Présentation de NSJC au Temple
Sommaire :
Actualité nationaliste en France
- Rencontre militante des nationalistes en Charentes
France
- Kodjo Ben Hodor, 22 ans de prison ferme pour un double meurtre
- Attentats de Paris et Bruxelles : Mohamed Abrini transféré en France
- Madyba Touré convoyait onze envahisseurs Africains à Modane
- Mehdy Kiroffo, braqueur fiché S pour radicalisation
- Emeute entre Cap-verdiens et Maghrébins à Nice
- B, Letton, tue un homme et boit son sang à Colombes
- Outrage à Ste Jehanne d’Arc à l’opéra de Lyon
- La Le Pen contre le rétablissement de la peine de mort
- Infiltration shoatique jusqu’au festival de la BD d’Angoulème
Etranger
Europe
- L’ex-propriétaire de la maison natale de Hitler s’oppose à son expropriation
- Grèce : nouveau chantage turc aux « migrants » au sujet des militaires réfugiés
- Ukraine : reprise des combats au Donbass
- Pologne : publication des noms de 10 000 gardiens de camps
- Italie : l’envahisseur nigérian séquestre et viole une employée d’un centre d’accueil
- Espagne : découverte d’un navire antique sombré il y a 1800 ans
- C’est à lire !
Monde
- Yemen : spectaculaire attaque d’un bâtiment saoudien en mer Rouge
- État juif : révélation sur les méthodes de torture du Shin Bet
- Syrie : recompositions jihadistes d’un côté, programme de « réconciliation nationale » de l’autre
- C’est à lire !
Vidéo
- Professeur Robert Faurisson et Maître Damien Viguier
Kiosque
- Rivarol n° 3262
Ephéméride nationaliste
- 2 février 1889 : naissance de Jean de Lattre de tassigny
- 2 février 1945 : mort de Bogdan Filov
- 2 février 1975 : mort de Horace de Carbuccia
Agenda
- Commémoration du 6 février
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Actualité nationaliste en France
Rencontre militante des nationalistes en Charentes
A l’invitation du Parti Nationaliste Français de Poitou-Charente, le PNF a organisé une rencontre militante le samedi 28 janvier 2017 à Angoulême.
Nous avons eu le privilège d’écouter notre président, Jean François Simon ainsi que notre secrétaire général, André Gandillon, suivi de notre porte-parole et directeur de Jeune Nation, Yvan Benedetti.
Le Parti Nationaliste Français se structure autour de ses entités régionales. C’est bien un véritable tour de France qui est ainsi engagé pour porter haut les valeurs du Nationalisme non » dédiabolisé ».
Après avoir entendu la « bonne parole », les militants ont dégustés des produits locaux à base de pineau, de cognac mis à notre disposition par le maître des lieux…
Ces rencontres sont essentielles, non seulement pour délivrer le programme politique nationaliste, mais surtout pour développer l’esprit de camaraderie indispensable dans notre famille de pensée.
France
Kodjo Ben Hodor, 22 ans de prison ferme pour un double meurtre
Kodjo Ben Hodor, surnommé le « tueur aux mocassins », a été condamné vendredi soir à 22 ans de réclusion criminelle pour assassinat par la cour d’assises de Seine-et-Marne qui l’a en revanche acquitté du chef de meurtre d’un autre homme, comme en première instance.
L’accusé, 36 ans, était rejugé pour avoir tué deux cousins, l’un en 2009 lors d’une fusillade à Saint-Ouen, l’autre en 2011 à Pantin, abattu de trois balles de gros calibre en pleine rue.
Concernant le meurtre de Moussa Bathily, tué en 2009 après une explication houleuse qui a dégénéré dans une cité connue pour le trafic de drogue à Saint-Ouen, la cour a de nouveau retenu la légitime défense.
Également poursuivi pour un assassinat, Kodjo Ben Hodor a en revanche été reconnu coupable de la mort de Sékou Timera, cousin de la première victime, et condamné à 22 ans de prison à l’issue d’une semaine d’audience.
Lors de son premier procès en juin 2014 devant la cour d’assises de Seine-Saint-Denis, il avait été condamné à 20 ans de prison pour ces faits. La cour avait alors retenu que l’accusé avait organisé une « filature » de sa victime, s’était muni d’une « arme particulièrement dangereuse », avait « pris le soin de revêtir un gilet pare-balle » et était à scooter « pour garantir sa fuite », ce qui traduisait une « intention d’homicide incontestable » pour le président de la cour.
Le jour du meurtre, l’accusé était vêtu d’un costume chic et de mocassins, ce qui lui avait valu d’être surnommé le « tueur aux mocassins ». C’est dans cette tenue qu’il avait froidement abattu, devant une patrouille de policiers qui surveillait un quartier connu pour le trafic de stupéfiants, le passager d’une voiture aux vitres teintées.
Attentats de Paris et Bruxelles : Mohamed Abrini transféré en France
Placé en détention provisoire à la prison de Nivelles, ce personnage-clé des attentats de Paris et Bruxelles fait l’objet ce lundi d’un transfert de 24 heures en France. Il y a été mis en examen puis inculpé.
