Saint Paulin d’Aquilée, Patriarche d’Aquilée
Sommaire :
France
- Un « jeune » menace le chauffeur de bus et évoque Allah et le Coran
- Samy Boumaza s’évade de prison : trois ans de mieux !
- Sid Ali, Sidi Mohamed, Abdelghani.B : trafic héroïne et de cocaïne
- Anouar Bounaceur, Mamadou Camara et Dambou Diarra, : condamnés pour trafic de drogue
- Habib Boujemaa tue sa femme de 26 coups de couteau
- Nouvelle campagne du gouvernement pour culpabiliser et féminiser l’Homme Blanc
- La Sainte Couronne d’épines du Christ exceptionnellement exposée à la vénération des fidèles aujourd’hui
- Persécution d’un médecin dijonais pour une prétendue homophobie
- C’est à lire !
Etranger
Europe
- Union européenne : pas d’exemption de piscine mixte pour les élèves musulmanes. Mais burkini autorisé…
- Norvège : procès en appel des conditions de détention d’Anders Behring Breivik
- Allemagne : plus de la moitié des femmes ne se sentent pas en sécurité
Monde
- Donald Trump nomme son gendre israélite (((Jared Kushner))) haut conseiller malgré la loi anti-népostime
- Tunisie : mobilisation populaire contre le retour de jihadistes
- Maroc : interdiction de la burqa
- Iran : le ministre de la défense dénonce l’appui américain à l’État islamique
Vidéo
- Les malheurs de la circoncision vus par le endocrinologue Roger Dommergue Polacco de Ménasce
Radio
- Orages d’Acier #46 – “Trolls et Social Justice Warriors”
Nouveauté littéraire
- « Qui suis-je? » Thiriart – Yannick Sauveur
Ephéméride nationaliste
- 11 janvier 1443 : mort de Étienne de Vignolles dit La Hire
- 11 janvier 1952 : mort de Jean de Lattre de Tassigny
- 11 janvier 1985 : mort de Roger Trinquier
Agenda
- Lyon : Galette des rois du PNF Rhône-Alpes
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France
Un « jeune » menace le chauffeur de bus et évoque Allah et le Coran
Parce qu’il lui avait refusé de monter dans le véhicule, un jeune homme de 26 ans, qui n’avait pas les moyens de payer sa place, a insulté et menacé un chauffeur de bus. Il a été condamné à 2 mois de prison ferme.
La victime était absente le jour du procès. Son avocate a eu le sentiment que la situation s’inversait, que les faits étaient issus de l’attitude du chauffeur de bus.
Il est 7 h 50 le 20 octobre dernier quand le prévenu, qui doit se rendre à un entretien d’embauche, n’a pas sa carte de bus sur lui, ni même un peu d’argent, et se voit donc refuser le droit de monter dans le véhicule.
Un refus catégorique du chauffeur qui devient la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Insultes et menaces fusent alors, convoquant entre autres le Coran et Allah. « J’étais déjà énervé, je venais d’arrêter de consommer du cannabis et surtout je ne voulais pas louper mon entretien, explique le jeune homme de 26 ans à la barre du tribunal correctionnel mardi. Il [le chauffeur du bus] m’a parlé comme un chien, il m’a pris de haut. Ça ne m’a pas plu. Mais en aucun cas, je n’oserais prononcer le nom d’Allah pour insulter quelqu’un. »
La pilule a du mal à passer pour l’avocate de la victime, Me Gaillard. « Je suis contente et soulagée que mon client ne soit pas là aujourd’hui pour entendre ça. On a l’impression que c’est de sa faute. C’est un sentiment désagréable… »
Mais il y a le casier judiciaire du prévenu à prendre en compte. Simon Lanes, le substitut du procureur, annonce la couleur avant de réquisitionner une peine de trois mois d’emprisonnement : « Avec 24 condamnations, on ne vous laisse rien passer. »
Finalement le prévenu a été condamné à une peine de deux mois ferme d’emprisonnement et à l’obligation de payer 300€ de dommages et intérêts au chauffeur du bus.
Samy Boumaza s’évade de prison : trois ans de mieux !
Vols, escroqueries, abus de confiance, filouteries… Pour assurer sa cavale de près d’un an, Samy Boumaza a multiplié les infractions. Verdict : trois ans de prison ferme.
La cavale aura duré treize mois. Treize mois pendant lesquels Samy Boumaza, 39 ans, a parcouru la France à bord de voitures subtilisées chez des concessionnaires, dormant et mangeant dans des hôtels et des restaurants, faisant le plein dans des stations essence, le tout sans débourser le moindre centime.
Au passif, 36 infractions, allant de la filouterie de carburant, à des vols, des abus de confiance, en passant par des escroqueries, pour lesquelles il était convoqué, lundi, devant le tribunal correctionnel de Brive.
