
https://www.youtube.com/watch?v=PvHsFqgLNlQ&feature=youtu.be
Actualité nationaliste en Europe
Les députés viennent d’interdire les patrouilles des nationalistes slovaques
Des groupes de nationalistes patrouillaient dans les trains, chassant Rroms et envahisseurs. Les députés viennent de les interdire.
Depuis plusieurs mois, des recrues du mouvement L-SNS (Fraternité slovaque) patrouillaient dans les gares et les trains pour « faire régner l’ordre là où la police n’y parvient pas » et pour protéger les gens des « parasites rroms ». Quand ils repéraient un voyageur suspect, de préférence un Rrom ou un envahisseur, ils s’empressaient de le livrer à la police.
Les députés viennent de déclarer ces « milices » illégales. À partir de février, seuls les policiers et les agents du réseau ferré pourront faire respecter l’ordre dans les transports publics. « Personne ne peut remplacer la police dans notre pays », a déclaré la ministre de la juifstice, Lucia Zitnanska.
Tout a commencé en avril, lorsqu’une jeune femme se fait voler son portefeuille dans un train par un Rrom. Marián Kotleba, chef du mouvement nationaliste, demande alors la liste des trains réputés dangereux à la Compagnie des chemins de fer… qui la lui donne sans rechigner ! Il envoie aussitôt ses militants sillonner les gares et contrôler les passagers qui leur semblent louches.
Quatorze membres de son parti venaient d’être élus députés. « Ce succès inédit leur a donné un sentiment accru de légitimité ».
Peu après, Marián Kotleba avait d’ailleurs déclaré qu’il utiliserait cinq des 5,2 millions d’euros versés par l’État à la suite de son succès électoral pour créer une milice.
France
Mohamed El Lamine, Tchadien, frappe sa femme avec un cric
Calvados : il jette son fils de trois ans dans la voiture et frappe sa femme avec un cric
Un homme de 41 ans a littéralement « pété » les plombs en ne trouvant pas son fils qu’il venait chercher après Noël.
Lundi 26 décembre, Mohamed El Lamine, Tchadien de 41 ans, qui a eu ses deux aînés à Noël, se rend chez son ex-femme à Hérouville-Saint-Clair (Calvados), pour récupérer le benjamin âgé de trois ans et demi. Son ex-épouse l’informe que l’enfant est chez sa cousine et l’homme explose : « Tu vas faire la p… en laissant ton fils à ta cousine« . Une fois le garçonnet présent, il le projette violemment dans la voiture. La mère reprend son garçon dans les bras pour le consoler. Hors de lui, l’homme fouille dans son coffre et la frappe deux fois à la tête avec le cric, puis sur ses avant-bras : « Je vais te défoncer la tête, je vais aller en prison, mais je m’en fous« . La plaie en étoile sur le crâne de la femme nécessite cinq points de sutures et trois jours d’Interruption de Temps de Travail (ITT). Elle s’est fait représenter à l’audience de comparution immédiate du 28 décembre devant le tribunal correctionnel de Caen (Calvados). Séparés depuis trois ans, l’homme est parti avec la voisine, enceinte de ses œuvres en même temps que sa femme. Il a obtenu la garde de ses deux aînés, mais, l’ex-épouse revendique à présent les trois enfants, à l’occasion de la troisième enquête sociale, estimant le père trop « dur avec eux« .
Le procureur requiert, pour l’auteur de quatre délits routiers antérieurs, 18 mois dont 12 avec sursis, mise à l’épreuve de trois ans, mandat de dépôt, et interdiction de contact avec son ex-épouse. « Et en plus, vous alliez emmener votre fils en voiture sans permis de conduire !«
Le tribunal suit intégralement les réquisitions.
