Retraites : des pensionnés fantômes à l’étranger
En Algérie, au Portugal, en Espagne, au Maroc et en Italie, les caisses de retraite françaises continuent à verser des pensions à des assurés étrangers décédés depuis longtemps, dénonce la Cour des comptes.
Une « incertitude » à 200 millions d’euros par an. C’est le montant estimé des pensions versées à tort à ces envahisseurs ayant trouvé la combine pour prolonger leur prédation depuis l’étranger, correspondant à 50.000 versements, selon la Cour des comptes. Dans son rapport 2017 sur la Sécurité sociale , cette dernière demande aux caisses de retraite de mieux s’organiser contre cette fraude.
En 2015, 1,65 million de retraites de base et 1,12 million de retraites complémentaires ont été versées à l’étranger par la Sécurité sociale française, pour un montant total de 6,5 milliards d’euros, en vive hausse de 35 % sur dix ans. Les prestations sont concentrées sur cinq pays : Algérie, Portugal, Espagne, Maroc, Italie.
Des versements à des assurés de 117 ans
La Cour relève plusieurs indices pouvant signifier qu’il y a eu fraude : des versements à des assurés particulièrement âgés (jusqu’à 117 ans !) et des divergences inexpliquées entre le nombre de pensionnés touchant des retraites de base et complémentaires.
Les régimes de retraite sont un peu démunis. Ils réclament des certificats d’existence à leurs assurés tous les ans. Mais ils ne se coordonnent pas entre eux pour recouper leurs informations. De plus, comment savoir si ces certificats ont été falsifiés ? Quelques contrôles ciblés ont été menés en Algérie, avec l’aide du ministère des Affaires étrangères. Beaucoup d’anomalies ont été relevées, mais l’échantillon n’était que de quelques centaines de dossiers en 2012 et en 2016. Les autres pays n’ont pas été testés. Et personne n’a pensé à passer l’information à l’Agirc-Arrco…
Créer un formulaire unique
La Cour des comptes recommande de créer un formulaire unique de certificat d’existence pour tous les régimes de retraite. Il serait traduit dans les langues des principaux pays de destination, adressé et réceptionné en un seul point, avec des contrôles sur échantillons. Par ailleurs, les contrôles sur place devraient être renforcés et mutualisés. Les régimes de retraite pourraient s’appuyer sur les banques pour vérifier l’existence des assurés sociaux et pour recouvrer le versement indu de prestations après décès.
Les envahisseurs qui viennent en France pour occuper un emploi sont minoritaires
L’OCDE a rendu public le 20 novembre un rapport intitulé Le recrutement des travailleurs immigrés : France. Ce document de plus de 350 pages a été rédigé dans la perspective d’une étude de la politique d’immigration de travail du gouvernement. Il s’est donné pour but de répondre à la question suivante : « Est-ce que les politiques d’immigration de travail sont efficaces, permettent-elles notamment de combler les besoins du marché du travail, en limitant les effets négatifs ? »
Les rapporteurs estiment que « la main-d’œuvre immigrée ne doit […] ni concurrencer la main d’œuvre locale, ni entraver le développement des pays d’origine les plus vulnérables. » Toutefois, ils admettent que « s’il est relativement aisé d’énoncer cet objectif, spécifier les critères évaluant le succès de ce genre de politique est bien plus complexe. »
Evoquant la liste des métiers dits « en tension » c’est-à-dire pour lesquels le recrutement est difficile en l’absence de profils professionnels adaptés, ils relèvent qu’elle n’a pas été mise à jour depuis sa création en 2008 et est frappée d’obsolescence. Seuls 15% des métiers inscrits sur cette liste seraient encore en tension sur l’ensemble du territoire français en 2015.
Et pendant ce temps-là les consulats et préfectures continuent de délivrer des visas et des permis de séjour à des envahisseurs venant occuper des emplois dans des secteurs et métiers pour lesquels l’offre de travailleurs français est suffisante !