Tout commence le 6 janvier 2014. Alors qu’il bénéficie d’un régime de semi-liberté à la prison d’Auxerre, Samy Boumaza décide de prendre la poudre d’escampette. Une cavale qui prendra fin le 5 février 2015, à Saint-Florentin, toujours dans l’Yonne, où il est interpellé par les gendarmes au terme d’une course-poursuite après un contrôle routier.
Entre-temps, le prévenu aura parcouru la France, en passant par Brive, presque de long en large et échappé deux fois de peu à une interpellation.
Samy Boumaza assume tous les faits qui lui sont reprochés. « Je ne me suis jamais caché », lance-t-il.
Le président Albert ne peut qu’en convenir : « Vous avez été repéré à plusieurs reprises par des caméras de surveillance dans des stations-service et à Toulouse, vous avez laissé votre carte d’identité à un concessionnaire pour faire un essai avec une voiture et vous n’êtes jamais revenu avec. Le coup classique ».
Pour gagner la confiance des hôteliers, le prévenu se présentait souvent comme un cadre d’Eiffage affirmant préparer de gros chantiers dans la région. « Vous avez même proposé à un hôtelier de refaire son parking », constate le président Albert. « Oui, avec de l’enrobé froid », assure Samy Boumaza. « Et vous l’avez trouvé où cet enrobé ? », interroge le président. « Je l’ai trouvé, quoi ! », répond le prévenu du tac au tac. « En tout cas, l’hôtelier affirme que vous ne lui aviez pas fait les travaux malgré les 500 € avancés », poursuit le président. « Bon, j’en fais peut-être la moitié. Enfin, je lui ai fait au moins un regard », glisse, un peu bravache, Samy Boumaza.
Et quand il constate qu’il devient risqué de gruger hôteliers et restaurateurs dans un même secteur, l’homme, plutôt intelligent et beau parleur, séduit en discothèque des femmes plus âgées qui lui offre gîte et couvert, et dont il profitait aussi habilement de l’argent.
Depuis 2004, Samy Boumaza passe sa vie en prison. Pas moins d’une vingtaine de condamnations pour séquestration, escroquerie, abus de confiance, vols et évasion lors d’une permission de sortie. « La prison, je m’y suis habitué », glisse-t-il.
Samy Boumaza a été condamné à 3 ans et demi de prison, dont six mois avec sursis et mise à l’épreuve pendant 3 ans, et obligation d’indemniser les parties civiles.
Sid Ali, Sidi Mohamed, Abdelghani.B : trafic héroïne et de cocaïne
De six mois à deux ans de prison pour avoir revendu de l’héroïne et de la cocaïne
Un trentenaire, consommateur de stupéfiants, condamné à deux ans de prison pour avoir revendu de l’héroïne et de la cocaïne à Sous-le-Bois Maubeuge. Et avoir demandé à deux amis de l’aider dans son business. Eux ont été condamnés à six mois de prison pour ce coup de main.
Ils sont trois à être jugés dans cette affaire de cocaïne et d’héroïne. L’homme dans le box, Sid Ali Zemmouri, 37 ans, est à l’origine du trafic d’octobre 2013 à mars 2015 à Sous-le-Bois, Maubeuge. Les deux autres, Sidi Mohamed El Amine Zemmouri et Abdelghani Bekkadour, ont revendu pour lui, par fidélité, pour lui rendre service, parce que dira l’un d’eux : « il a tout fait pour moi quand je suis arrivé en France ». Quand Sid Ali Zemmouri a, l’été 2012, un accident d’auto qui lui vaut une prothèse de hanche, les deux autres sont là pour l’aider. Et comme il consommait de la drogue, il lui faut s’en procurer un an plus tard à sa sortie de l’hôpital. Ce qu’il fait. Il explique ce mercredi après-midi qu’il revendait de la cocaïne et de l’héroïne pour financer sa consommation. Et puis dit-il : « J’avais besoin d’argent pour vivre ». Les enquêteurs n’ont pas retrouvé de drogue chez lui, ni chez les deux autres. La présidente fait état d’une cinquantaine de clients. Dont certains démarchés par les deux comparses.
La présidente précise qu’il s’agit d’un délit. Et lui demande : « Ça ne vous choquait pas de voir des gens en train de se détruire ? », demande-t-elle à Sidi Mohamed El Amine Zemmouri. Un silence s’installe. La magistrate insiste. « De raccourcir la vie des gens pour de l’argent, de vendre la mort… ». Abdelghani Bekkadour a lui aussi vendu de la drogue pour Sid Ali Zemmouri. Si une personne appelait au téléphone de son ami, il lui arrivait de répondre et de livrer. Pour 10 € le gramme de cocaïne ou d’héroïne. Lui aussi doit à son ami de l’avoir dépanné. « Il payait mes trajets à Paris », dit-il à propos de déplacements professionnels.