L’argent du trafic de drogue transitait par un grossiste Asiatique
La Courneuve : quand l’argent de la drogue transitait par un grossiste asiatique
Il n’appartient ni à l’équipe de Noisy-le-Sec, ni à celle de Trappes. Et pourtant, pour les policiers de la PJ parisienne, ce commerçant asiatique de 41 ans, installé à La Courneuve et vivant entre Bobigny et Paris, est l’une des pièces importantes du trafic de drogue jugé pendant toute la semaine en audience spéciale au tribunal correctionnel de Bobigny. C’est lui que les policiers voient récupérer des sacs, plus ou moins gros, à Paris, auprès de ceux des Yvelines. Les rendez-vous ont lieu à Paris, devant le Palais des Congrès, ou sur le parking d’un Quick… Au téléphone, il est question de « kilomètres » et de codes à plusieurs chiffres. Pour la PJ, c’était un moyen d’éviter de se faire pincer à la frontière avec de l’argent. Mais pour ce commerçant en textile, détenu depuis quinze mois après que la police a trouvé chez lui 310 000 € en liquide, cet argent n’avait pas de lien avec la drogue. C’était juste « un moyen de payer moins d’impôts », a-t-il répété à l’audience.
« Ma société a été créée en 2010, explique le commerçant de 41 ans dans un français compréhensible, en se passant du traducteur chinois pourtant sollicité en début d’audience. J’ai eu des stocks et des retards de paiement. Mes fournisseurs m’ont proposé une solution pour me payer la marchandise : en 2014, mon fournisseur m’a présenté un client en Espagne, Monsieur Wang, qui pouvait payer en espèces, sans facture. » Le système se résumerait ainsi : Monsieur Wang achète pour 150 000 € de tissus, qu’il paye en plusieurs fois en liquide via des émissaires, à qui un code est remis. A suivre le commerçant, ce code permet à Monsieur Wang de s’assurer que l’argent est bien parvenu, et d’évaluer le solde à régler. « On ne voit pas bien pourquoi il enverrait quarante personnes différentes pour vous payer, réagit la présidente Delphine Jabeur. Cela vous arrive souvent de faire des livraisons de cette envergure ? » « Non », répond le prévenu qui pendant l’instruction avait néanmoins mentionné « une vingtaine de livraisons pour un gain d’un million d’euros ». La somme à six zéros laisse la salle bouche bée, avocats compris. Me Caroline Toby, vole au secours de son client précisant qu’il faut déduire l’investissement de départ pour l’achat du tissu… Le bénéfice restant est estimé à 15 %, un montant coquet. « Qui livre le tissu ? Et pourquoi alors utiliser un téléphone crypté ? », questionne très sceptique la procureure, Pauline Bonnecarrère, dont les réquisitions sont attendues.
Fouad, 19 ans et 5 mentions au casier, tente de semer la police
Il tente de semer la police avec son scooter : 3 mois de prison
L’année commence mal pour Fouad, 19 ans qui était jugé cette semaine par le tribunal correctionnel de Toulouse. Lundi au cœur du quartier Bagatelle, les policiers ont vu débouler ce garçon sur un scooter 125 cm3 sans casque et à vive allure. Décidés à le contrôler, ils lui ont alors demandé de s’arrêter sur le bas-côté. Le jeune homme a préféré accélérer puis il a zigzagué entre les barres d’immeubles puis à travers un rond-point pour finalement terminer sa course contre un mur…
Kamel Benbakhti, Salaheddine Abdelkafar, Billel Abid… blanchiement d’argent et trafic de drogue
Deux boulangeries de Loos blanchissaient l’argent d’un trafic de cannabis d’envergure
« Des frères, des copains, des clients, une maman et des commerces de proximité pour blanchir l’argent de la drogue ». Au moment de requérir, le procureur Jean-Philippe Navarre a présenté ainsi les douze prévenus habitant Lille, Roubaix, Hem ou Loos, impliqués dans un réseau de cannabis qui a mobilisé de la juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) du 5 au 8 décembre. Un réseau d’envergure avec des importations de haschisch depuis le Maroc ou les pays Bas, selon la technique du go fast (une voiture éclaireuse précédant une seconde chargée de drogue) et un domaine de revente allant de Grande-Synthe à la région parisienne.
Une quinzaine de tonnes de haschich a ainsi été mise en circulation entre janvier 2012 et août 2014. L’enquête a été longue et minutieuse : « 56 lignes téléphoniques interceptées » relève le ministère public qui précise : « au-delà de la vente de la drogue, on en arrive à créer des solidarités où la famille, le groupe sont les bonnes excuses pour se livrer à des actes délictueux ». Car une partie de l’argent sale a servi à donner des coups de pouce : un peu d’argent pour dépanner un frère, l’achat d’une voiture en remerciement pour un copain… ou l’aide à l’ouverture et au développement de deux boulangeries à Loos dans le quartier des Oliveaux.