C’est un transfert sous haute sécurité qui, depuis de longues semaines, fait l’objet de négociations entre Paris et Bruxelles.
Mohamed Abrini a été remis lundi 30 janvier aux autorités françaises.
Jusque-là placé en détention provisoire à la prison de Nivelles, ce personnage-clé des attentats de Paris et de Bruxelles devait être entendu par l’un des six juges d’instruction chargés de l’enquête française en vue de sa mise en examen dans le dossier du 13 novembre. Ses avocats ont confirmé qu’il a été mis en examen puis inculpé en France.
Cette remise ne sera toutefois que temporaire. Selon les modalités fixées par le protocole d’accord signé début janvier entre Frédéric Van Leeuw, le procureur fédéral belge, et François Molins, le procureur de la République de Paris, ce « transfert » ne devrait pas excéder les 24 heures. Dans ce document, le parquet de Paris s’est par ailleurs engagé à ce qu’aucun mandat de dépôt ne soit délivré à l’encontre de Mohamed Abrini à l’issue de son audition. Cette dernière pourrait donc se révéler assez brève. Et le détenu regagner assez rapidement sa cellule belge.
« Belgo-marocain » de 32 ans au lourd passé de délinquant, il est le seul mis en examen à la fois pour les attentats parisiens et ceux de l’aéroport de Zaventem et du métro bruxellois. Cet ami d’enfance des frères Abdeslam et d’Abdelhamid Abaaoud avec lesquels il a grandi dans les rues de Molenbeek n’était pas à Paris le soir des attaques. Il est toutefois considéré comme le onzième membre de l’équipe du 13 novembre ayant indéniablement joué un rôle actif dans leur préparation. En juin 2015, peu de temps après un énième séjour derrière les barreaux, Abrini s’est rendu en Syrie – où son jeune frère avait été tué en 2014 – via la Turquie, comme il l’a confirmé aux enquêteurs belges. Sur place, il ne serait resté qu’une dizaine de jours, le temps de rencontrer Abaaoud. Et de recevoir des consignes ?
De retour en Syrie, en juillet 2015, il a rallié l’Angleterre depuis Istanbul. Lors de ce court séjour entre Londres, Birmingham et Manchester, Abrini se serait vu remettre la somme de 3 500 euros qui aurait été destinée à financer les attentats. Peu de temps avant les attaques, il a également effectué plusieurs allers-retours entre Paris et Bruxelles en compagnie de Salah Abdeslam. Mohamed Abrini serait, en outre, selon les enquêteurs belges, « l’homme au chapeau » des attentats de l’aéroport de Zaventem, filmé par la vidéosurveillance en train de tirer un chariot rempli d’explosifs aux côtés de Najim Laachraoui et d’Ibrahim El Bakraoui. Ses empreintes seront retrouvées dans plusieurs planques des terroristes. A-t-il renoncé à se faire sauter ? Son dispositif explosif a-t-il dysfonctionné ? Se réservait-il pour une autre opération ? De nouveau en cavale après les attentats bruxellois, il sera finalement arrêté dans une rue d’Anderlecht le 8 avril 2016.
Madyba Touré convoyait onze envahisseurs Africains à Modane
Samedi dernier, au tunnel du Fréjus, les agents de la police aux frontières contrôlaient un fourgon dans lequel se trouvaient 11 personnes originaires d’Afrique. Cherchant de toute évidence à entrer illégalement en France, elles étaient toutes étaient dépourvues de papiers les autorisant à entrer sur le territoire.
Le conducteur du véhicule, Madyba Touré, également d’origine africaine mais « français de papier », avait rencontré les envahisseurs à Turin dans un foyer d’hébergement. Lundi après-midi, ce dernier a reconnu son rôle de passeur devant le tribunal correctionnel d’Albertville où il a été jugé en comparution immédiate.
Dans ses réquisitions, Nathalie Parot a une nouvelle fois dénoncé un trafic d’êtres humains intolérable avant de réclamer une réponse pénale significative dans le but de dissuader.
Le prévenu a écopé de douze mois de prison. Le tribunal a en revanche écarté le mandat de dépôt.
Mehdy Kiroffo, braqueur fiché S pour radicalisation
À l’issue de son réquisitoire l’avocat général Pierre Gagnoud vient de réclamer devant la Cour d’assises de Vaucluse une peine de 15 ans de réclusion criminelle assortie d’une sureté des deux tiers à l’encontre de Mehdy Kiroffo « qui n’est pas un chien perdu sans collier mais un enfant perdu de la République devenu une bombe à retardement qui ne demande qu’à exploser ».
Cet homme âgé de 26 ans, « fiché S » en raison de son appartenance à la mouvance islamiste radicalisée, a reconnu avoir le 21 septembre 2014 commis à Avignon un vol avec violence d’une « Renault Clio » avant, deux jours plus tard, de tenter de voler sous la menace d’une arme à Carpentras une « Audi A5 ». Puis le 24 septembre de tenter de braquer une armurerie à Carpentras. L’accusé a assuré au cours des débats avoir agi en raison de « bouffées délirantes » et par un besoin d’argent. Il assure s’être dé-radicalisé en prison et être désormais un musulman modéré et nullement quelqu’un de dangereux.