Le tribunal condamne Sid Ali Zemmouri à 36 mois de prison dont 12 mois avec sursis et mise à l’épreuve durant deux ans ; Sidi Mohamed El Amine Zemmouri et Abdelghani Bekkadour à 18 mois dont 12 mois avec sursis et mise à l’épreuve durant deux ans.
Anouar Bounaceur, Mamadou Camara et Dambou Diarra, : condamnés pour trafic de drogue
Le cerveau d’un trafic de cannabis démantelé en 2014 à Compiègne (Oise), Anouar Bounaceur, a été condamné vendredi soir à huit ans de prison et 100 000 euros d’amende par le tribunal correctionnel de Compiègne.
Entre 2012 et 2014, depuis le Maroc, il gérait un réseau qui a généré un chiffre d’affaires de plus de deux millions d’euros. La substitut du procureur, Sarah Gonzalves, avait requis la peine maximale : 10 ans.
Plus de 800 kg de résine et d’herbe de cannabis ont ainsi été écoulés, selon l’enquête menée par la police judiciaire de Creil. « Il ne s’agissait pas seulement de vendre de petites quantités dans un quartier », a souligné le président du tribunal, Pascal Cladière, « mais d’écouler des plaquettes dans une partie de la France, en Normandie notamment ».
Parmi les principaux associés d’Anouar Bounaceur se trouvent son frère, Farid, qui a écopé de 4 ans ferme, et deux amis, Mamadou Camara et Dambou Diarra, qui ont été respectivement condamnés à cinq et quatre ans de prison.
Dambou Diarra a été incarcéré à l’issue de l’audience, des mandats d’arrêt ont été émis contre les trois autres, absents lors du délibéré. Ces condamnations ont clos un procès de quatre jours, au cours duquel vingt prévenus (acheteurs, vendeurs, importateurs, etc.) ont comparu.
Tous ont minimisé leur implication dans le trafic. Une défense mise à mal par le contenu du dossier, composé de plusieurs centaines d’heures d’écoutes téléphoniques et de surveillances.
Anouar Bounaceur, s’il a reconnu une partie des faits, a soutenu qu’au Maroc, « d’autres » lui donnaient des consignes. « Sauf que l’on vous entend dire, entre autres, que c’est ‘votre’ terrain, et que vous faites ‘trimer les petits’ », a rappelé Pascal Cladière. Lors du délibéré, le magistrat a par ailleurs indiqué qu’Anouar Bounaceur était, semble-t-il, le seul à avoir réellement bénéficié de l’argent de la drogue.
Habib Boujemaa tue sa femme de 26 coups de couteau
Ce vendredi, Habib Boujemaa a été condamné à vingt ans de réclusion criminelle pour les 26 coups de couteau qu’il a porté à son ex-femme Sonia Shaiek. Un meurtre pour lequel la préméditation n’a finalement pas été retenue.
« Sonia, il la voyait comme un obstacle entre lui et son fils. «Il faut soit me tuer moi, soit la tuer elle !» Je n’ai aucun doute sur le fait qu’il ait commis non un meurtre. Mais un assassinat prémédité », a estimé l’avocate générale, Charlotte Perraud, au moment de présenter ses réquisitions. Et de s’appuyer sur sept éléments. De sa montée en cachette à Valenciennes à l’achat du couteau le matin même ou au fait qu’il ait patienté deux heures durant dans un cabanon en attendant le retour de son ex-femme. « Et il s’est acharné sur elle. La préméditation, c’est du bon sens ! »
Un sentiment partagé par Me Berton, qui représentait les intérêts de la famille de l’infirmière tuée le 27 janvier 2014 dans son garage. « La malice qui est la sienne, c’est d’avoir dressé un guet-apens. Elle n’avait aucune chance de s’en sortir dans ce garage qu’il connaissait par cœur ! Si ça, ce n’est pas un assassinat ce guet-apens ! »
La cour a finalement écarté la préméditation. Elle a néanmoins été au-delà des réquisitions en condamnant l’accusé à vingt ans de réclusion criminelle et non dix-huit.
Jusqu’au jour du meurtre, Habib Boujemaa n’avait pas entamé de réelles démarches pour faire reconnaître ses droits. Mais depuis qu’il est en détention provisoire, l’accusé a à nouveau déclaré la naissance de l’enfant. Et comme le couple était encore marié au moment où il est né, c’est l’accusé qui détient à présent l’autorité parentale.
Ce dernier vient d’entamer une procédure judiciaire auprès d’un juge aux affaires familiales afin d’obtenir un droit de visite. « C’est inimaginable de ramener un enfant de quatre ans en milieu carcéral ! C’est impensable ! Ça va le détruire psychologiquement ! », s’insurge l’oncle et tuteur du petit. Lors de ses réquisitions, l’avocate générale a demandé le retrait total de l’autorité parentale de l’accusé sur son fils « au nom de l’intérêt de l’enfant. Laissons-lui le choix de prendre contact un jour avec son père s’il le désire ». La cour a finalement tranché en ce sens.
