Thierry et Julien, dernière victime – en date – de la criminelle politique immigrationniste. Assez !
Samedi 4 avril au matin, alors que comme toute la France, la bourgade était confinée, Romans-sur-Isère a été le théâtre d’une attaque au couteau. Deux personnes sont mortes, cinq autres ont été blessées par un envahisseur soudanais, Abdallah Ahmed-Osman, né en 1987, ayant obtenu en France le statut de réfugié.
«Ceux qui avaient la malchance de se trouver sur son passage ont été agressés», a constaté la maire. Les deux personnes tuées s’appelaient Thierry N. et Julien V. Ces deux hommes avaient respectivement 55 et 44 ans.
Des témoins auraient entendu l’assaillant crier «Allah Akbar».
Thierry N. était ingénieur informatique, il a été tué alors qu’il faisait ses courses dans une boucherie du centre-ville. L’assaillant a pénétré dans l’établissement après avoir attaqué un tabac. «Il a pris un couteau, en sautant par-dessus le comptoir, et a planté un client, puis est reparti en courant, a raconté le patron de la boucherie. Ma femme a essayé de porter assistance à la victime, en vain.»
Julien V. avait 44 ans, il est mort, poignardé quelques minutes plus tard. Il était dans la rue et ouvrait ses volets, en compagnie de son fils de douze ans. «Julien sortait de chez lui avec son fils de 12 ans. L’homme s’est jeté sur son enfant et Julien a juste eu le temps de se placer devant son fils pour le protéger. Il a pris les coups de couteau. Il a été tué devant son fils, je n’arrive pas à le croire, c’est un truc de malade.» Christian, son père de 73 ans «est tellement choqué qu’il a dû être hospitalisé. Je ne vois pas comment il va se remettre d’un tel drame.»
Cinq autres personnes ont été blessées : un couple de buralistes, les premiers à être attaqués, Serge F., 65 ans, et Ghislaine A., 49 ans, ainsi que trois passants, Abdellak M., 59 ans, Jean-François S., 63 ans, et Emmanuelle B., 38 ans. Deux de ces blessés sont en soins intensifs mais stables. L’un est en salle de réveil et deux ont quitté l’hôpital, selon une source proche de l’enquête.
A 11 h, son périple meurtrier accompli, Abdallah Ahmed-Osman se met à genoux à la vue de plusieurs équipages de la brigade de sûreté urbaine de Romans-sur-Isère. Sans opposer la moindre résistance, il récite quelques incantations en langue arabe semblant faire référence au « dieu Allah », dans l’attente de son interpellation. Et il lâche alors le couteau de boucher qu’il avait conservé.
« À son domicile, ont été retrouvés des documents manuscrits à connotation religieuse dans lesquels l’auteur des lignes se plaint notamment de vivre dans un pays de mécréants »
L’homme de 33 ans a dit aux enquêteurs «ne pas se souvenir de ce qui s’est passé». Son audition a été un peu retardée parce qu’il était très agité après son interpellation. Une expertise psychiatrique est prévue dimanche. L’enquête est toujours en cours et trois autres envahisseurs soudanais résidant avec le criminel dans le même foyer étaient en garde à vue samedi.
Le parquet national antiterroriste a précisé qu’il se saisissait car « les premières investigations ont mis en évidence un parcours meurtrier déterminé de nature à troubler gravement l’ordre public par l’intimidation ou la terreur ». « En outre, lors de la perquisition réalisée à son domicile, ont été retrouvés des documents manuscrits à connotation religieuse dans lesquels l’auteur des lignes se plaint notamment de vivre dans un pays de mécréants. »
« Depuis quelques jours, il ne se sentait pas bien à cause du confinement »
Abdallah Ahmed-Osman avait sur lui ses papiers délivrés par les criminels gouvernements traîtres qui se succèdent depuis des décennies : il avait obtenu le statut de réfugié le 29 juin 2017 et un titre de séjour de dix ans en juillet de la même année par la préfecture de la Drôme …
La « chance pour la France » a d’abord vécu à Moras-en-Valloire, dans le nord du département. Il se serait installé fin 2019 dans le centre de Romans-sur-Isère dans un logement à quelques mètres des lieux de l’attaque.
Il était bien sûr cornaqué par les habituels complices volontaires de l’invasion migratoire : « accompagné par les services de l’Etat et le secours catholique », il « suivait un contrat de professionnalisation et une formation en maroquinerie », selon un communiqué du maire de la commune, Aurélien Ferlay.
De nombreux témoins rapportent que Abdallah Ahmed-Osman était « aigri » à cause du confinement. « Depuis quelques jours, il ne se sentait pas bien à cause du confinement » lié à l’épidémie de coronavirus. « Il était assez aigri de la situation ».
Il serait bien temps que les Français non reniés se sentent, eux aussi, « aigri » à leur tour et rendent, à ceux qui ont permis, voulu ou encouragé cet état de fait, la monnaie de leur pièce…
Foutons-les dehors ! Tous !
foutons les dehors: trop aimable,tous dnas une chambre à gaz ,nommez un autre hehydrich comme ministre de l’interieur
Faites breveter vos plans ; votre invention vous rapportera gros.
Les français oublient que NOUS SOMMES EN GUERRE contre un islam intégriste qui interpelle le Coran littéralement. Et en plus ils semblent ne pas le connaître. DAESH avait ordonné aux musulmans de France de semer la terreur avec n’importe quel arme à disposition. C’est ce que font ces terroristes. Les prendre pour des fous est une erreur. Ils savent ce qu’ils font: le Djihad.
Nous ne pouvons pas foutre dehors tous les migrants. Les catholiques (et même les protestants) doivent être reçus. Ce sont nos frères et attention le Seigneur veille sur les étrangers qui font partie des plus faibles. Un migrant musulman ne doit pas être reçu, mais refoulé TANT QUE NOUS SOMMES EN GUERRE. Les traîtres (djihadistes français d’origine autre que la France) doivent être mis dehors du pays (ou fusillés). Les djihadistes français doivent être fusillés.
Quant au mosquées elle doivent être fermées, les musulmans de France (ce qui est un comble) doivent être déporter dans des camps de la Croix Rouge, tout en les traitant bien. Et ceci durant toute la guerre.
Oui foutons les dehors.