Allemagne : coup de filet dans les milieux nationalistes
Vexé du refus d’interdiction du NPD par la Cour constitutionnelle, le gouvernement d’Angela Merkel a lancé une vague de répression contre les nationalistes. Ainsi, dans tout le pays, et notamment à Berlin, 200 policiers ont perquisitionné une dizaine de logements. Ils ciblaient là principalement six personnes prétendument soupçonnées d’être prêtes à passer à l’action violente : deux sont en garde à vue. Leurs cibles présumées, des juifs, des réfugiés, des policiers. Le groupe visé dans ce coup de filet est proche de la mouvance dite des « Reichsbürger » (« les citoyens du Reich » en allemand).
Et le ministre de l’Intérieur s’est félicité :
« Enfin, le terrorisme d’extrême-droite est réprimé par les autorités. La preuve, ce sont les mesures prises aujourd’hui et les interdictions décrétées l’an dernier. Nous sommes déterminés et vigilants concernant l’autorité de la loi. »
Mais au final le bilan est maigre : si quelques munitions et des armes ont bien été trouvées, la justice a toutefois du reconnaître qu’il n’existait pas d’éléments sur la préparation concrète d’une attaque !
Pitoyable et mesquine petite vengeance d’un pouvoir qui chancelle face au retournement de l’opinion contre sa politique d’accueil sans limite des envahisseurs…
J’aime bien comment les journaleux parlent d’un « coup de filet ».
Quand c’est nous qui serons au pouvoir, on sera forcé de procéder à des arrestations de journaleux-bidon anti-blancs… Et là, les mêmes personnes qui se félicitent du joli « coup de filet » de la police merkelienne se plaindront alors des « rafles » dont ils font l’objet.
L’expression « coup de filet » est légitime quand on parle d’un réseau de voleurs qui cherchent à échapper à la police, ou quand on pêche des crevettes au haveneau. On apprécie alors la beauté du geste et le côté sportif de la chose.
Mais quand c’est Merkel qui envoie sa flicaille au petit matin pour arrêter des dissidents anti-génocide dont l’adresse est parfaitement connue, c’est franchement grotesque. J’ai hâte qu’on arrive à inverser les rôles.