Étonnant, l’attentat a lieu à Christchurch, l’Australien l’a bien sûr fait exprès pour accroître la portée symbolique de son acte : en toute logique, il aurait dû faire son attentat en Australie, mais comme il combat l’islam et le grand remplacement, il choisit une ville qui s’appelle Christchurch, l’Église du Christ.
49 morts, le bilan de la fusillade est du même ordre que celle perpétrée par Anders Breivik en Norvège en 2011 : 77 morts dans ce cas.
Il y a de nombreuses autres similarités entre les deux attentats : Brenton Tarrant avait aussi prévu une combinaison d’attentats à l’explosif en plus des armes à feu ; à chaque fois, d’ailleurs, les explosifs n’ont pas tellement d’effet, dans le cas de Breivik il y avait surtout eu des dégâts matériels suite à l’explosion de son camion piégé mais l’explosion était intervenue trop tard par rapport à l’heure de sortie des bureaux le vendredi. C’est justement ce qu’il considérait lui-même comme un échec qui l’a poussé à actionner son plan B : la fusillade d’Utoya.
Laurent Obertone le raconte très bien dans son « Utoya » même si son livre commence par une distorsion de la réalité : il indique qu’après un intense combat psychologique intérieur, Anders Breivik se décide à faire sauter le cran de sécurité de son Glock : or, il n’y a pas de cran de sécurité à activer par le tireur sur un Glock. Laurent Obertone était bien sûr conscient de cette distorsion qu’il considérait comme un des problèmes majeurs de rédaction de son livre : le cran de sécurité à faire sauter symbolise bien entendu le cran de sécurité psychologique à faire sauter avant de passer à l’acte.
Bien, mais puisque le camion d’Anders Breivik a explosé trop tard par rapport à la sortie des bureaux le vendredi, on constate donc une nouvelle similitude, Brenton Tarrant comme Anders Breivik a agi un vendredi.
Les deux ont posté des manifestes sur le net.
Les deux ont choisi de na pas se donner la mort et de survivre à leur acte, en partie sans doute par peur de la mort, mais en partie aussi parce qu’ils pensent qu’ils sont l’avant-garde d’une réaction blanche et qu’on viendra un jour libérer ces précurseurs qui seront alors fêtés comme des héros de leur nation.
Les deux agissent sur une île.
Les deux agissent dans des villes qu’on pouvait croire épargnées par la submersion migratoire : Oslo en Norvège et Christchurch en Nouvelle-Zélande.
Mais voilà où ça devient étonnant peut-être métaphysique : Breivik avait fait son attentat à Oslo, or, jusqu’en 1925, cette ville s’appelait Christiania
Francis Goumain
Il ne semble pas que ce soit une surinterprétation exagérée de penser que dans cet article l’accent n’est peut-être tout à fait placé sur les victimes.
Question,
comment s’appellera Christchurch demain?
Et même Oslo, qui déjà n’est plus Christiania, quel sera son nom dans 50 ans?
Il n’est pas exagéré de penser que l’article ne met pas l’accent sur les victimes.
Question en revanche, si Christiania n’est plus Christiania, comment s’appellera Christchurch demain? Et Paris? Faurisson avait la même question pour sa bonne ville de Vichy.
Qu’est-ce-que le Christ a à voir avec des tueries de masse ?
Bonne question, il faut le lui demander, c’est son monde après tout.
En profiter pour lui demander pourquoi l’immigration, le métissage et la fin des blancs, la fin de la France.
Ah bon, parce qu’en plus, il faudrait expliquer l’évidence ?
Tiens ! je sens une grosse fatigue, quelquefois.
P.S. IL EST IDIOT ET INUTILE D’ENPÊCHER DE COPIER la photo d’Anders Breivik,vu que nous y arriverons toujours. Là encore, c’est fatigant de constater la nullité des censeurs. (de tous crins)