Le dossier a pris une ampleur particulière parce que l’homme placé par les enquêteurs à la tête du réseau avait été condamné à neuf ans en 2012 pour un trafic du même genre avant de s’enfuir. Contre Kamel Benbakhti 37 ans, rattrapé et actuellement incarcéré, le procureur a requis treize ans de prison. En défense, les avocats ont déploré que la présence de Kamel Benbakhti donne au dossier une résonance bien supérieure aux faits.
Le tribunal de Lille, présidé par Jean-Michel Faure, s’était donné quatre semaines de réflexion avant de prononcer son jugement qui a été rendu mercredi matin. Sur les douze prévenus, il y a six mandats de dépôts : Kamel Benbakhti a été condamné à dix ans de prison ferme et à 50 000 euros d’amende ; Salaheddine Abdelkafar, 33 ans (25 000 euros d’amende) et Billel Abid 36 ans, (30 000 euros d’amende), à cinq ans d’emprisonnement ; Farid Amghar, 43 ans et Anthony Lezon, 34 ans à quatre ans de prison et 5000 euros d’amende.
Condamné pour avoir ouvert une école musulmane clandestine
Pendant presque une année scolaire complète, une école privée musulmane a accueilli des élèves à Belfort. Faute de déclaration à l’administration, elle était clandestine. Son promoteur a été condamné.
Automne 2014, des agents de la Ville de Belfort visitent les locaux de l’ancienne mosquée de la rue de Londres, qui doivent être prochainement démolis. C’est alors qu’ils découvrent trois salles de classe bien équipées, quoique dépourvues d’issues de secours.
L’enquête révélera qu’une quarantaine d’enfants fréquentent les lieux tous les jours depuis la rentrée de septembre. À l’époque président de l’association Al Imane, un « Belfortain » de papier comparaissait ce mercredi devant le tribunal correctionnel, pour « ouverture d’établissement privé d’enseignement primaire sans déclaration préalable ».
Délit qu’il conteste vigoureusement. « Il s’agissait de soutien scolaire, pas d’une école. » Pourquoi cette nuance ? Parce que l’ouverture d’une école privée, si elle est parfaitement légale, est soumise à déclaration au maire de la commune, à l’Éducation nationale et au procureur de la République. Démarches qui n’ont pas été effectuées. L’administration ignorait tout de cette école. « Les enfants étaient présents aux horaires de l’école, ils avaient des carnets de liaison comme à l’école, des professeurs comme à l’école, des vacances comme à l’école… », détaille le président Jean-Luc Frey.
« Vous fournissiez même des lettres types pour déscolariser les enfants»
« Certes, mais dans notre esprit, ce n’était pas une école, mais du soutien scolaire », maintient le prévenu.
Le président se replonge dans le dossier : « L’association Al Imane avait lancé le projet d’une école privée. Sur votre page Facebook, il était écrit que c’était pour pallier les carences de l’Éducation nationale. On observe que le nombre des enfants déscolarisés par leurs parents a doublé pendant la période où votre établissement a fonctionné, et qu’il a été divisé par deux lorsque votre école a fermé. Vous fournissiez même les lettres types pour déscolariser les enfants. Dès lors que votre établissement se substitue à l’école, c’est une école. » Pas de quoi influencer le prévenu : « Notre projet d’école n’a pas abouti. Ce que nous faisions, c’était du soutien scolaire, nous n’avions pas l’intention de nous mettre en infraction. La preuve, c’est que nous avons fermé dès le mois de mars 2015. »
Pour le procureur Frédéric Lutz, « la liberté de l’éducation est garantie par la Constitution. Tout le monde a le droit d’ouvrir une école. La procédure n’est pas des plus restrictives, puisqu’il n’y a pas besoin d’autorisation préalable mais d’une simple déclaration. » Il réclame la peine maximale : 3 750 euros d’amende.
Le président a déclaré le prévenu coupable et l’a condamné à 3 000 euros d’amende dont 2 000 avec sursis.
Un bar-brasserie de Saint-Quentin, retire son cocktail en hommage à Erwin Rommel.
