Bon nombre de tueurs en série sont des homosexuels. C’est ce que l’on peut constater à la lecture du livre de Stéphane Bourgoin “Le Livre noir des serial killers” (2004). Pourtant, il n’y a aucune information disponible sur internet à ce sujet. Si vous tapez “homosexualité et criminalité” sur un moteur de recherche, de toutes les manières possibles, vous tombez sur des articles de presse relatant des affaires dans lesquelles des homosexuels ont été victimes d’agression, ou bien sur des listes de pays criminalisant l’homosexualité. Ce n’est qu’en lisant les biographies de certains grands criminels que l’on voit que beaucoup (pas tous !), étaient homosexuels et pédophiles.
Le 20 juin 2019, j’ai publié une vidéo de 18 minutes intitulée “Homosexuels, pédophiles et tueurs en série. La face sombre du lobby LGBTQPed” (lesbian, gay, bisexuel, transsexuel, queer, pédophile). Après quelques dizaines d’heures de recherche sur internet, la liste des tueurs en série homosexuels s’est maintenant considérablement allongée.
Bien évidemment, l’homosexualité d’un individu n’implique pas nécessairement une dérive criminelle de ce genre, mais l’on est bien obligé de constater qu’il y a proportionnellement beaucoup plus de criminels chez les homosexuels que chez les gens “normaux”. Nous ne disposons toutefois d’aucune statistiques sur le sujet.
L’absence du père durant l’enfance du futur tueur semble être le facteur déterminant, puisque l’on retrouve cette information dans toutes les biographies des criminels. Il s’agit tantôt d’un père qui a quitté le foyer familial, tantôt d’un père alcoolique et violent qui purge régulièrement des peines de prison. Dans les deux cas, le père est absent.
À l’heure où le gouvernement entend faire voter une loi légalisant la “Procréation médicalement assistée” (PMA) pour les couples de femmes homosexuelles, il nous semble important de prévenir les dégâts psychologique d’une éducation sans figure paternelle.
Je dédie ce recensement à Frédéric Potier, président de la Dilcrah (Délégation interministérielle à la “lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT”), militant homosexuel infatigable.
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Hervé Ryssen
Votre article est dangereux.
Faire ce genre de lien en oubliant que souvent, ces jeunes tueurs ont eu une enfance de merde, frappé, violé ou ayant des troubles psychologies… Mais bon, ce serait dommage de ne pas dire que les homos sont des sortes de dérangés nan ? Qu’importe ce qu’ils ont vécus en étant jeune, non, ce qui importe c’est leur orientation sexuelle.
D’ailleurs où sont les sources ? Vous dites vous mêmes que vous n’avez pas de statistiques. Avez vous fait des recherche de psychologie ? Etes vous psychologues ? Au lieu de tenter de créer une haine envers une communauté qui s’en prend déjà plein la gueule, commencez par ça.
Les recherches par contre sur le fait qu’avoir deux mères/deux pères, il y’en a. Elles sont positives, l’enfant, si besoins de masculinité il y a (ce que j’ai tendance à mettre en doute mais passons), ont tendance à aller chercher un autre référant (oncle, grand parent, ami de la famille).
Au lieu de vous demander si l’homosexualité amène à tuer des gens, demandez vous si ce n’est pas le traitement de l’homosexualité (discrimination, violence) par les autres qui n’apporte pas cela.
Merci de ne pas non plus séparer normaux/homosexuels.