Nouvelle campagne du gouvernement pour culpabiliser et féminiser l’Homme Blanc
La Sainte Couronne d’épines du Christ exceptionnellement exposée à la vénération des fidèles aujourd’hui
La Sainte Couronne d’épines du Christ sera exceptionnellement exposée à la vénération des fidèles ce mercredi 11 janvier 2017 à 19 heures 30, pendant la prière des vêpres à Notre-Dame de Paris.
La Sainte Couronne est conservée, dans le reliquaire – pourpre comme un manteau de roi. Placée sous la garde statutaire des Chevaliers du Saint-Sépulcre. Ordinairement, les fidèles peuvent venir la vénérer chaque vendredi de Carême.
Persécution d’un médecin dijonais pour une prétendue homophobie
Sur la page Facebook, publique, « les médecins ne sont pas des pigeons », un généraliste remplaçant de Dijon avait décrit un patient homosexuel, des propos, suivis de commentaires controversés.
Dans son message, le médecin évoque le cas d’un patient venu le consulter pour une fissure anale. « Le truc, c’est que le patient est homosexuel. Pas un homo de type ‘fofolle’ avec des manières surjouées, plutôt un monsieur tout le monde », écrit-il. Il assure avoir frôlé l’erreur médicale en adressant le patient à un gastro-entérologue pour une opération lourde car, explique-t-il, ne sachant pas que son patient était homosexuel, il est passé à côté du « chancre syphilitique », premier symptôme de la syphillis, une maladie sexuellement transmissible. Et l’affaire ne s’arrêtera donc pas là. Le conseil de l’Ordre des médecins de Côte d’Or vient de décider de porter plainte contre le généraliste pour ces propos pourtant d’une grande banalité et qui ne paraissent empreint d’aucun caractère péjortaif…
Après l’audition du praticien tout début janvier et l’examen des documents versés au dossier par les associations LGBT, le conseil départemental de l’Ordre des médecins a constaté, ce lundi 9 janvier, trois infractions caractérisées au code de déontologie et a décidé en conséquence de porter plainte auprès de la chambre disciplinaire. « Ce généraliste a enfreint l’article 2 sur le respect de la vie privée et de la dignité des patients », explique ainsi Jean-Pierre Mouraux, président du conseil départemental de l’Ordre.
Mais ce n’est pas le seul. « L’article 7 qui impose aux médecins de « soigner avec la même conscience toute les personnes quels que soient leur origine, mœurs ou appartenance » à une communauté a aussi été enfreint, continue le médecin. Tout comme l’article 31 demandant aux praticiens de « s’abstenir de tout acte de nature à déconsidérer » la profession ». Des fautes graves ? Le président de l’Ordre ne se prononce pas : « c’est à la chambre disciplinaire de juger de la gravité de ces infractions, nous, nous ne faisons que les constater », botte en touche le docteur Mouraux.
Cependant, la décision de la chambre disciplinaire sera longue à venir. Un juge administratif va d’abord devoir éplucher le dossier très épais, rempli de centaines de pages de commentaires, de captures d’écran dont la véracité reste à prouver. Il réunira ensuite un collège de six assesseurs, des médecins venus d’autres départements pour auditionner une seconde fois le praticien incriminé. La sanction pourra aller du simple avertissement jusqu’à la suspension ou même la radiation.
C’est à lire !
– La politique d’influence américaine sur la France :
La CIA en France : 1942-2017 Par jean-Luc Pujo
Etranger
Europe
Union européenne : pas d’exemption de piscine mixte pour les élèves musulmanes. Mais burkini autorisé…
Au nom de leur religion, les parents musulmans ne peuvent prétendre que leurs filles soient exemptées de cours de natation mixtes à l’école, a jugé mardi 10 janvier la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), donnant tort à la famille turco-suisse qui l’avait saisie.
Si la CEDH a reconnu que la fermeté des pouvoirs publics pour contraindre les filles à participer aux cours de natation est une « ingérence dans la liberté de religion » des familles concernées, elle a toutefois affirmé que cette ingérence était justifiée au nom de « l’intérêt des enfants à une scolarisation complète, permettant une intégration sociale réussie selon les mœurs et coutumes locales », ce qui « prime » sur la volonté des parents.
Cet arrêt n’est pas définitif, les plaignants ont trois mois pour demander un nouvel examen du dossier par la Cour, que celle-ci n’est toutefois pas tenue de leur accorder.