Il n’y a rien de mal, pour les serveurs du Golden Pub, le bar « branché » du centre-ville. « C’était pour faire plaisir à un client qui nous a demandé de vendre son rhum arrangé », explique-t-il. Depuis le milieu de semaine, le Golden Pub a donc ajouté sur sa carte le « Rum-Hell », « concocté par un Gazier fou furieux. Le Rum-Hell (en hommage au général Rommel) est infusé aux litchis, à l’hibiscus au gingembre, au citron et à ma veine de Vénus.»
Commercialiser un rhum arrangé n’a absolument rien de répréhensible mais y accoler le nom d’un général « nazi » peut choquer les ventres mous et pourrait s’apparenter à de l’apologie du nazisme.
Ce « Rum-Hell » a aussi été vendu sur la page Facebook du Golden Pub, jusqu’à vendredi 6 janvier, en milieu de matinée où la photo et le message l’accompagnant ont été effacés.
Évitant là ainsi un tollé des biens pensants que n’aurait pas manqué de susciter ce rhum. « Suite aux plaintes quant au nom du Rhum arrangé « Rum-Hell », et aux amalgames étant fait quand à son propos, nous retirons ce dernier de la vente. Bien à vous », a publié le Golden Pub, vendredi matin.
Institut du monde arabe : les incroyables gaspillages de Jack Lang
Jack Lang a été nommé́ à la tête de l’Institut du monde arabe par François Hollande, début 2013, pour succéder au sarkozyste Renaud Muselier. Il y est payé 9 000 euros par mois pour remettre de l’ordre dans cet établissement, mi-culturel, mi-diplomatique, inauguré en 1987.
En effet l’IMA est une fondation de droit privé contrôlée à parité́ par la France et vingt et un États membres de la Ligue arabe. Or ce statut particulier fonctionne mal car le lieu n’a jamais été pris au sérieux par les principaux intéressés.
La fréquentation est tombée de 1 million de visiteurs en 2014 à 757 000 en 2015, et ce ne sera pas mieux en 2016. Tout aussi gênant pour celui qui soutient « ne pas supporter les déficits », les comptes de l’IMA sont restés dans le rouge après son arrivée, avec une perte record de 2,5 millions d’euros en 2015. Là encore, 2016 s’annonce du même acabit. Pas rien pour une entité́ dont les ressources sont de 18 millions d’euros.
La majorité́ des pays arabes ne règle leur part que de façon sporadique. La plupart ont certes fini par abonder un fonds qui verse environ 1 million d’euros par an. Mais on est loin du compte. Charge à la France (et donc aux contribuables !) d’éponger les déficits. Jack Lang, fort de son phénoménal entregent, allait peut-être pouvoir résoudre ce délicat problème. Las ! Il n’y a pas eu d’effet Jack.
Mais en plus l’Institut continue d’avoir des couts de fonctionnement très élevés. Ainsi, même s’ils ont subi un plan social à la fin des années 2000, les effectifs restent importants avec 120 permanents, soit la moitié du budget. Quant au bâtiment, il vieillit mal, et ses frais de maintenance s’alourdissent au point de s’élever à 3 millions d’euros par an. Le renforcement de la sécurité́ a aussi fait grossir ce poste d’un tiers, à 1,3 million d’euros.
On peut également s’interroger sur le fonctionnement du cabinet présidentiel. Fidele à ses habitudes, Jack Lang fait travailler des fideles comme sa communicante Catherine Lawless ou son conseiller culturel Claude Mollard, compagnons des années Mitterrand. Dans son équipe, on trouve aussi son épouse Monique. Elle a signé un contrat de bénévolat, qui n’interdit pas les notes de frais. Difficile de savoir ce que tout cela coûte, les comptes ne livrent pas ce genre de détail…
Un litige avec le libanais Noura, le restaurateur du dernier étage a permis de lever le voile sur le train de vie de la présidence. Fin 2014, Noura a en effet réclamé 41 000 euros d’impayés pour des repas pris par le couple Lang et leurs invités ! Sachant que l’IMA avait obtenu un tarif préférentiel à 25 euros le couvert, ce qui fait quand même dans les 1 600 convives en dix-huit mois….
Ce n’est pas tout : les nombreuses notes de restaurant montrent que « l’état-major » de l’IMA a ses habitudes à quelques belles tables de la Rive gauche, où on laisse aisément 80 euros par tète. Précision pour clore le chapitre frais de bouche : le procès avec Noura n’est toujours pas fini, ce dernier réclamant 1 million d’euros de dommages et intérêts.
