L’attachement du Professeur Robert Faurisson à la cause révisionniste est resté intact jusqu’à son dernier souffle.
Le décès du Professeur Robert Faurisson, presque immédiatement après sa dernière conférence face à une assemblée captivée par sa personnalité hors du commun, évoque d’autres personnalités qui ont réalisé des sorties tout aussi spectaculaires de la scène de ce monde. En 1673, le dramaturge français Molière s’est effondré alors qu’il interprétait le rôle principal dans sa comédie « Le Malade imaginaire ». Plus récemment, en 1984, l’humoriste britannique Tommy Cooper a été victime d’une crise cardiaque alors qu’il se produisait sur la scène du Royal Variety Show de Londres.
Molière était un satiriste, considéré comme un dissident potentiel, notamment pour des œuvres telles que « Le Misanthrope », dont la description de l’hypocrisie des classes dominantes avait fait scandale et suscité l’indignation des faux vertueux. Cooper était l’un des artistes les plus talentueux de Grande-Bretagne (mais aussi un homme violent). Molière et Cooper sont tous deux statufiés pour leur talent reconnu. Il en va de même pour les suffragettes les plus engagées qui, il y a seulement un siècle, étaient considérées comme les terroristes de l’époque.
Une statue du Professeur Robert Faurisson serait un hommage mérité. Cependant, comme on pouvait s’y attendre, les ennemis de la liberté d’expression souhaitent que le révisionnisme disparaisse en même temps que le Professeur. Aucune chance. Les premiers travaux de Paul Rassinier, Maurice Bardèche et Arthur Butz étaient des graînes que le Professeur Robert Faurisson a cultivées avec sa minutie méthodique et ses qualités d’analyse reconnues. De ses écrits ont germé des pousses vigoureuses qui ont commencé à saper l’historiographie officielle de « l’Holocauste », notamment en ce qui concerne Auschwitz. En commençant avec l’incertain Jean-Claude Pressac et en terminant aujourd’hui par les publications de Germar Rudolf, Carlo Mattogno et Jürgen Graf, l’historiographie révisionniste a donné naissance à un champ de recherche scientifique débordant d’arguments irréfutables. Grâce au Professeur Robert Faurisson, plus du quart de la population française est aujourd’hui plus que sceptique face à « l’Holocauste ».
Sous prétexte que les livres ne doivent plus être brûlés et que les libertés fondamentales sont intouchables, les dirigeants actuels appliquent des lois de plus en plus strictes pour… brûler des livres et interdire les opinions dissidentes. Cependant, une partie du grand public commence à comprendre l’inutilité de réprimer les « discours de haine » en les assimilant au révisionnisme. Selon des statistiques publiées par l’« Anti-Defamation League » : « Vingt ans d’enseignement de l’Holocauste ont produit un résultat pervers. Dans les deux pays où la négation de l’Holocauste n’est pas punissable [Etats-Unis et Grande-Bretagne], le niveau de négation de l’Holocauste et le scepticisme relatif à l’Holocauste ont très peu varié. Malgré la vigilance de la police et les alertes dans les pays où la négation de l’Holocauste est réprimée, le pourcentage de négationnistes et de sceptiques de l’Holocauste a considérablement augmenté, passant de 5 % à 26 % en France et de 8 % à 11 % en Allemagne. »
Si, comme le prétendent les ennemis de la liberté d’expression, les thèses révisionnistes ne sont qu’une « falsification de l’histoire », il leur suffirait alors de prouver que ces thèses sont erronées. Mais ils sont simplement incapables de le faire. Fasse que la disparition du Professeur Robert Faurisson provoque également la fin de ces méthodes antidémocratiques et répressives ciblant les voix dissidentes. L’historiographie orthodoxe de « l’Holocauste » est comparable à un zombie qui se promène en marchant sur la tête. Le Professeur Robert Faurisson n’est plus mais son esprit est toujours bien vivant et va continuer à porter ses fruits ; peu importe alors l’absence d’une statue érigée à sa mémoire.
Alison Chabloz
Source : alisonchabloz.com (traduction : Bocage)
Rien à rajouter! Sauf qu’il ne faudrait pas oiblier-entre autres!…- Maurice Bardéche et se revue Défense de L’Occident!
Il faut ridiculiser le »politiquement correct », le goulag des cervelles
apeurées ,mettre les rieurs de notre coté, retrouvez le »sel » français. Un exemple:
– Pourquoi suis-je anti immagrationiste?
– Parce que les Omar s’incrustent assez . (homards crustacés), on peut enchainer
– Préférez-vous un Omar à la marocaine ou un homard à l’armoricaine?