Faute de lutter contre le chômage, l’insécurité, l’invasion, la main-mise des lobbies sur la France, les députés se croient parfois obligés de communiquer sur des faits divers pour montrer qu’ils existent, et tenter de justifier leur salaire et leurs avantages intolérables. Quand ils sont socialistes et ne peuvent donc intervenir pour dénoncer les racailles qui pillent les cadavres, les Roms qui rendent la vie impossible aux citoyens ou les grands financiers qui pillent la France, ils inventent des histoires où il n’y en a pas.
C’est le cas de Jean-Jacques Urvoas, devenu député socialiste après un court passage à la MNEF, l’organisme de préparation à la corruption socialiste. Défenseur patenté de la racaille, il s’était fait connaître par son opposition à la pourtant bien peu contraignante « loi anti-casseur » – et bien peu efficace comme les Français l’ont constaté ces derniers mois où les émeutes menées par les racailles étrangères ou « antifascistes » se sont multipliées jusqu’au cœur de Paris.
S’il aime la racaille, Jean-Jacques Urvoas, déteste les croix celtiques – qui sont pourtant nombreuses dans le département du Finistère dont il est l’élu – symbole doublement haïssable pour lui des plus profondes origines de la France et de l’attachement à la France.
L’antimilitarisme haineux de la gauche n’est pas loin quand ce député ose s’attaquer à un militaire français, le caporal-chef Sehi. Engagé au sein de la Légion étrangère, ce denier est sorti victorieux d’un gala de pancrace – sport dont les antiques origines européennes doivent ulcérer encore plus notre député maçon. Le militaire a été logiquement mis à l’honneur sur le site de la Légion étrangère dans un article accompagné d’une photo. Horreur pour le député anti-français : l’image du vainqueur laissait voir une croix celtique tatouée.
Et signe que si la République gouverne mal mais se défend bien, la croix celtique suspecte a fait l’objet d’une élimination immédiate…
Et après les tatouages ? Ci-dessous la croix celtique de l’église de Québriac, en Bretagne, dans l’attente d’être détruite par le gouvernement… à moins que celui ne préfère directement raser l’église ?
N’hésitez pas à contacter Jean-Jacques Urvoas :
-son blogue avec l’article antifrançais: http://www.urvoas.org/2013/08/04/legion-etrangere-un-cliche-contestable/ où il est possible de commenter ;
-adresse électronique : [email protected] ;
-adresse postale : 8-10 Place de la Tourbie/ 29000 Quimper ;
-téléphone : 02 98 95 69 80/ fax : 02 98 95 01 30.
En tout cas, cette crevure d’Urvoas a pas dû être déçu des commentaires – il ne censure pas, comme tout un chacun, ce qui laissera croire aux historiens du futur qu’au XXIe siècle, tout le monde était toujours d’accord sur tout, s’ils ont la naïveté de croire que les commentaires publiés sur Internet (donc approuvés par la censure, donc reflétant l’opinion de la censure, donc inutiles à lire) sont représentatifs des commentaires envoyés… ? – recueillis sur son blog ; j’en ai lu quelques-uns, le temps de lui tailler son costard.