L’Institut du Monde Arabe, un de ces « fromages » que leur république alloue à ses enfants chéris en rétribution de leurs bons offices.
C’est à lire !
– Pour les frappes ciblées, un cadre légal international et des zones grises par Nathalie Guibert
Etranger
Europe
Italie : les services spéciaux évalue à 400 les jihadistes entrés en Europe parmi les pseudos « réfugiés »
Entre 300 et 400 combattants du groupe terroriste État islamique ont pénétré au Kosovo depuis la Syrie en se faisant passer pour des réfugiés, selon une source au sein des services de renseignement italiens. Les terroristes, quittent la Syrie suite à des défaites cuisantes face à l’armée syrienne et ses alliés. Pour passer inaperçus, ils mettent des vêtements civils et essayent de se fondre parmi les milliers d’envahisseurs qui violent le sol de l’Europe en se faisant passer pour des « réfugiés ».
Bien que certains d’entre eux soient interceptés par les services de renseignement, la plupart des djihadistes parviennent toutefois à passer entre les mailles du filet.
Il est à noter que parmi les terroristes qui ont pénétré récemment en Europe figure notamment l’un des chefs principaux de l’État Islamique, Lavdrim Muhaxheri, alias Abu Abdullah al Kosova. Muhaxheri est connu non seulement comme l’un des leaders des terroristes albanais du Kosovo, mais aussi comme un recruteur émérite de l’organisation islamo-terroristes. Originaire de Macédoine, al Kosova s’est rendu en Syrie fin 2012, a été par la suite repéré dans plusieurs vidéos de propagande dans lesquelles il appelait les Albanais à rejoindre les rangs des jihadistes. En outre, plusieurs images ont été publiées sur Internet sur lesquelles on voyait Muhaxheri décapiter un otage, ainsi qu’une vidéo dans laquelle il tirait sur un homme avec un lance-roquettes. Selon les services de sécurité italiens, Muhaxheri et ses acolytes envisageraient de perpétrer des attaques contre des institutions publiques et internationales.
Le Kosovo, qui a proclamé son indépendance en 2008, n’a pas été la cible d’attentats islamistes, mais au moins 200 personnes ont été interpellées ou font l’objet d’enquêtes policières pour des activités illicites en lien avec l’État islamique. Et on estime à environ 300 les Kosovars qui combattent au sein du groupe en Syrie et en Irak.
Finlande : Miss Helsinki est africaine…
Élection de Miss Helsinki, jeudi 5 janvier au soir à Helsinki. La gagnante est Sephora Ikalaba, jeune fille de 19 ans, noire… Il y avait pourtant bien d’autres choix possibles…
Europol : terroristes et criminels, les bases de données explosent
Une augmentation de 20% par rapport à 2014 du nombre de messages opérationnels échangés et une augmentation de plus de 60% des recherches effectuées dans le Système d’Information Europol (EIS), 40% de personnes supplémentaires insérées dans l’EIS, une multiplication par 6 en une année du nombre de personnes présentes au titre de combattants étrangers dans un des fichiers antiterroristes d’Europol. Le rapport pour l’année 2015 révèle une activité particulièrement soutenue.
L’application sécurisée d’Europol (« secure Information Exchange Network application » – SIENA) permet un échange rapide d’informations et de renseignements opérationnels et stratégiques liés à la criminalité entre les États membres de l’Union européenne, Europol et les tierces parties coopérantes.
667 autorités compétentes sont reliées dans SIENA, soit 5531 utilisateurs (ce qui représente une augmentation de 17% par rapport à 2014). Le nombre d’unités antiterroristes ayant accès au SIENA a plus que doublé entre le début de l’année 2015 et la fin de l’année 2015. Plus de 30 unités antiterroristes y ont maintenant accès.
39 868 cas ont été initiés via le SIENA soit une augmentation de 16% par rapport à 2014. 86% des nouveaux cas ont été lancés par les États membres de l’UE, 11% par des tiers, 3% par Europol. 732 070 messages opérationnels ont été échangés (soit une augmentation de 21% sur 2014). En moyenne, 60 000 messages ont été échangés chaque mois.
Quant à la base de données d’Europol EIS (« Europol Information system »), il contient 295 374 objets et 86 629 criminels présumés. 633 639 recherches ont été effectuées en 2015 (soit une augmentation de 62% par rapport à 2014). Il compte 4569 utilisateurs.