La Cour avait été saisie par un couple résidant à Bâle (Suisse) et possédant la double nationalité turque et suisse. Ces parents s’étaient vu infliger une amende d’un peu moins de 1 300 euros pour avoir refusé, au nom de leurs convictions religieuses, d’autoriser leurs deux filles, alors âgées de 7 et 9 ans, à aller à la piscine dans le cadre de leur scolarité. Le cadre réglementaire applicable prévoyait de possibles exemptions pour des raisons religieuses, mais seulement à partir de la puberté.
Les parents avaient contesté cette sanction, en vain, devant les tribunaux suisses, puis s’étaient tournés devant les juges européens en arguant d’une violation de leur liberté de conscience et de religion.
La Cour a jugé que « l’intérêt de l’enseignement de la natation ne se limite pas à apprendre à nager, mais réside surtout dans le fait de pratiquer cette activité en commun avec tous les autres élèves, en dehors de toute exception tirée de l’origine des enfants ou des convictions religieuses ou philosophiques de leurs parents. » C’est-à-dire que la participation aux séances mixtes de piscine est donc obligatoire au nom de ce nouveau dogme obligatoire du « vivre-ensemble » et de la « diversité » forcée !
Néanmoins, la Suisse ne voulant pas stigmatiser les élèves musulmanes leur avait proposé en contrepartie de la participation aux séances mixtes de piscine « des aménagements significatifs » tel que l’autorisation de « porter le burkini ». Chercher la cohérence…
Norvège : procès en appel des conditions de détention d’Anders Behring Breivik
Le procès en appel sur les conditions de détention de l’identitaire norvégien judéo-compatible, Anders Behring Breivik, auteur d’une tuerie qui a fait 77 morts en 2011, s’est ouvert mardi 10 janvier.
Dans une décision qui avait provoqué la stupeur, notamment parmi les proches des victimes, l’État norvégien avait été condamné en première instance en avril 2016 pour traitement « inhumain et dégradant » en violation de l’article 3 de la Convention européenne des Droits de l’Homme. Il a fait appel.
En prison, Breivik, âgé de 37 ans dispose de conditions confortables avec trois cellules où il peut regarder la télévision, jouer aux jeux vidéo ou encore utiliser des appareils de musculation mais la juge avait notamment pointé son isolement prolongé – il est détenu à l’écart des autres prisonniers depuis cinq ans et demi pour des raisons de sécurité – et l’insuffisance des mesures mises en place pour compenser ce régime sévère.
Au premier jour de l’examen de l’appel dans le gymnase de la prison de Skien (sud) où il est détenu, Breivik a ponctué son entrée d’un salut bras tendu adressé à la presse et au public, un geste qu’il avait déjà effectué en première instance. Cela lui a immédiatement valu un rappel à l’ordre. « C’est un comportement insultant à l’égard de la dignité de la Cour et perturbant pour ce que l’on doit examiner ici », a déclaré le juge Øystein Hermansen chargé de conduire les débats pendant les six jours de procédure.
L’état psychologique de Breivik devrait être au centre de ce nouveau procès civil, l’avocat Øystein Storrvik évoquant « la vulnérabilité mentale » de son client du fait de ses conditions de détention. Les autorités contestent, elles, que Breivik soit maintenu à l’isolement, faisant valoir ses multiples contacts avec les surveillants, le personnel médical, son avocat ou encore un pasteur. « A bien des égards, il est incarcéré dans de meilleures conditions que d’autres prisonniers pour compenser le fait qu’il n’a pas de contacts avec les autres détenus », a déclaré le Procureur général chargé de représenter l’État, Fredrik Sejersted, dans son exposé liminaire mardi. « On est très loin d’une violation des droits de l’homme », a-t-il dit.
Les trois magistrats de la Cour d’appel devront aussi se prononcer sur un autre point, soulevé par Breivik celui-là. En avril, la juge avait donné raison à l’État, qui filtre étroitement la correspondance de Breivik afin de l’empêcher de former un réseau capable de perpétrer de nouvelles attaques. Lui estime que cela viole l’article 8 de la Convention des Droits de l’Homme garantissant le droit à une vie privée.
Verdict en février.
Allemagne : plus de la moitié des femmes ne se sentent pas en sécurité
Plus de la moitié des femmes habitant en Allemagne sont convaincues que le pays n’est plus aussi sûr qu’avant, selon un sondage effectué par l’institut d’opinion publique Emnid à la demande du quotidien allemand Bild.
D’après le sondage, 58 % des femmes estiment que la fréquentation des lieux publics est plus dangereuse qu’auparavant. Pour 31 % des femmes, la situation n’a pas changé alors que 10 % d’entre elles pensent que l’Allemagne est même devenue plus sûre pour les femmes. Il est à noter que près de la moitié des sondées (52 %) préfèrent éviter certains lieux proches de leur domicile après la tombée de la nuit. 16 % des femmes allemandes ont toujours un spray au poivre avec elles. Une femme sur deux envisage d’en acheter.
