Canada : délirante adaptation des procédures de sécurité des aéroports au « gender »
L’agence fédérale responsable de la sécurité dans les aéroports canadiens a récemment modifié ses procédures de contrôle afin de mieux respecter « l’intimité » et « la dignité » des voyageurs transgenres.
Au fou : les passagers transgenres peuvent désormais demander qu’une fouille soit faite par un agent du sexe de leur choix ou encore exiger une « fouille divisée », c’est-à-dire qu’une moitié du corps soit vérifiée par une femme et l’autre par un homme.
Une note interne de l’Administration canadienne de la sûreté du transport aérien (ACSTA), datée du 28 septembre 2016 indique aux agents comment procéder aux fouilles corporelles.
On peut lire dans la note :
« Il n’est pas toujours possible de déterminer correctement le genre d’une personne basé sur son apparence. Conséquemment, les règles de contrôle ont été amendées afin d’inclure la possibilité, pour les personnes transgenres et transsexuelles, de faire une demande d’accommodement »
Le document remis aux agents offre aussi un guide sur la façon d’interagir de façon respectueuse avec les personnes transgenres. Il est notamment requis de demander le consentement avant de procéder à une fouille.
Jamais assez ! L’un des principaux lobbies des droits des dégénérés et autres perversions s’inquiètent malgré tout que les agents concernés ne puissent pas appliquer correctement ces nouvelles directives : « C’est important d’avoir des politiques et qu’elles soient vraies et authentiques. C’est tout autre chose d’assurer la compréhension du personnel sur le terrain qui doit les exécuter » a déclaré Helen Kennedy, directrice administrative d’Egale.
Le directeur du Centre canadien de la diversité des genres et de la sexualité, Jeremy Dias, abonde dans le même sens. Bien qu’il qualifie la nouvelle politique de « première étape incroyable », il soutient également qu’elle doit être appuyée par une formation appropriée.
Le Canada doit rapidement revenir aux dispositions qui avaient été adoptées en 2012 qui interdisaient aux transporteurs aériens de « transporter un passager qui ne semble pas être du sexe indiqué sur la pièce d’identité qu’il présente » !