Ces chiffres donnent le tournis. Ils révèlent depuis 2014 un accroissement continu et exponentiel de l’activité d’Europol ces dernières années qui témoigne de l’explosion de la criminalité transfrontalière et notamment des activités terroristes…
Bulgarie : 2 envahisseurs retrouvés morts gelés dans une forêt
Deux envahisseurs clandestins ont été retrouvés morts vendredi en Bulgarie sur le mont de Strandja (sud-est), tandis que le pays est en proie à des tempêtes de neige, a annoncé la police régionale de Bourgas. Les migrants étaient des ressortissants irakiens. Les hommes âgés de 28 et 35 ans, qui étaient munis de pièces d’identité, ont été découverts gelés dans une forêt par des villageois qui ont prévenu la police.
Lundi dernier, une clandestine somalienne avait elle aussi été retrouvée morte de froid dans la même région. La jeune femme appartenait à un groupe d’une trentaine d’envahisseurs sans papiers découverts dimanche par la police frontalière près du village de Ravadinovo, à une quarantaine de kilomètres de la frontière. Pendant les interrogatoires, les policiers ont appris qu’une femme avait été abandonnée dans une tempête de neige. Le corps de la femme n’a été retrouvé que lundi. La température pendant la nuit était descendue sous les moins dix degrés. Deux adolescents somaliens de ce groupe – un garçon de 16 ans et une fille de 14 ans – ont eu les pieds et les mains gelés. Le groupe était par ailleurs composé de 25 Afghans, de trois Pakistanais et de trois Somaliens.
Le mont de Strandja est situé près de la seule section de la frontière bulgaro-turque n’étant pas protégée par la clôture de barbelés. D’une longueur de 200 kilomètres, cette clôture avait fortement réduit l’afflux de migrants clandestins en Bulgarie, d’environ 30 000 en 2015, à 18 000 en 2016 sans jamais tarir complètement le flux.
Située à la frontière extérieure de l’Union européenne, la Bulgarie voit cependant déborder ses centres d’accueil de migrants, la Serbie ayant fermé sa frontière et les empêchant de continuer leur route vers l’Europe centrale et occidentale.
Dix décès de migrants clandestins ont été annoncés en 2016 en Bulgarie. Les victimes avaient tenté d’entrer illégalement dans le pays depuis la Turquie ou de quitter celui-ci via la Serbie ou la Roumanie pour gagner l’ouest de l’Europe.
Monde
États-Unis : 4 Noirs poursuivi pour un odieux crime raciste antiblanc à Chicago
Les procureurs de la ville de Chicago ont inculpé jeudi pour « crime raciste » quatre Noirs accusés d’avoir séquestré un jeune homme blanc. Les auteurs avait filmé et diffusée la vidéo en direct sur Facebook.
Sur la vidéo, qui a beaucoup circulé sur les réseaux sociaux, on peut voir les quatre suspects, deux jeunes hommes et deux filles noirs, en train de violenter le jeune homme en criant de manière répétée : « Fuck Donald Trump ! Fuck white people ! » (« Nique Donald Trump ! Nique les Blancs ! »).
Le jeune homme blanc est prostré dans un coin de la pièce, bâillonné avec du ruban adhésif et semble avoir les mains et les pieds attachés. Ses vêtements sont en partie découpés, et une partie de ses cheveux sont coupés voire rasés, et le crâne présente une plaie ouverte.
Trois des suspects sont âgés de 18 ans et un quatrième de 25 ans. Ils font l’objet de plusieurs chefs d’inculpation, parmi lesquels enlèvement, coups et blessures et crime raciste.
La victime, présentée par les autorités comme souffrant d’un handicap mental, a été enlevée dans une banlieue de Chicago et conduite dans un quartier du sud-ouest de la ville où elle a été séquestrée entre 24 et 48 heures, a déclaré la police, selon laquelle l’un des suspects avait connu la victime à l’école.
La police a indiqué que le jeune homme dont l’identité n’a pas été révélée, était traumatisé et avait du mal à communiquer avec les enquêteurs. Il a quitté l’hôpital où il avait été admis à la suite des faits, ont déclaré les autorités. Ses parents avaient signalé sa disparition lundi, avant de recevoir des SMS indiquant que leur fils était retenu captif.
