Tarbes : laissée pour morte par deux agresseurs « de type méditerranéen »
Mercredi 22 février une femme âgée de 46 ans a été victime d’une spectaculaire agression dans les rues de Tarbes : un vol à l’arraché avec violence, qui lui a valu trois jours d’incapacité temporaire de travail mais qui aurait pu beaucoup plus mal finir vues les circonstances de l’agression.
Laurence M. porte encore les stigmates de son agression. Trois jours après, elle a toujours un bon bleu sous son œil droit. « J’ai encore le bruit de la barre qui résonne dans ma tête… J’ai encore mal et j’ai du mal à manger… En me voyant, mon petit garçon a été choqué. Mon visage était gonflé, avait doublé de volume. J’essayais de le rassurer, de leur dire que j’allais bien pour ne pas l’affoler. J’ai voulu rester debout, digne. »
Conduite rapidement à l’hôpital, elle s’en est tirée avec une fêlure à la mâchoire, un bon hématome sous l’œil droit, des douleurs aux cervicales mais pas de traumatisme crânien.
Elle a témoigné dans un médiat local :
« C’était mercredi après-midi vers 14 h 30. Je venais de déposer mon fils de 9 ans et demi à l’association Tom-Pouce, rue Massey. » La victime souhaitait rejoindre le jardin Massey pour s’y promener en attendant de récupérer son fils. Elle emprunte le passage souterrain de la voie ferrée. « Je les ai vus de loin, deux jeunes de type méditerranéen. Je descends le premier escalier et continue dans le passage et je les sens derrière moi. Au milieu du deuxième escalier, je sens une main derrière qui essaie de prendre la lanière de mon sac à main que je porte sur l’épaule droite. Puis, il se met face à moi et tire sur le sac. J’ai le réflexe de le retenir. Voyant que je résiste, il a pris ma tête et l’a tapée de toutes ses forces contre la rampe en fer de l’escalier pour me neutraliser. Je suis tombée au sol et j’ai perdu connaissance quelques secondes. Ensuite, je n’ai pas rouvert les yeux tout de suite. J’avais peur. Je me suis dit : ils vont te finir. Au bout d’un moment, j’ouvre finalement les yeux. J’étais seule, sonnée. Je me suis traînée, puis me suis levée tant bien que mal. »
« Il n’a pas dit un mot. Je n’ai pas crié. Tout est allé très vite. Ça a explosé dans ma tête. Ils m’ont laissée pour morte. En tapant la tête de quelqu’un sur une rampe en fer, on peut le tuer. Une agression comme celle-là, en plein jour, je suis étonnée que cela puisse arriver ici, à Tarbes. Je suis grande, il faut oser quand même. J’ai 46 ans et il ne m’était jamais rien arrivé. Maintenant, j’ai peur dans la rue et je n’ai plus du tout envie d’avoir un sac à main. J’essaie d’oublier, notamment pour que mon fils ne soit pas traumatisé. Je suis là. Je suis tellement contente de m’en tirer avec si peu. »
À l’origine de l’agression, donc, deux individus « de type méditerranéen » c’est-à-dire deux envahisseurs extra-européens mais dont l’identité et l’origine précises ne sont pas connues pour le moment. Deux de ces envahisseurs qui peuplent les centres-villes et certains quartiers de nos villes grandes ou moyennes, majoritairement oisifs et à l’affût du premier mauvais coup venu sur des victimes généralement choisies pour leur particulière vulnérabilité, mais majoritairement blanche et de souche !
Après l’avoir laissée pour morte, les deux voyous étrangers ont utilisé ses moyens de paiement dans des commerces à proximité du lieu de l’agression. Dans le sac de Laurence, il y avait sa carte bancaire, un peu de liquide et ses papiers d’identité, son permis de conduire et sa carte grise.
Bien évidemment selon le commissariat de Tarbes, on ne prend pas ce genre de vol à l’arraché avec violence – heureusement rare – à la légère et selon la formule consacrée tous les moyens sont mis en place pour retrouver les auteurs…
Mais quand même une victime supplémentaire, parmi des millions d’autres, de la criminelle politique d’immigration imposée à la France et aux Français depuis des dizaines d’années, renforcée depuis trois ans par « la crise des migrants ».
Les gouvernements nationaux, de droite comme de gauche, et les oligarques-bureaucrates de Bruxelles devront bien un jour assumer leur folle idéologie mondialiste. Et les juges qui libèrent ces dangereux envahisseurs souvent multi-récidivistes devront assumer leur surréaliste idéologie libertaire. L’heure des comptes viendra bientôt !
Vivement que la chasse soit ouverte ….. On est de plus en plus sur les nerfs va bien falloir que nous reprenons la main sur cette « Guerre Sourde ». Nous attendons impatiemment nos vrai leaders amoureux de notre Nation nos Traditions et notre Culture. Vive la FRANCE !!!
il est temps de les envoyer prendre une douche à a z
JE dirais « de type maghrebin » plutôt!