Le scandale survenu dans la nuit du 1er janvier 2016 à Cologne, lorsque des centaines de femmes avaient été agressées par plusieurs dizaines de migrants, a profondément choqué l’opinion allemande et nourri les critiques envers la politique migratoire « généreuse » de la chancelière Angela Merkel et l’inaction de la police. Par la suite, un rapport de la police allemande a précisé les chiffres concernant les crimes sexuels, faisant état de 1 200 femmes victimes.
Monde
Donald Trump nomme son gendre israélite (((Jared Kushner))) haut conseiller malgré la loi anti-népostime
Des membres du parti démocrate ont demandé au ministère de la Justice des Etats-Unis d’examiner la nomination de (((Jared Kushner))) au poste de conseiller principal. Selon eux, elle pourrait enfreindre la loi anti-népostime de 1967.
« Il a été un atout formidable et un conseiller de confiance pendant toute la campagne et la période de transition et je suis fier de l’avoir dans un rôle clé de mon administration », a déclaré Donald Trump.
Le président élu devra prouver que la loi anti-népotisme de 1967 n’est pas transgressée.
Cette loi était entrée en vigueur après la nomination de Robert Kennedy au ministère de la Justice par son frère John F. Kennedy. Elle interdit aux responsables des agences fédérales d’engager des membres de leur famille. La loi de 1967 peut s’appliquer aux employés de la Maison-Blanche, estiment-ils dans un communiqué adressé au ministère de la Justice. « De plus, le poste de (((Jared Kushner))) à la Maison-Blanche peut lui permettre d’influencer une politique qui profite à ses intérêts commerciaux », soulignent également les démocrates.
Tunisie : mobilisation populaire contre le retour de jihadistes
Un millier de Tunisiens ont manifesté, dimanche 8 janvier, dans le centre de Tunis pour protester contre un éventuel retour au pays de djihadistes, qui représenterait selon eux une « grande menace » pour la sécurité nationale.
La Tunisie compte plus de 5 500 ressortissants dans les rangs d’organisations jihadistes à l’étranger, notamment en Irak, en Syrie ou encore en Libye, selon le groupe de travail de l’ONU sur l’utilisation de mercenaires. Pour le gouvernement tunisien, ils seraient moins de 3 000.
Un vif débat agite depuis des semaines le pays sur la perspective d’un retour massif de ces islamo-terroristes, un sujet qui suscite l’inquiétude de nombreux Tunisiens. A l’appel d’un mouvement citoyen, plus de mille personnes se sont rassemblées dimanche dans le centre de Tunis. « Retour des terroristes, grande menace contre la sûreté du pays », « Non au retour des terroristes au pays ! », « Tous les Tunisiens contre le terrorisme » ou encore « On ne pardonne pas les criminels ! », ont scandé vivement les manifestants encerclés par un important dispositif de sécurité. Un premier rassemblement avait déjà eu lieu à l’appel d’un collectif citoyen le 24 décembre 2016.
Enveloppés dans des drapeaux de la Tunisie, les protestataires ont défilé sur l’avenue Habib-Bourguiba, cœur battant de la capitale en chantant l’hymne national avant de crier leur colère, notamment contre le parti islamiste Ennahda et son chef, Rached Ghannouchi.
Fin décembre, le Syndicat national des forces de sécurité intérieure a notamment fait valoir que les djihadistes avaient « reçu des formations militaires et appris à manipuler toutes sortes d’armes de guerre sophistiquées ». Ils pourraient rejoindre les « cellules dormantes » du pays et « élargir le cercle du terrorisme », a-t-il prévenu dans un communiqué.
Certaines voix ont même appelé à déchoir ces djihadistes de leur nationalité. Interdite par la Constitution, cette mesure a toutefois été rejetée par le président Béji Caïd Essebsi, déclarant : « On ne peut empêcher un Tunisien de revenir dans son pays (…) mais évidemment, nous allons être vigilants. » Le 29 décembre, le premier ministre Youssef Chahed avait affirmé de son côté que son gouvernement « n’était pas favorable » au retour de ces djihadistes.
Maroc : interdiction de la burqa
C’est une décision surprise qui vient d’être prise par les autorités marocaines. Pour des « raisons de sécurité », il est désormais interdit de fabriquer ou de commercialiser des burqas au Maroc.
Ce vêtement qui couvre entièrement le corps, même le visage, est dans le collimateur des autorités qui viennent de donner 48 heures à tous les commerçants pour stopper non seulement leur confection mais aussi leur vente. Le même délai a été accordé aux commerçants pour se débarrasser de leur stock sous peine d’être saisi et donc détruit. Les récalcitrants s’exposent à une forte amende en cas de non-respect de cette circulaire.
