Les attaques se poursuivent contre les militants du NPD à Leipzig. Depuis le début de la campagne électorale dans la région, 10 attentats ont été perpétrés : quatre véhicules personnels ont été détruits par des incendies criminels, et six petits engins explosifs ont été lancés contre des habitants. La dernière victime est Enrico Böhm, candidat à la mairie : ce lundi matin, un engin explosif a été lancé dans sa maison et a explosé près de lui. Ce père d’un enfant de cinq ans a été blessé légèrement.
La veille, le véhicule du directeur de campagne du NPD à Leipzig NPD Maik Scheffler a été incendié à deux mètres de la chambre à coucher d’un immeuble.
Ces actions ont fait l’objet d’une censure quasi-totale dans les médiats ; et malgré la violence des actions contre un mouvement légal et participant à des élections démocratiques, aucune autorité politique, religieuse, syndicale, morale, pas plus en Allemagne qu’en Europe, n’a condamné ces attentats.
Tandis que le Congrès juif mondial demande l’interdiction du mouvement nationaliste, que les plus hautes autorités gouvernementales lancent des procédures pour l’interdire, l’extrême gauche se comporte comme habituellement en bras armé du système.
Les actions terroristes ont en effet été acceptées, promues ou incitées par des personnalités telles Juliane Nagel, élue du Parti de gauche, qui s’est solidarisée avec le « black block » de Leipzig, responsable de ces attaques, et qui bénéficie d’une totale impunité de la part du système.
Devant la démission du pouvoir, le NPD a annoncé qu’il assurerait lui-même la sécurité de ses membres.
On ne peux répéter ce genre d’action qu’avec un (gros) appui au sein de la police allemande qui donne les horaires, les habitudes, les adresses des militants et les numéros de plaque d’immatriculation à cela s’ajoute la magistrature qui bloque en amont.
D’eux meme sans complicité direct les anarchistes n’en sont pas capable… seul des gens travaillant au renseignement intérieur Allemand peuvent orienter et limiter la casse.
En France, à Paris, comme ailleurs les batards de la DCRI connaissent par leur petits noms chacun de ces spécimens sous contrôle relatif qu’il soit du Betar, de la LDJ, du SCLAP et autres antifas de service.