Emeute entre Cap-verdiens et Maghrébins à Nice
Venue de deux quartiers sensibles de Nice, une cinquantaine de jeunes d’origines cap-verdienne et maghrébine s’étaient donné rendez-vous pour en découdre.
L’affrontement avait été mûrement préparé. Des adolescents d’origine cap-verdienne contre des jeunes maghrébins: le match (les Moulins vs Pasteur) était annoncé via des SMS ou les réseaux sociaux, selon la police.
Le soir du 14 juillet 2015, des poubelles ont été brûlées dans le quartier des Musiciens pour faire diversion.
Les jeunes pouvaient alors en découdre quai des États-Unis, essentiellement des mineurs armés de gazeuses, de coups-de-poing américains et de couteaux.
Une des victimes sera retrouvée poignardée sur la plage et perdra la rate et le rein. Un peu plus tard dans la nuit, rue de Roquebillière, une seconde victime recevait un coup de couteau dans la cuisse.
D’autres agressions, répliques de la bagarre initiale, émailleront cette nuit très agitée où une cinquantaine de « jeunes » au total a été impliquée.
Une partie des belligérants a déjà été jugée et condamnée l’an passé par le tribunal pour enfants. Quant à l’auteur des coups de couteau sur la plage, il n’a pu être identifié.
Restait lundi à juger trois « jeunes » adultes, tous d’origine cap-verdienne, poursuivie pour association de malfaiteurs, port d’armes et violences aggravées.
Ils ont écopé de peines allant de six mois à un an de prison ferme. Un mandat d’arrêt a été délivré à l’encontre de l’un des trois, absent à l’audience.
Vladimir.B, Letton, tue un homme et boit son sang à Colombes
Vladimir B., baptisé le «monstre de Colombes» est jugé aux assises de Nanterre pour le meurtre d’un sans domicile fixe massacré dans la nuit du 29 décembre 2013.
« Il avait du sang partout. J’ai cru que c’était une victime, qu’il avait passé trois jours enfermé dans une cave à se faire tabasser.» A la barre de la cour d’assises des Hauts-de-Seine mardi, Jean témoigne de sa rencontre hallucinante avec Vladimir B., meurtrier présumé d’un sans domicile fixe massacré dans la nuit du 29 décembre 2013 à Colombes.
Entre l’horreur de son crime et l’attitude «détachée» de Vladimir quelques heures plus tard face à Jean, il y a un monde. Un monde incompréhensible que les jurés sont toutefois tenus d’essayer de saisir pour juger ce Letton de 26 ans à l’équilibre psychique au moins fragile, s’il n’est complètement fou.
Dans la nuit du 29 décembre, Jean et ses copains faisaient la fête chez un ami, dans une maison du centre-ville de Colombes. Vers 3 heures, Vladimir a essayé de s’incruster. La bande d’amis a gentiment refoulé l’intrus ensanglanté, il ne s’est pas rebellé. Mais très vite, en anglais, Vladimir a dit à l’un des fêtards, Jean : «J’ai tué un homme et j’ai bu son sang». «Non, je n’y croyais pas, c’est tellement aberrant», répond Jean à une question de l’avocate générale. Et pourtant…
A l’arrivée de la police, appelée par le groupe d’amis, Vladimir a répété qu’il avait tué un homme et bu son sang. Et sans rechigner, il a conduit la patrouille envoyée sur place sur les lieux du crime : un réduit accessible par un escalier menant à un parking souterrain près de l’église, rue Gabriel-Péri. Les murs de ce petit espace que Bernard, la victime, a annexé pour en faire son gîte, sont maculés de longues traînées de sang, comme les jurés l’ont constaté sur les photos diffusées à l’audience.
Sur le matelas posé au sol, Bernard gît recroquevillé. Sa gorge est tranchée. « En fait, il a été égorgé des deux côtés. De gauche à droite et de droite à gauche, et les blessures se sont rejointes au milieu », détaille un des premiers policiers sur place. Le visage du malheureux est indescriptible. « A côté du corps, il y avait un globe oculaire. Son oeil droit a été énucléé », détaille l’enquêteur de la PJ. Probablement alors qu’il n’était pas encore mort, d’après les résultats de l’autopsie, que le médecin légiste devrait exposer mercredi aux jurés.
Vladimir s’est laissé placer en garde à vue sans difficulté avant d’être conduit à l’hôpital pour y subir une intervention chirurgicale: la base de ses doigts était coupée, probablement à cause du tesson de verre utilisée pour massacrer la victime. Au premier jour de son procès, l’accusé s’est peu exprimé. Tantôt il n’a « rien à dire », tantôt il remercie les policiers de l’avoir accompagné au tribunal. Parfois, il s’en remet à Saint-Pierre et dit qu’il est jugé pour « une télévision à 200 € ». Les experts psychiatres livreront leurs diagnostics ce mercredi. Le procès s’achève jeudi.
