« Le problème de la violence politique c’est qu’elle n’a de sens que si elle correspond à une tension sous-jacente de la société… Or il n’y a pas d’animosité populaire contre Mac Do (je suis le premier à le regretter mais c’est comme ça…) et donc la destruction de l’un d’eux ne peut pas rencontrer d’écho et passe pour du vandalisme comme un autre… La violence politique ne peut être comprise – et donc utile – que si elle incarne les pulsions non assumées du plus grand nombre… Il faut être le bras armé des frustrations populaires, pas les gros bras d’une idéologie incomprise. »
Xavier Eman