Le secrétaire national de Forza Nuova (FN, Force nouvelle) Roberto Fiore a suspendu la présentation des listes pour les élections européennes à cause de graves actes d’intimidation et de répression contre de nombreux militants du mouvement. Des policiers ont pénétré de nuit chez des sympathisants pour leur demander s’ils avaient vraiment signé pour soutenir la candidature de Forza Nuova (le nouveau mode de scrutin antidémocratique prévoit qu’un parti non-représenté au parlement européen doit recueillir les signatures d’au moins 300 000 citoyens). Des militants ont été arrêtés alors qu’ils allaient chercher leurs cartes d’électeurs, des formulaires de soutiens ont été saisis par milliers, etc.
Ceux qui ont été séquestrés iniquement l’ont été jusqu’au dépassement de la date limite pour le dépôt des formulaires de candidatures.
Dans un communiqué dénonçant la répression, Roberto Fiore conclut :
« Forza Nuova n’a jamais été un parti électoraliste ; sa force réside dans ses cadres politiques, dans ses militants, dans ses actions sociales et politiques qui sont aujourd’hui, que cela plaise ou pas, le dernier espoir pour l’Italie. »
« Cela signifie simplement qu’ils ont castré la démocratie en Italie maintenant, après avoir fait la même chose en Grèce », a déclaré Nick Griffin, qui travaille en étroite collaboration avec M. Fiore depuis plus de 30 ans.
Le chef du British National Party (BNP, Parti national britannique) a tenté d’alerter sur la situation en Italie à Strasbourg sur le scandale des sabotages contre Forza Nuova, mais il a été empêché de parler : comme le régime d’occupation de Bruxelles suspend la démocratie en Italie, le Parlement européen bâillonne Nick Griffin. Il s’est levé durant la dernière session plénière du Parlement européen jeudi pour soulever ce scandale et demander un débat d’urgence.
Il l’a fait juste avant un vote au sujet d’un rapport très critique concernant le manque de démocratie en Russie. Mais malgré le fait que les députés sont régulièrement autorisés à utiliser un point de l’ordre du jour pour soulever des questions totalement étrangères soit au vote ou même au parlement, lui seul, en cinq ans de mandat, a été interdit de parler, après avoir eu son micro coupé.
Voici le texte qu’il a commencé à lire avant d’être empêché de parler :
« Madame la Présidente,
Encore une fois, nous votons sur un long rapport de vaines déclamations contre l’« anti-démocratique » Russie (à ce stade, la gauche et les libéraux ont commencé à hurler !). Mais alors que la date limite de dépôt des candidatures pour les élections européennes approchait en Italie hier, les forces de (à ce stade le micro a été coupé !) police de votre gouvernement d’occupation a arrêté de nombreux militants de Forza Nuova, sans aucune justification, afin de les empêcher de soumettre les 160 000 signatures qu’ils avaient recueillies avec succès afin de pouvoir être candidats.
Je demande un débat d’urgence sur la façon dont, en premier lieu en Grèce, avec l’Aube dorée, et maintenant en Italie, les partis qui s’opposent à vos régimes pro-austérité de marionnettes sont emprisonnés sous des prétextes clairement fallacieux. C’est nier au peuple un véritable choix démocratique.
Si Poutine fait cela, vous criez au meurtre. Mais quand c’est l’un de vos régimes fantoches de l’UE, tout ce que nous obtenons, ce sont des moqueries des hypocrites de gauche et le silence des lâches de droite.
Comment osez-vous faire des leçons sur la « démocratie » en Russie ? »
Partout en Europe, les nationalistes subissent une violente répression exercée par les pouvoirs mondialistes et corrompus, qui œuvrent pour l’anarchie la plus totale.
Le changement complet ne viendra pas des urnes.