La Commission européenne menace de sanctionner les pays qui ne veulent pas accueillir plus d’envahisseurs extra-européens
A l’occasion de la présentation d’un nouveau rapport le 8 février sur l’accueil des flux d’invasion dans l’Union européenne, le premier vice-président de la Commission, Frans Timmermans, a noté une progression « plutôt encourageante » (selon sa conception) en matière de « réadmissions », ce dispositif permettant de faire venir de pays tiers des pseudo « réfugiés » mais vrais envahisseurs ayant obtenu le fameux statut d’asile. Près de 14 000 nouveaux illégaux ont ainsi été accueillies via ce mécanisme, soit plus de la moitié des 22 500 auxquels les États se sont engagés. Le mouvement s’est même légèrement accéléré au cours des derniers mois.
En revanche, le mécanisme de relocalisation reste heureusement très décrié. Il est beaucoup plus controversé. Il consiste, sous couvert de solidarité interétatique à saupoudrer d’envahisseurs des pays peu ou pas touchés. Il s’agit de « soulager » les pays d’accueils comme la Grèce ou l’Italie dont les gouvernements incapables ou pervertis ont abdiqué la défense de leurs frontières (qui sont aussi des frontières de l’Europe) en répartissant les clandestins ailleurs dans l’Union européenne. Le total de ces envahisseurs ayant été relocalisé n’atteint que 12 000 personnes. Alors que les accords européens concernent officiellement un objectif total de 98 000 individus.
Frans Timmermans a lancé un appel très clair aux États membres. D’abord à l’attention de ceux qui veulent bloquer l’accès à leur territoire aux clandestins estra-européens. Au premier rang de ces derniers, la Hongrie vient même d’annoncer qu’elle envisage de mettre en place un dispositif pour enfermer dans des centres d’accueil les candidats à l’asile pendant la période où leur dossier serait traité. Elle avance que l’élection de Donald Trump, aux États-Unis, accrédite sa thèse selon laquelle les populations ne veulent pas accueillir d’étrangers.
Mais le mondialiste immigrationniste forcené, Frans Timmermans, ne le voit pas de cet œil. Il a lancé que « si certains croient que l’on peut avoir une politique migratoire stable simplement en contrôlant mieux les frontières et en appliquant des politiques adaptées dans les pays d’origine, ils sont dans l’illusion » avant d’appeler à la solidarité vis-à-vis des conditions très difficiles qu’affrontent Rome et Athènes sur ce dossier. Et de sous-entendre qu’en mars, lors du prochain rapport d’évaluation, se poserait sérieusement la question des procédures de sanctions à l’égard des pays qui ne jouent pas le jeu…
Quant aux autres États membres, le numéro deux de la Commission leur reproche deux formes de lâcheté. D’abord, de ne pas prendre leur part de ces pseudos « réfugiés ». Il en appelle au « courage politique », invoquant un « devoir moral » et « l’humanisme qui est à l’origine du projet européen ». « Je crois que l’Europe et tous les États membres perdraient leur âme » s’ils se montraient incapables d’accueillir sur leur sol des populations en manque de protection, a-t-il lancé. Enfin, le Néerlandais a également plaidé pour une solidarité des États membres pour faire pression sur leurs pairs les plus récalcitrants. « Tout le monde a les yeux rivés sur la Commission, ce que je respecte », mais « il devrait y avoir une responsabilité collective ».
Toujours la même rengaine « humaniste », jouant sur la corde sensible et l’émotion, véritable cheval de Troie de toutes les idéologies et lobbies qui veulent la destruction des nations et des identités des peuples d’Europe.
Des peuples qui doivent se libérer de cette bureaucratie qui promet de se transformer sous peu en « Union soviétique européenne » contraignant les États à recevoir toujours plus d’envahisseurs, noyant les populations autochtones jusqu’à leur dilution totale.