Les caïds, agent d’autorité locale désigné par l’État, chargé du maintien de l’ordre public et disposant de la qualité d’officier de police judiciaire, se sont adressés aux commerçants dans plusieurs villes à travers le royaume pour les informer de la décision des autorités. Le ministère de l’Intérieur n’a toujours pas réagi sur la question et devrait sans doute le faire si cette décision est contestée par les commerçants ou par les adeptes de ce vêtement.
Le motif religieux n’a pas été évoqué par les responsables, c’est surtout pour une question de sécurité que cette décision a été prise.
Iran : le ministre de la défense dénonce l’appui américain à l’État islamique
Dans une entrevue accordée à un médiat russe, le ministre de la défense de la République islamique d’Iran, le général Hossein Dehghan, parle de la situation en Syrie, des Occidentaux et du rôle de l’Iran.
Concernant la situation à Alep et le soutien iranien au régime :
« Les parrains des terroristes ont compris que, si la situation autour d’Alep perdurait, cela mènerait à la destruction de la structure organisationnelle et de l’effectif des terroristes et saperait leur moral et leur unité. C’est pourquoi ils ont décidé de capituler et ont accepté d’évacuer la ville. C’est sans aucun doute un tournant important dans la lutte du gouvernement et de l’armée syrienne contre les terroristes. Nous serons du côté de l’armée syrienne jusqu’à ce que tous les terroristes reconnaissent leur défaite. »
A propos du cessez-le-feu signé à Moscou et de possibles négociations de sortie du conflit :
« Il a été décidé que les trois parties, la Russie, l’Iran et la Turquie contrôleraient la mise en œuvre de l’accord conclu récemment à Moscou en vue d’atteindre le cessez-le-feu et son respect permanent. Tout ce travail est clairement divisé entre nous. »
« La rencontre entre l’opposition et le gouvernement syrien pour les négociations se tiendra à Astana. J’espère que les parties obtiendront le résultat souhaité. Si le processus politique est enclenché et se maintient, il faudra lutter en même temps contre Daesh et contre le Front al-Nosra. A présent, le Front al-Nosra a sous son contrôle de nombreuses régions du pays et ne cherche pas le dialogue, c’est pourquoi il faut le combattre. »
A propos de l’action de la coalition internationale occidentale et de son implication aux côtés des terroristes jihadistes, il dénonce Washington qui n’a pas sérieusement l’intention de lutter contre l’État Islamique, voulant assurer leur présence au Moyent-Orient :
« Nous n’avons jamais coordonné nos actions avec les Américains. Nous n’allons jamais coopérer avec eux. La coalition occidentale est formelle, elle n’a aucune réelle volonté de se battre en Irak ou en Syrie. Comme vous le savez, ils ont bombardé l’armée syrienne à Deir ez-Zor. Nous ne voyons pas en eux de volonté de jouer un rôle vraiment utile et sérieux dans la lutte contre Daesh, parce qu’ils ont poussé les terroristes et ont intérêt à les sauvegarder. Les forces de la coalition voudraient probablement affaiblir des terroristes, mais pas les détruire : les terroristes sont un outil pour déstabiliser la région et d’autres régions du monde. »
Sur l’ingérence militaire turque en Syrie :
« Les Turcs doivent répondre à une question importante : «Leur invasion du territoire syrien était-elle effectuée à la demande du gouvernement syrien, ou s’agissait-il d’une décision unilatérale ?» Si cela avait été fait à la demande du gouvernement syrien, la sortie du territoire devrait également être effectuée à la demande du gouvernement syrien. Dans le cas contraire, il s’agit d’une agression, et l’agresseur ne peut pas prendre des décisions pour les autres. La Russie et l’Iran sont entrés en Syrie suite à la demande écrite du gouvernement syrien légalement élu. Nous sommes venus apporter notre soutien au gouvernement. À tout moment, quand le gouvernement syrien considèrera qu’il n’a plus besoin de nos forces, il n’y aura aucun prétexte pour que nous restions. »
Sur le rôle trouble de l’Arabie Saoudite :
« L’Arabie saoudite n’a pas de frontières communes avec la Syrie. Ils cherchent à renverser le régime existant. On ne peut pas négocier avec ceux qui recherchent cela. Il faut leur donner une réponse ferme. »
Vidéo
Les malheurs de la circoncision vus par le Dr. endocrinologue Roger Dommergue Polacco de Ménasce
https://www.youtube.com/watch?v=OO4yhkLGcHg
Radio
Orages d’Acier #46 – “Trolls et Social Justice Warriors”
Pour la première émission de l’année, l’équipe de FOd’A s’attaque à l’épineux problème des “trolls”. Attention, la sulfateuse est sortie !