Outrage à Ste Jehanne d’Arc à l’opéra de Lyon
Le personnage-symbole de Jeanne d’Arc est en ces jours l’objet d’une représentation transgenre et pornographique à l’Opéra national de Lyon, conventionné par le ministère de la Culture.
Au début de la pièce la comédienne “change de sexe” et, malmenée entre “extase et folie” par la mise en scène de Romeo Castellucci, elle est intégralement dévêtue durant l’essentiel du spectacle.
Témoignez maintenant de votre indignation face au Ministre de la Culture.
Vous pouvez signaler votre protestation et exigez que ce spectacle honteux pour la France reste toujours interdit dans les agendas culturels liés à son ministère.
STOP au spectacle transgenre et pornographique qui salit l’image de Sainte Jehanne d’Arc !
La pétition en ligne est ici
La Le Pen contre le rétablissement de la peine de mort
C’est un changement majeur dans les rangs du néo Front national. Marine Le Pen ne proposera pas le rétablissement de la peine de mort.
Interrogée lors de l’émission Questions d’Info, la Le Pen a affirmé qu’elle intégrait dans son projet la « perpétuité réelle ». Pour se faire entendre, une simple pétition réunissant 500 000 signatures seraient nécessaire pour imposer un référendum. Ainsi, elle est prête à ne pas remettre la peine de mort dans son programme, « quitte à ce que les Français la rétablissent via un référendum d’initiative populaire ».
Dans les rangs du Front national, la question de la peine de mort fait toujours débat plus de 35 ans après son abrogation. Si Marion Maréchal-Le Pen ou encore Gilbert Collard avaient exprimé à titre personnel leur opposition au rétablissement de la peine de mort, Marine Le Pen a pris position beaucoup plus tard.
Infiltration shoatique jusqu’au festival de la BD d’Angoulème
A l’occasion de l’exposition « Shoah et bande dessinée » et du Festival d’Angoulême, le scénariste britannique Chris Claremont (« X-Men ») explique pourquoi il est l’un des rares auteurs de comics à avoir choisi d’aborder l’Holocauste dans ses scénarii.
Il est revenu notamment sur le passé d’un des méchants les plus importants des X-Men, Magnéto, en victime de l’Holocauste.
« Quand je regardais Magnéto, ce à quoi il ressemblait, son visage, sa génétique, il ne faisait aucun doute qu’il était nord-européen. Je me suis demandé quel événement pouvait marquer un Européen au point de tenir une position si radicale, de défendre les siens peu importe le prix, ce qui m’a conduit à la Shoah. Par ailleurs, quand j’étais à l’université, j’avais passé deux mois et demi dans un kibboutz où j’ai côtoyé des survivants de l’Holocauste. Cette expérience est restée dans un coin de ma tête. Le difficile équilibre entre la lutte du peuple d’Israël pour sa survie, mais aussi la cohabitation rude et le conflit avec la Palestine, me paraissaient un excellent modèle pour dessiner un passé à Magnéto. »
« La nature du conflit entre Magnéto et Charles Xavier [personnage central des X-Men] trouve des parallèles dans de nombreux combats de l’histoire moderne, le premier étant pour moi la vie de Menahem Beguin. »
« La Shoah n’apparait que dans des souvenirs. Je ne pouvais pas écrire des scènes qui se déroulaient dans les camps. En ayant connu des gens qui avaient été enfermés là-bas, en ayant mes parents qui avaient vécu et combattu pendant la guerre, cela ne me paraissait pas approprié ».
Etranger
Europe
L’ex-propriétaire de la maison natale de Hitler s’oppose à son expropriation
L‘ex-propriétaire de la maison natale d’Adolf Hitler refuse la récente vente forcée de son bien à l’État autrichien. Il conteste l’expropriation en justice.
Le Parlement autrichien a adopté en décembre une loi d’expropriation de cette maison de ville du 17e siècle située dans le centre de Braunau-am-Inn, à la frontière allemande, ouvrant la voie à une profonde modification architecturale du bâtiment afin que celui-ci ne soit plus un lieu de pèlerinage nationaliste. La loi, adoptée à la quasi-unanimité des députés, était destinée à mettre fin à un long différend entre l’État et la famille propriétaire, représentée par Gerlinde Pommer, qui observe depuis plusieurs années un silence médiatique absolu sur cet épineux dossier. Cette dernière dépose finalement un recours contre l’expropriation.
Interrogé par le quotidien «Kurier», l’avocat de Mme Pommer s’est dit prêt à porter l’affaire devant la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH). «Pour résumer, les conditions légales d’une expropriation ne sont pas remplies», affirme Me Gerhard Lebitsch.
Souhaitée par le ministre de l’Intérieur, Wolfgang Sobotka, mais combattue notamment par une commission d’experts, l’idée d’une démolition de la maison a été remplacée par un projet de profond remaniement architectural afin de ne plus pouvoir identifier la bâtisse. À terme, une institution publique devrait s’y installer pour un usage représentant «l’antithèse du nazisme», selon les autorités.