Entité sioniste : Netanyahou veut gracier le soldat assassin d’un Palestinien désarmé
Le tribunal militaire israélien de Jaffa a déclaré coupable d’homicide Elor Azaria, un soldat juif détenant des papiers français, mercredi 4 janvier. Le militaire était accusé d’avoir achevé un assaillant palestinien blessé, après des mois d’un procès exceptionnel qui divise le pays. La sentence sera prononcée à une date ultérieure.
Néanmoins le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, a très vite réagi au verdict sur son compte Facebook : « C’est un jour difficile et douloureux pour nous – et particulièrement pour Elor et sa famille (…) pour beaucoup de soldats et de parents de soldats, et parmi eux, moi-même », a-t-il écrit. « Nous avons une armée, qui est la base de notre existence. Les soldats de cette armée sont nos fils et nos filles ; nous devons rester au-delà de tout différent. (…) Je soutiens la grâce demandée pour Azaria. »
Pourtant, lors de l’audience mercredi, la juge Maya Heller a déclaré qu’Elor Azaria avait agi « sans raison » et que « le terroriste ne présentait pas de menace », récusant l’un des principaux arguments de la défense. Dès l’ouverture du procès, le 9 mai 2016, l’avocat d’Elor Azaria avait invoqué un « acte de légitime défense » puisque le « terroriste » palestinien pouvait porter une ceinture d’explosifs. « Il savait ce qu’il faisait », a poursuivi Mme Heller, avant de reprocher au jeune homme de ne pas avoir suivi le protocole de l’armée israélienne. Il s’agit donc clairement d’un meurtre de sang froid et hors de toutes circonstances justifiant une riposte. Accusé d’homicide, Elor Azaria encourt une peine maximale de vingt ans de prison.
Si la décision des juges était tant attendue, c’est parce que l’affaire a pris une tournure symbolique et politique sans précédent en Israël. Le quotidien Haaretz parlait mercredi matin d’un des procès les plus suivis dans l’histoire de l’armée israélienne. Ainsi deux camps se sont affrontés pendant toute la durée du procès : un état-major et une opposition qui considéraient Elor Azaria comme coupable, tandis qu’il était défendu par la droite, dont une minorité l’avait érigé en véritable héros.
A droite, le verdict a provoqué un flot de réactions racistes critiquant la décision et appelant à faire libérer l’assassin. Des parlementaires de droite ont demandé la grâce du jeune homme de 20 ans : parmi eux, la ministre de la culture, Miri Regev (Likoud), qui a déposé une demande de grâce officielle au ministère de la défense. « C’est ainsi qu’on traite un de nos soldats », a-t-elle déclaré, ajoutant que le procès « n’aurait jamais dû avoir lieu » et qu’une « procédure disciplinaire » établie par le commandant de brigade aurait suffi.
« Aujourd’hui, un soldat qui a tué un terroriste qui méritait de mourir et qui avait essayé de tuer un [autre] soldat a été menotté et condamné comme un criminel », a dénoncé le ministre de l’éducation, Naftali Bennett, à la tête du parti nationaliste religieux Habeit HaYehudi. « Quand tout le système du pays marche contre vous, il n’y a pas, et il n’y avait pas, de chance pour un procès juste », s’est résigné Bezalel Smotrich, un député du même parti.
Mais que font les lobbys et organisations de lutte contre le racisme face à ce déluge d’approbation d’un meurtre raciste ?
Vidéo :
https://www.youtube.com/watch?v=gB5EWNF71ug
Libye : un pays en permanence au bord du chaos
L’émissaire de l’Onu en Libye, Martin Kobler, a appelé mercredi les factions armées rivales à éviter l’escalade après de fortes tensions et la mobilisation de combattants dans le sud de ce pays plongé dans le chaos. Une médiation russe est attendue pour une reconnaissance du gouvernement d’union nationale par toutes les parties.
Depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011, le pays est déchiré par des luttes d’influence que se livrent dans l’impunité les nombreuses milices mais aussi les dizaines de tribus, composante essentielle de la société libyenne. Et deux autorités rivales se disputent actuellement le pouvoir : le gouvernement d’union nationale (GNA), reconnu par la communauté internationale, basé à Tripoli et une autorité rivale installée dans l’Est, où une grande partie de la région est contrôlée par les forces du maréchal controversé Khalifa Haftar.
