Nous reproduisons ci-dessous le texte écrit par notre camarade et ami Hervé Ryssen pour le 90e anniversaire de la révolution dite « russe ». Une dizaine de personnalités l’avaient signé en commun, ce qui fait que les officines de délation « antiracistes » n’avaient pas osé le traîner devant les tribunaux. On sait depuis longtemps que les plaintes devant la justice (où ils sont sûrs de gagner), sont le seul moyen pour le « peuple du livre » de remporter les débats idéologiques.
Il y a 90 ans, en Russie, éclatait la révolution bolchevique d’octobre 1917. Il s’agissait, au départ, non seulement de « libérer les travailleurs », mais aussi de bâtir un monde parfait, sans frontières, où régnerait l’égalité. Il fallait alors « faire table rase du passé » pour qu’un « homme nouveau » puisse apparaître. Dans la réalité, le fanatisme égalitaire du communisme a immédiatement donné lieu à une succession de massacres. Au total, en une trentaine d’années, ce furent plus de trente millions de Russes et d’Ukrainiens qui furent liquidés par la folie criminelle des nouveaux maîtres. Après l’expérience maoïste, en Chine, la révolution russe est donc, en importance, la deuxième plus grande tragédie de l’histoire de l’humanité.
S’il est autorisé aujourd’hui de dénoncer les horreurs du communisme, il est toujours parfaitement proscrit d’insister sur l’identité de ses principaux instigateurs. On découvre pourtant ici que le communisme est essentiellement une affaire juive : Karl Marx était petit-fils de rabbin ; Lénine avait lui aussi des origines juives ; Trotsky, le chef de l’Armée rouge, s’appelait en réalité Bronstein ; Kamenev, qui était le président du Soviet de Moscou, avait pour vrai nom Rosenfeld ; Zinoviev, le maître de Léningrad, s’appelait Apfelbaum ; le premier président de l’Union soviétique était un juif nommé Sverdlov, etc.
La liste des dignitaires bolcheviques est ici interminable. La révolution qui éclata à Berlin en 1918 était menée par d’autres juifs : Karl Liebknecht et Rosa Luxembourg. En Hongrie, à la même époque, Bela Kun prit la tête d’un gouvernement révolutionnaire qui était presque exclusivement composé de juifs, et l’on sait qu’après 1945, ce sont des juifs qui furent mis à la tête du pays, de même qu’en Pologne, en Tchécoslovaquie et en Roumanie. Le célèbre écrivain Alexandre Soljenitsyne, après beaucoup d’autres, a montré l’implication de très nombreux responsables juifs dans cette histoire, et effectivement, les doctrinaires juifs, les fonctionnaires juifs et les tortionnaires juifs ont une responsabilité toute particulière dans les atrocités qui ont été commises au nom de cette sanglante utopie, entre 1917 et 1947.
Les intellectuels juifs, dans leur totalité, et dans le monde entier, ont encouragé depuis, de toutes leurs forces, l’avènement de la société multiculturelle, et se sont fait les plus ardents défenseurs de l’immigration dans tous les pays. C’est parce qu’il s’agit pour eux toujours du même projet : bâtir un monde de « paix » (shalom), sans frontières, où les hommes seront libres et égaux, et dans lequel toutes les identités auront définitivement disparu ─ sauf la leur, bien évidemment. C’est comme cela qu’ils pourront être enfin reconnus comme le peuple de Dieu.
Reproduction avec l’aimable autorisation d’Hervé Ryssen
https://herveryssen.wordpress.com/2017/10/10/nous-ne-voulons-plus-de-vos-utopies/
Sur le même sujet, on consultera du même auteur la deuxième partie des Espérances planétariennes, et la première partie du Fanatisme juif.
bonjour, bonsoir,
je consulte régulièrement E&R, ils ont relayé un de vos articles…
Hervé Rhyssen explique bien qui et pour quoi tous ces morts en 1917
Mais Proudhon est bel et bien anti-capitaliste sans être juif, alors quoi ?
C’est quoi, votre modèle économique ? la 3ème voie, ça n’existe pas…
Geoffrey, neo-communiste belge