Grèce : nouveau chantage turc aux « migrants » au sujet des militaires réfugiés
Jeudi 26 janvier, la Cour suprême grecque a pris la décision de ne pas extrader vers la Turquie huit militaires turcs qui se sont réfugiés en Grèce dans la foulée du prétendu coup d’État manqué du 14 juillet dernier. Les trois turcs sont notamment arrivés en Grèce par hélicoptère le 16 juillet et ont demandé l’asile affirmant qu’ils craignaient pour leur vie. Ankara demande cependant de les renvoyer en Turquie et les accuse d’avoir projeté l’assassinat du président Erdogan.
Face à cette décision, Ankara menace de « prendre les mesures nécessaires », y compris l’annulation de l’accord sur les réfugiés signé avec Athènes. « Ankara prendra toutes les mesures nécessaires, y compris l’annulation de l’accord de réadmission signé avec la Grèce », a annoncé le ministre turc des Affaires étrangères Mevlut Cavusoglu.
« Nous estimons que cette décision des autorités grecques n’a aucun fondement juridique. Dans toutes les législations, et ce peu importe le pays, il est prévu des mesures pour traduire en justice toute personne ayant pris part à un putsch. Bien sûr, cette situation aura une incidence sur nos relations bilatérales », a tenté de faire croire Mevlut Cavusoglu. M. Cavusoglu a souligné que la partie turque « avait fourni à la Grèce toutes les preuves » de l’implication des militaires fugitifs.
« Nous avons de nouveau demandé aux autorités grecques de nous livrer ces personnes pour qu’elles comparaissent devant la cour. En prenant une telle décision, la Grèce s’est placée du côté de ceux qui ont participé au coup d’État », a-t-il conclu.
Mais il est aujourd’hui de notoriété publique que le prétendu coup d’État du 14 juillet n’en était pas un. Il s’agissait vraisemblablement d’une « opération diversion » montée du plus profond du pouvoir islamiste turc. Le but étant de disposer d’un prétexte en vue d’une purge généralisée de l’État, des entreprises publiques et de la société de tous les éléments susceptibles de s’opposer au pouvoir personnel du dictateur ottoman Erdogan.
Ukraine : reprise des combats au Donbass
L’armée ukrainienne a annoncé que sept de ses soldats ont été tués et neuf autres blessés lors d’une attaque lancée dimanche 29 et lundi 30 janvier par les séparatistes prorusses de l’est du pays.
Cinq soldats ont été tués et neuf blessés dimanche. Les deux autres ont été tués lundi, ont précisé les autorités de Kiev. L’armée ukrainienne a affirmé avoir été ciblée par 22 bombardements de la part des rebelles sur la ligne de front, notamment à Avdïvka, ville industrielle contrôlée par les forces de Kiev située à dix kilomètres au nord du fief rebelle de Donetsk et à Piski, commune voisine. Un porte-parole de l’armée ukrainienne accuse les séparatistes d’avoir lancé un assaut pour « accuser les soldats ukrainiens de violer les accords de Minsk » de février 2015.
De leur côté les forces insurgées du Donbass affirment que depuis plusieurs jours attaques et bombardements de terreur se succèdent pour essayer de percer les lignes de défense de la République Populaire de Donetsk et de briser moralement la population civile.
Ils accusent les troupes de Kiev d’avoir tiré près de 900 projectiles, peu avant midi dimanche contre le territoire de la DNR. Lundi, le pilonnage de la ville de Makeïevka a fait un mort et trois blessés. Ces bombardements ont détruit ou endommagé 51 bâtiments, y compris un jardin pour enfants à Makeyevka, et un gazoduc. Les bombardements d’artillerie lourde (dont l’emploi est censé être interdit dans la zone de conflit conformément aux accords de Minsk) ont aussi touché l’alimentation électrique de la station d’épuration de Donetsk, privant la capitale, Yasinovataya et Avdeyevka d’eau courante.
Il s’agit des combats les plus meurtriers malgré la signature d’un nouveau cessez-le-feu « illimité » le 29 décembre dernier. A l’heure actuelle l’OSCE et le Centre conjoint de contrôle et de coordination tente d’organiser un cessez-le-feu autour de la station d’épuration afin que les travaux de réparation puissent avoir lieux.
Selon les insurgés ces bombardements ont fait deux victimes parmi les civils dont une femme, tuée ce matin par un obus de 152 mm. Un des tirs a même touché une ambulance, blessant trois des occupants du véhicule. Tous ont été admis en urgence à l’hôpital. Au total cinq civils ont été blessés à divers degrés de gravité lors des bombardements des dernières 24 h.
Hier, le président ukrainien Piotr Porochenko a interrompu sa visite en Allemagne sur fond de situation d’urgence dans la ville d’Avdeïevka. Il a demandé une réunion en urgence du groupe de contact à Minsk. De son côté le porte-parole du ministère de la Défense de la République populaire de Donetsk a affirmé que les insurgés « étaient prêts à observer un régime de cessez-le-feu si la partie ukrainienne fait de même ».
