Après l’audience qui se tenait le lundi 4 juin 2018, devant le Tribunal correctionnel de Lyon, pour juger de l’accusation de « reconstitution ou maintien de ligue dissoute », les messages de soutien à Yvan Benedetti ont afflué, provenant de nombreuses personnalités et organisations amies en France, mais aussi de toute l’Europe. Pour n’en citer que les plus éloignés, géographiquement seulement cela va de soi : Mouvement légionnaire roumain, Union nationale bulgare, Mouvement impérial russe ou encore Conseil de la résistance nordique… Mais plus près de nous, voici le chaleureux témoignage de camaraderie et d’espérance que le secrétariat national du mouvement espagnol « La Falange » a rendu public également :
Yvan Benedetti, exemplaire devant les tribunaux français
« …Ceux qui sont voisins aujourd’hui, demain seront frères ;
et, comme un rideau, ils ouvriront cette montagne (les Pyrénées),
la glorieuse France, l’héroïque et pieuse Espagne
se donneront la main… »
Ces vers sont de Jacint Verdaguer dans son fameux poème « El Canigó » (Le Canigou). Plus d’un siècle plus tard, le libéralisme et son marxisme culturel ont laissé peu d’exemple de gloire, d’héroïsme et de dévouement dans ces deux nations d’Europe. Mais il y a encore des nationalistes qui résistent des deux côtés des Pyrénées. Et un exemple significatif est notre camarade, Yvan Benedetti, qui nous a donné une nouvelle démonstration de dignité devant les tribunaux français.
En effet, lundi dernier, le Tribunal de grande instance de Lyon a jugé le camarade Benedetti accusé de poursuivre l’activité de l’Œuvre française et des Jeunesses nationalistes, organisations nationalistes dont Manuel Valls avait fait prononcer la dissolution en 2013 dans un abus de droit flagrant. Manuel Valls, qui n’était même pas un Français lorsque l’Œuvre française a été fondée en 1968 par Pierre Sidos, a profité de la mort accidentelle d’un petit provocateur antifa dans une rixe, pour dissoudre les deux mouvements ; un événement certes tragique mais dans lequel l’Œuvre française et les Jeunesses nationalistes n’étaient absolument pas impliquées comme l’enquête l’a montré.
« L’Œuvre existe et existera encore alors qu’on ne parlera plus ni de Valls, ni de Hollande et qu’à moins de nous dissoudre dans l’acide, ils nous retrouveront toujours sur leur chemin », n’a cessé d’affirmer Yvan Benedetti. Et il l’a courageusement réitéré devant le Tribunal malgré la peine de 10 ans d’emprisonnement encourue comme une épée de Damoclès au-dessus de sa tête.
« Devant le Tribunal, j’ai affirmé la permanence de l’Œuvre française malgré les dissolutions et à travers l’Œuvre, celle du nationalisme, et à travers le nationalisme, celle de la France ! Oui, l’Œuvre française et la France sont irrévocables ! Les juges doivent assumer leurs responsabilités. J’ai pris les miennes, celles que requiert la lutte au service de notre peuple et de notre communauté nationale : c’est grand, c’est fort et cela nous oblige tous », déclarait encore Yvan Benedetti au cours de cette journée marquée par sa loyauté et son engagement militant.
Tout notre soutien à Yvan Benedetti et à l’Œuvre française face à la persécution politique à laquelle il est soumis. Et toute notre reconnaissance pour son attitude courageuse devant les coups qui lui sont portés par le Système.
Nous qui représentons vraiment la France et l’Espagne, nous nous donnons la main : par-dessus les Pyrénées, nous professons notre fraternité d’armes et, en tant que camarades, unis, nous combattons les ennemis de nos patries, de la culture européenne et de la foi.
La Falange