Seul un étranger légal sur six viendrait en France pour travailler
Mais surtout, ils observent que l’immigration légale en France est minoritairement liée au travail. Ainsi, en 2016 environ 28 000 titres de séjour permanents ont été délivrés pour motif d’emploi, ce qui ne représente que 16% des flux permanents de ressortissants extra-communautaires. Autrement dit, près de cinq envahisseurs sur six venant légalement d’un Etat non membre de l’UE ne le font pas dans le cadre d’une émigration de travail mais pour d’autres motifs qui peuvent être familiaux, humanitaires, ou liés à des études.
L’étude s’intéresse aussi à l’impact des envahisseurs clandestins, pudiquement appelés « sans-papiers » et régularisés « pour motif économique ». Travaillant dans la construction ou la restauration notamment, ils étaient 5 000 en 2015 et 6 400 en 2016 à bénéficier de ces régularisations.
Aucun diplôme minimal requis pour un permis de travail
L’étude soulève aussi certains paradoxes du système régissant l’immigration en France. Il serait à la fois plus discrétionnaire, cumulerait les obstacles administratifs tout en étant plus libéral sur certains points comme l’exigence de diplômes. Ainsi, la France est l’un des rares pays de l’OCDE où aucun diplôme minimal n’est requis pour l’obtention d’un titre de séjour assorti d’un permis de travail !
En outre, les pratiques administratives semblent assez peu codifiées, ce qui aboutit à de très grands écarts dans le traitement des demandes. Ainsi, au sein des « services de la main-d’œuvre étrangère » (SMOE), le nombre de dossiers à traiter par agent varie de 1 à 90. Dans les départements qui reçoivent le plus de demandes d’autorisation de travail (Paris et Hauts de Seine), les taux de refus pour les titres « salariés » sont inférieurs à 4%, mais ce taux atteint plus de 50% dans un quart des SMOE.
La France, deuxième destination envisagée par les candidats à l’immigration sans qualification
Le rapport affirme en outre que la France souffre d’un « déficit d’attractivité » auprès des envahisseurs qualifiés. Alors qu’elle est le deuxième pays au monde, après les Etats-Unis, à être envisagé comme choix par l’ensemble des candidats à l’émigration, elle n’est que le huitième choix des émigrants diplômés derrière les Etats-Unis, le Canada, les Emirats arabes unis, l’Arabie saoudite, l’Espagne, l’Australie et le Royaume-Uni.
À l’évidence l’état actuel de la France ne peut plus attirer aujourd’hui que les parasites et les incapables venant grapiller les dernières miettes d’un État-providence qui ne se maintient qu’en pressurant les autochtones encore actifs !
Par rapport à 2007, près de 50 000 titres de séjour de plus par an
L’étude compare enfin la proportion d’étrangers entre différents pays européens. C’est en Suisse que le nombre d’émigrés est le plus élevé (16% de la population totale), mais les trois quarts le sont au titre de l’immigration de travail.
En France le taux de colons serait un des plus faibles d’Europe aux environ de 4% , contre 9% en Belgique et 7% en Allemagne. Mais sans tenir compte évidemment des naturalisations à tour de bras depuis des dizaines d’années !.
De plus, les chiffres de l’OCDE semblent en contradiction avec ceux de l’INSEE qui estime que les émigrés résidents en France représentent environ 9% de la population !
Enfin, le rapport donne un chiffre de l’immigration légale : elle serait passée de 169 600 titres délivrés en 2007 à 227 990 en 2016 !
Incurie des services de l’État ; législation complexe, obsolète et inadaptée ; statistiques interdites ou parcellaires : tout est bon pour que l’invasion migratoire se perpétue selon le plan du judaïsme politique pour notre pays et pour l’Europe en vue du génocide des Européens !
Et, il ne faut bien sûr pas compter sur une classe politique aux ordres et des médiats-menteurs pour soulever le coin du voile.
Alors rejoignez les groupes nationalistes militants les plus proches de vous et foutons-les tous dehors !