Pologne : publication des noms de 10 000 gardiens de camps
Jaroslaw Szarek, a annoncé lundi 30 janvier la mise en ligne de 9 686 noms de membres du personnel du camp nazi allemand d’Auschwitz-Birkenau. La liste, une compilation de renseignements portant pour le moment sur les camps d’Auschwitz et Auschwitz II (ou Auschwitz-Birkenau), et sur des camps secondaires associés, doit être enrichie à terme par celles des autres lieux de détention et d’extermination mis en place par l’Allemagne nazie. Le nombre de noms déjà réunis est d’environ 25 000.
La liste de noms a pu être constituée en grande partie grâce au travail d’un historien, le professeur Aleksander Lasik, qui y a travaillé depuis 1982, en commençant par identifier les SS d’Auschwitz.
Le numéro deux de l’IPN, Mateusz Szpytma a souligné que si on a identifié quelques employés des camps de nationalité ukrainienne, lituanienne ou lettonne, on ne trouvait pas parmi eux de Polonais. Il a expliqué : « Au moment où les Allemands ont lancé une opération de recrutement, l’Etat clandestin [la direction de la résistance polonaise] a interdit aux Polonais d’y répondre et elle a abouti à un échec. »
En effet, cette divulgation est en relation avec l’apparition périodique à l’étranger de l’expression « camps polonais », une erreur combattue avec énergie par les autorités et notamment la diplomatie polonaise. Si de tels cas peuvent être attribués souvent à l’ignorance des auteurs, « il s’agit parfois de mauvaise volonté, voire de politique historique antipolonaise »
La base de données, accessible en cinq langues, « est un instrument pour lutter contre le mensonge », a ajouté le chef de l’IPN. « Nous n’y exprimons pas d’opinion, nous ne faisons que rapporter des faits secs. »
Italie : l’envahisseur nigérian séquestre et viole une employée d’un centre d’accueil
Horreur dans le centre d’accueil de Giugliano (l’hôtel « le Château ») en Campanie, une ville à quelques kilomètres de Naples. Un Nigérian de 25 ans a séquestré et violé une employée travaillant dans le centre. Le jeune homme a été arrêté peu après les faits. Il est incarcéré dans la prison de Poggioreale
Selon les premiers rapports, l’envahisseur s’est introduit dans le bureau de la femme, une assistante de 62 ans. Après avoir verrouillé la porte, il a commencé à sexuellement abuser d’elle. « Il y a au moins deux ans que je n’ai pas eu des relations sexuelles avec une femme », disait-il avant de commencer à lui imposer des attouchements.
Lorsqu’un autre employé a frappé à la porte, le jeune homme a autorisé la victime à ouvrir afin d’éviter d’éveiller les soupçons. L’employé a pu comprendre que quelque chose de grave se passait dans le bureau face à l’apparence terrifiée de la femme de 62 ans et il a couru pour appeler le poste de police de Varcaturo. Lorsque les policiers sont arrivés, ils ont pu libérer la victime et procéder à l’arrestation du clandestin nigérian. Après les formalités, l’envahisseur a été amené à la prison de Poggioreale et il sera bientôt expulsé d’Italie.
Cette violence a choqué l’ensemble des personnes qui travaillent dans les centres d’accueil du pays. Mais elle n’est pas sans précédent. Ce n’est pas le premier cas d’un clandestin qui agresse ou abuse d’un employé des centres qui les abritent.
Espagne : découverte d’un navire antique sombré il y a 1800 ans
Des plongeurs-chercheurs espagnols ont retrouvé non loin de l’île de Cabrera (îles Baléares) un navire datant de l’Empire romain, qui aurait sombré il y a environ 1 800 ans.
À les en croire, le navire — chargé de plusieurs amphores antiques bien conservées — se retrouvait à 70 mètres de profondeur.
« Autant qu’on sache, c’est la première fois qu’on a réussi à retrouver dans les eaux espagnoles un navire sombré dans un état de conservation aussi parfait », a souligné Javier Rodríguez, l’un des archéologues. Il est à noter qu’au total, 12 navires datant de l’Empire romain ont été retrouvés près de l’île de Cabrera.
Ce sont des pêcheurs locaux qui ont été les premiers à localiser le navire antique, des éclats d’amphores s’étant empêtrés dans leurs filets. Ainsi, un groupe de plongeurs-chercheurs s’est engagé en avril dernier à étudier la zone plus minutieusement à l’aide de deux robots sous-marins, qui ont réussi à filmer le fond marin en direct et à retrouver plusieurs amphores de tailles différentes ensevelies sous le sable.
Le navire retrouvé, poursuivent les chercheurs, pourrait dater du IIIe ou du IVe siècle avant notre ère. Concernant les amphores qu’il transportait — environ 2 000 pièces au total —, elles pourraient provenir d’Afrique du Nord et du sud du Portugal.
En outre, les scientifiques supposent que le navire retrouvé, dont la longueur fait une vingtaine de mètres, soit un navire marchand qui assurait une liaison entre l’Afrique du Nord, l’Espagne, le sud de la France et la Rome antique. Il n’est pas exclu, poursuivent-ils, qu’il transportait du « garum », le principal condiment utilisé à Rome dès la période étrusque et en Grèce antique.