L’émission est ici
Nouveauté littéraire
« Qui suis-je? » Thiriart – Yannick Sauveur
Jean Thiriart (1922-1992) : «J’ai déjà pesté et tonné il y a 30 ans contre les petits nationalismes, le français, l’anglais, l’allemand. J’étais loin d’imaginer la déchéance dans laquelle nous allions tomber à la fin de notre siècle: la déchéance de l’esprit politique avec les micro-nationalismes.» (1992.) Naître à Bruxelles dans un pays où l’on se sentira toujours à l’étroit, cela scelle un destin européen. Au-delà d’un itinéraire qui l’amènera du socialisme au communisme spartiate via le national-socialisme et le soutien à l’OAS, une permanence habite Jean Thiriart : celle de l’unification européenne, qui sera son obsession tout au long de sa vie publique. Avec Jeune Europe, mouvement transnational qu’il crée en 1963, puis Un Empire de 400 millions d’hommes : l’Europe, écrit en 1964, enfin avec la revue mensuelle La Nation européenne (1966-1969), Thiriart offre une vision géopolitique des grands espaces en opposition avec les nationalismes étroits. La Société d’optométrie d’Europe, qu’il fonde en 1967 et qu’il présidera jusqu’en 1981, préfigure, dans son domaine professionnel, l’Europe unitaire et communautaire qu’il appelait de ses yeux. Loin de l’activisme militant, il réapparut au début des années 80 en tant que théoricien avec une hauteur de vues qui dénote la clairvoyance de celui qui a toujours su se placer dans la longue durée et en dehors des contingences politiciennes. Son voyage à Moscou, en 1992, où il rencontre des personnalités de tous bords, précède de peu sa mort, que nul n’attendait si tôt.
Ce « Qui suis-je? » Thiriart a pour ambition de sortir de l’oubli un homme injustement méconnu, dont un des mérites fut de dépasser les clivages droite/gauche. Révolutionnaire inclassable, « jacobin de la très Grande Europe », son esprit visionnaire, puisant son inspiration chez Machiavel et Pareto, demeure d’une grande actualité dans un monde en pleine mutation.
2016, Pardès, 128 pages.
12€ + 2€ de port à
CALD
BP 92733
21027 Dijon Cedex
ou en ligne sur la Boutique Nationaliste ici
Ephéméride nationaliste
11 janvier 1443 : mort de Étienne de Vignolles dit La Hire
11 janvier 1952 : mort de Jean de Lattre de Tassigny
11 janvier 1985 : mort de Roger Trinquier (biographie)
Agenda
Lyon : Galette des rois du PNF Rhône-Alpes
13 janvier à 19h00
© Jeune nation – 2017
Le combat de Carnaval et de Carême, 1559, Pieter Brueghel l’Ancien
(Kunsthistorisches Museum – Vienne)
« Les Russes ont-ils manipulé les résultats de bulletins de vote ? Les services ne peuvent pas le prouver. Mais ils sont sûrs que la Russie possède d’immenses capacités de guerre informatique. Quelle découverte extraordinaire ! Voici pour eux d’autres informations incroyables, ultrasecrètes et extraordinaires : les Chinois possèdent de grandes capacités de guerre informatique. Les Israéliens aussi. Les Français également. Et il pourrait y en avoir d’autres. »
http://www.journaldemontreal.com/2017/01/06/croire-ou-ne-pas-croire
A voir : Les comiques juifs américains s’unissent contre Trump.
http://fr.timesofisrael.com/a-voir-les-comiques-juifs-americains-sunissent-contre-trump/
Netanel Rubin met gravement en cause Linky, le compteur « intelligent » de Jean Bernard Levy. Pour ce spécialiste, il est facile en induisant des surcharges d’entraîner des incendies, ou bien de priver à distance un immeuble de fourniture électrique.
http://www.politis.fr/articles/2017/01/la-securite-informatique-des-compteurs-intelligents-mise-en-cause-36042/
C’est Jean Mizrahi qui est choisi pour reprendre le mythique cinéma Les Variétés de Marseille. Ce chef d’entreprise, qui a équipé plus de la moitié des écrans français, assure que l’ancien propriétaire, Galeshka Moravioff n’aura « aucun rôle » dans le futur projet.
http://www.laprovence.com/actu/en-direct/4255175/reprise-du-cinema-les-varietes-le-projet-de-jean-mizrahi-choisi.html
Le port du voile peut difficilement être comparé au port d’un uniforme nazi, n’en déplaise au philosophe milliardaire.
https://francais.rt.com/france/32049-peut-on-comparer-port-burqa-bhl-nazi
Apres « Ave, Cesar ! » de Joel et Ethan Coen l’an dernier, c’est le film « Django » qui fera l’ouverture du prochain Festival de Berlin. L’intrigue : le guitariste jazz, persécuté par le régime nazi, tente de fuir Paris. La musique de Django Reinhardt a été réenregistrée pour les besoins du film (?) par le Rosenberg Trio.
http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1009005/film-vie-django-reinhardt-rom-berlin