Des combattants des puissantes milices de Misrata (200 km à l’est de Tripoli) qui ont rallié le GNA, et les forces de Haftar sont sur le qui-vive depuis une attaque lundi contre un avion militaire transportant des officiers et des dignitaires de Misrata se rendant à des obsèques dans le sud du pays. L’appareil a été touché par des tirs provenant des forces du maréchal Haftar alors qu’il se trouvait sur la piste de la base aérienne de Joufra. Plusieurs militaires ont été blessés et un civil tué dans l’attaque condamnée par le GNA. Après l’attaque, les milices de Misrata ont dépêché des renforts dans la région de Joufra et celle proche de Sebha, à plus de 600 km au sud de Tripoli, avec l’objectif selon elles de « sécuriser la zone. Les forces de Haftar quant à elles disent vouloir combattre les « terroristes ».
Face au risque d’escalade, Martin Kobler a estimé sur son compte Twitter que « la tension dans le sud est source d’inquiétude » et exhorté « toutes les parties à faire preuve de retenue ».
Issu d’un accord interlibyen, parrainé par l’Onu, le GNA dirigé par Fayez al-Sarraj n’est toujours pas parvenu à asseoir son autorité, n’ayant pas pu à ce jour obtenir la confiance du Parlement élu siégeant à Tobrouk. Et un vide politique et sécuritaire s’est créé dans le sud du pays, une région désertique peuplée de tribus rivales, après la chute de Mouammar Kadhafi, laissant place aux trafics en tous genres, à la montée en puissance de milices locales et à des refuges pour jihadistes.
Afin de sortir de l’impasse, les différentes parties paraissent prêtes à accepter toute initiative russe susceptible de contribuer à l’établissement d’un dialogue politique inter-libyen du fait que Moscou a des contacts avec toutes les parties au conflit et adopte une position pondérée. Ainsi, selon le vice-premier ministre libyen Ahmed Maiteeq : « Le Conseil présidentiel (du gouvernement d’union nationale de Libye, soutenu par les Nations unies) salue toute initiative russe en vue d’une réconciliation nationale en Libye, la Russie adoptant des positions pondérées et ayant de bons rapports avec toutes les parties. Nous appelons la Russie à mener sa diplomatie afin de persuader les autres parties à accepter l’accord politique qu’elles ont signé et à s’engager dans un processus politique ».
Et des troubles supplémentaires en Libye pourraient provoquer une aggravation du flux d’envahisseurs tentant de rejoindre l’Europe.
Ephéméride nationaliste
7 janvier 1889 : naissance de Philippe Henriot (texte)
7 janvier 1873 : naissance de Charles Peguy (vidéo)
8 janvier 1909 : naissance de Pierre Rostaing (biographie)
8 janvier 1924 : naissance de André Figueras
Agenda
Paris : Galette des rois du PNF Ile-de-France
10 janvier à 19h00
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La Prédication de Saint Jean-Baptiste, 1566, Pieter Brueghel l’Ancien
(Szépművészeti Múzeum – Budapest)
Gérard Larcher en voyage avec Michel Mercier, ministre à l’origine de la circulaire interdisant le boycott des produits israéliens.
http://www.actuj.com/2017-01/france/4519-gerard-larcher-la-frontiere-entre-boycott-et-etiquetage-est-mince
« J’ai vu que M. Abihssira avait déjà laissé sur le carreau 300 salariés en Suisse… Ce monsieur est un escroc. » Christina, une autre salariée, raconte comment Abihssira venait, chaque semaine, au magasin, pour « mettre l’argent liquide dans un sac-poubelle » qu’il « traînait » jusque dans sa voiture. « Il n’a jamais non plus payé les fournisseurs ».
http://www.20minutes.fr/economie/1990303-20170105-affaire-segael-42-ex-salaries-auchan-enfin-chomage
La danse-thérapie est parfois considérée comme une dérive sectaire. Ses principaux zelateurs sont : Anna Halprin, Gabrielle Roth, Rafael Baile, Susannah et Ya’Acov Darling Khan, France Schott-Billmann, Jean-Pierre Klein (et quelques autres).
http://www.linflux.com/2017/la-danse-therapie-pas-a-pas/