« Les îles Baléares représentaient un refuge idéal pour les navires en cas d’intempérie. Il est possible que le navire n’ait pas réussi à les rejoindre en raison du mauvais temps et qu’il ait sombré non loin de la côte ».
C’est à lire !
– L’épuration soviétique en Bulgarie 1944-1945 :
Monde
Yemen : spectaculaire attaque d’un bâtiment saoudien en mer Rouge
L’une de quatre frégates saoudiennes de type Al Madinah a été frappée par un missile antinavire guidé, selon les révélations de la chaine de télévision al-Masirah qui cite une source anonyme au sein des forces rebelles yéménites. L’attaque a eu lieu près du port de la ville de Hodeida, à 150 kilomètres au sud-est de la capitale yéménite, Sanaa. Au moins deux marins ont été tués.
D’après les Saoudiens, deux marins sont décédés dans une attaque terroriste menée par trois embarcations kamikazes. Deux d’entre elles auraient été mises hors d’état de nuire avant d’atteindre le navire, au contraire de la troisième. Deux marins ont été tués et trois autres blessés dans l’incident. Le bâtiment aurait alors continué sa mission de patrouille après avoir éteint l’incendie.
Cette guerre au Yémen oppose les rebelles Houthis soutenus par l’Iran aux forces progouvernementales appuyées par la coalition sous commandement saoudien.
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le conflit au Yémen a fait plus de 7 350 morts et 39 000 blessés en 20 mois, des chiffres qui incluent les civils et les combattants alors qu’un rapport des Nations-Unies transmis au Conseil de sécurité confirme que la plupart des attaques et bombardements de la coalition américano-saoudienne ne vise pas des cibles militaires légitimes et pourraient constituer des crimes de guerre.
Vidéo :
État juif : révélation sur les méthodes de torture du Shin Bet
Un journal israélien a révélé plusieurs méthodes de torture utilisées par les interrogateurs juifs du service de sécurité intérieure de l’État juif, le Shin Bet. La source principale, nommée par sa seule initiale « N », est présentée comme un ancien superviseur des interrogatoires ayant la capacité de donner l’autorisation pour employer les « techniques spéciales d’interrogatoires » ou « pressions physiques modérées », l’euphémisme utilisé pour désigner la torture, dans le pays qui se qualifie lui-même comme « seule démocratie du Moyen-Orient ».
« Les méthodes utilisées sont choisies avec précaution pour être suffisamment efficaces afin de briser le mental du suspect, sans pour autant causer de blessures ni de marques », a déclaré le tortionnaire repenti. « Ce n’est pas comme à Guantanamo », a-t-il insisté.
« N » décrit notamment une technique consistant à bander les yeux du détenu et de le gifler. La gifle doit faire mal aux parties sensibles comme le nez, les oreilles, le front et les lèvres. Le bandeau est utilisé afin que le suspect ne voie pas le coup arriver et ainsi « bouger sa tête d’une façon qui pourrait entraîner une blessure des organes vitaux ».
Une autre technique est celle dite de la « chaise murale ». Le détenu est placé, genoux à moitié pliés, le dos contre le mur, et doit rester en place. « Si le suspect tombe, les interrogateurs doivent le remettre en position, et le maintenir ainsi même si le suspect pleure, supplie ou hurle. »
Le fait d’hurler sur le suspect en l’attrapant par les vêtements est aussi utilisé par les policiers israéliens.
Le journal indique que les interrogateurs était conscients de la douleur infligée par ces « moyens spéciaux » et que certains ont même testé ces positions eux-mêmes pour savoir à quel point elles étaient inconfortables.
Pourtant l’État juif est signataire de la Convention contre la torture des Nations unies depuis 1991, et la torture y est officiellement illégale depuis 1999… Mais sa Haute cour de justice a tout de même laissé une faille permettant l’utilisation de méthodes d’interrogatoire très musclées en cas de « nécessité de défense », notion floue utilisable en cas de risque d’attentat. Mais en revanche ces critères n’ont pas cours dans les territoires occupés et les forces policières et militaires de l’État sioniste y font régulièrement l’objet d’accusations de torture.
Syrie : recompositions jihadistes d’un côté, programme de « réconciliation nationale » de l’autre
Un nouveau bloc composé de groupes rebelles et du Front Fateh el-Cham a vu le jour samedi 28 janvier dans le nord de la Syrie, après que d’autres mouvements insurgés ont tourné leurs armes contre cette organisation jihadiste.
Dans un communiqué, Fateh el-Cham, l’ex-branche d’al-Qaëda, et quatre groupes rebelles, dont l’influent Noureddine al-Zinki, ont annoncé leur dissolution et leur fusion au sein d’un groupe baptisé Tahrir al-Cham (« Libération de la Syrie », en arabe).
Après la fusion de six factions jeudi 26 janvier au sein du mouvement Ahrar al-Cham, le plus puissant des groupes insurgés, deux blocs rivaux sont ainsi en train d’émerger : l’un emmené par Ahrar al-Cham, l’autre conduit par Fateh el-Cham.
