Semaine après semaine, la caste politico-médiatique nous avait rabâché que le « masque était inutile » et que le « confinement » (véritable assignation à domicile) était indispensable pour freiner l’épidémie , sinon c’était notre mort assurée. Depuis 3 mois, nous entendons une cacophonie d’avis divers et contraires provenant des milieux scientifiques, de chercheurs et de médecins pérorant sur tous les plateaux de télés. Ces prétendus érudits nous assènent jour après jour un bilan macabre afin de terroriser et de culpabiliser la population : « rester chez soi sauve une vie toutes les 8 minutes! », alors que la mortalité générale en France compte 10 décès toutes les 8 minutes…
De tous temps, le dépistage des malades contagieux conduit à leur mise en quarantaine, comme cela a été fait pour les 180 Français revenant de Chine fin janvier. On ne confine pas une population saine, c’est l’inverse qui doit se produire, mais les ministres aux abois et le charlatan Micron ont imposé un arrêt brutal de l’économie française avec des conséquences désastreuses dont nos petits enfants parleront encore au XXIe siècle !
Quoi qu’il en coûte !
Lors de son allocution au peuple Français le 12 mars dernier, le docteur Micron avait affirmé à trois reprises qu’il fallait soutenir l’économie française, pour éviter la grande crise, « quoi qu’il en coûte ». C’est donc l’Etat Providence qui se chargera de distribuer des revenus, des aides, des subventions, des dons et des prêts, aux sociétés comme aux personnes physiques, afin de sauver l’économie, victime des erreurs de stratégie et des mauvais choix du pouvoir en place.
Pourtant il faut se souvenir que le Président français avait déclaré le 12 juin 2018 que les services sociaux dans l’Hexagone, « cela coûte un pognon de dingue » alors que les gens restent quand même pauvres. Il fallait selon lui, les responsabiliser davantage.
Et on a pu se rendre compte que les assistants du docteur Micron sont mauvais, qu’ils mentent à longueur de temps à propos des « masques inutiles », des tests de détection pour les malades contaminés, des appareils respiratoires, des mesures de distanciation ou encore des fermetures des lieux de loisirs à ciel ouvert. Les ministres sont de piètres clowns au sein du Coronacircus.
Le 16 mars, on apprend que la guerre est déclarée ! En effet, le docteur Micron nous entraîne dans un conflit incertain et déclame à 6 reprises « nous sommes en guerre » et selon lui, pour freiner la propagation du virus, il ordonne la fermeture des crèches, des écoles, des universités, et d’une multitude d’entreprises au prétexte d’un « confinement », réelle réclusion à domicile, limitant la liberté de circuler et de travailler. Il interdit le fonctionnement des bars et des restaurants, ferme les cinémas et tous les lieux de culture, même en pleine nature. Pas de promenades en montagne, ni de ballades sur les plages, même si l’on est espacé de 10 mètres ! Toutes les activités touristiques sont à l’arrêt. L’Etat paiera le manque à gagner.
Et le bonimenteur Micron de nous affirmer « Retenons cela : le jour d’après, quand nous aurons gagné, ce ne sera pas un retour aux jours d’avant ».
Crise sanitaire + crise économique + récession = krach financier.
Aux abois, les gourous du mondialisme, leurs complices qui dirigent les états européens et leurs copains banksters vont inonder les sphères sociales, industrielles ou artisanales d’une manne monétaire de milliers de milliards d’euros imprimés 24h/24h et 7j/7. Cette option devrait, selon ces éminences, permettre de sauver l’économie européenne plongée dans un coma profond à cause de leur décision d’imposer un « confinement » à des peuples sains, dans la majorité des pays occidentaux. Mais personne ne pourra empêcher une récession (ou dépression), entrainant une baisse d’au moins 15% des PIB en Europe, une hausse importante du chômage (20%) donc un appauvrissement général, entraînant sans doute plus de morts que ceux liés au Covid-19.
Cette récession/dépression empêchera des millions de gens à rembourser leurs emprunts et privera les banques de revenus financiers indispensables à leur survie, comme en Italie, en Espagne, comme BNP Paribas ou aussi la sulfureuse Deutsche Bank, qui risquent de couler.
En guise de synthèse de ce qui précède, se pose tout de même la question : « Qui va payer la note ? Quand ? Et comment ? ».
Parce que l’argent magique, cela relève du conte de fée.
Pieter KERSTENS.
MERCI POUR CET EXCELLENT ARTICLE avec lequel je suis tout à fait d’accord !!!