Ces deux groupes étaient pourtant encore récemment alliés au sein d’une alliance surnommée « Armée de la conquête » qui combattait le régime de Bachar el-Assad dans les provinces d’Idleb (nord-ouest) et Alep (nord). « Vu les complots qui secouent la révolution syrienne et vu la guerre interne (entre factions) et par souci d’unité, nous annonçons la dissolution des groupes suivants et leur fusion dans une nouvelle entité sous le nom Tahrir al-Cham », indique le communiqué. Outre Fateh el-Cham, le texte est signé de Noureddine al-Zinki, Liwa al-Haq, Front Ansar al-Din et Jaich al-Sounna, toutes des factions islamistes.
Ces factions n’avaient pas participé aux négociations de paix à Astana avec le régime en début de semaine sous le parrainage de la Russie et de la Turquie, contrairement à d’autres groupes rebelles. Furieux de voir des rebelles participer aux négociations au Kazakhstan, Fateh el-Cham –désigné comme groupe « terroriste » par Washington et Moscou– les a accusés d’avoir conclu un accord pour le combattre et « l’isoler ». Et dès la fin des négociations mardi, Fateh el-Cham a attaqué une base d’un groupe rebelle dans la province d’Idleb (nord-ouest) et les combats se sont propagés dans cette région ainsi que dans celle voisine d’Alep.
Pendant ces recompositions aux seins des groupes islamo-terroristes, le programme de réconciliation nationale du gouvernement porte ses fruits. Ainsi, environ 300 terroristes ont déposé les armes dans la province syrienne de Deraa (sud) dans le de ce programme gouvernemental. 280 terroristes ont rendu 60 armes à feu, 15 mines antichars et plusieurs bombes de fabrication artisanale à l’issue de négociations. Ces derniers mois, des centaines de terroristes ont déposé les armes dans la province de Deraa. Les habitants des villages occupés par les radicaux ont souhaité passer la procédure de réhabilitation.
Le ministère syrien de la Réconciliation mène des négociations avec les citoyens du pays faisant partie de formations armées illégales. Ces discussions se déroulent dans le cadre d’un programme gouvernemental de réconciliation. Les autorités invitent les citoyens syriens à déposer les armes et à passer la procédure de réhabilitation pour revenir à la vie normale. En 2014, 1 500 terroristes, qui avaient pris le contrôle de la ville de Homs, se sont rendus aux forces gouvernementales grâce à ce programme.
La situation syrienne étant suffisamment stabilisée, le gouvernement de Damas a appelé lundi 30 janvier les réfugiés syriens à rentrer au pays. Le ministre des Affaires étrangères Walid al-Mouallem a fait cette déclaration au cours d’une rencontre à Damas avec le Haut Commissaire des Nations unies pour les réfugiés, Filippo Grandi.
C’est à lire !
– Une histoire du Hezbollah :
Le Hezbollah : « Rien n’effacera notre mémoire » par l’OSRE
Vidéo
Professeur Robert Faurisson et Maître Damien Viguier
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=coMzEAwTzAs[/youtube]
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Rivarol
N° 3262 du 2 février 2017
Sommaire :
Donald Trump en guerre contre le Big Pharma ; En quoi le Brexit est une chance pour le Royaume-Uni ; Le protectionnisme, ennemi de l’Union européenne ; Présidentielle : la “droite” sera-t-elle absente du second tour ? ; Racisme d’apparat, sionisme de combat ; De Thalamas à Valls, des gifles qui ne se perdent pas… ; Emil Cioran, le désespéré etc…
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Ephéméride nationaliste
2 février 1889 : naissance de Jean de Lattre de tassigny
2 février 1945 : mort de Bogdan Filov (biographie)
2 février 1975 : mort de Horace de Carbuccia
Agenda
Commémoration du 6 février
Paris le 4 février 2017 à 10h00
© Jeune nation – 2017
Le Peintre dans son atelier, 1720, François Boucher
(Musée du Louvre – Paris)
« Jeanne au bûcher » est un mystère lyrique d’Arthur Honegger. La première version orchestrale a été donnée le 12 mai 1938 à Bâle (Suisse) sous la direction de Paul Sacher, avec Ida Rubinstein dans le rôle titre. La première version scénique a été donnée le 13 juin 1942 à l’Opernhaus de Zurich, dans l’adaptation allemande de Hans Reinhard. La première française eut lieu à Orléans le 8 mai 1939, en presence du maire Claude Lewy, proche de Jean Zay.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Jeanne_d'Arc_au_bûcher
http://www.opera-lyon.com/spectacle/jeanne-au-bucher
https://www.delitdimages.org/petition-contre-spectacle-transgenre-pornographique-salit-limage-de-sainte-jeanne-darc/
Audrey Azoulay vient de confirmer entre autres le directeur de la Comédie de Saint-Etienne pour un nouveau mandat de trois ans, ce qui va lui permettre de lancer sereinement les futures saisons dans les nouveaux locaux qui lui seront livrés au printemps.
http://www.sceneweb.fr/les-dernieres-nominations-daudrey-azoulay-dici-les-elections/
http://www.lacomedie.fr/index.php/fr/la-saison/tous-les-spectacles-2/detailevenement/828/-/et-si-je-les-tuais-tous-madame