Les policiers subissaient jeudi les assauts des Algériens dans les rues de Paris ; les Lyonnais voyaient des dizaines de voitures être incendiées par les racailles, comme de nombreux conteneurs à poubelles à Toulouse pendant que les abribus étaient cassés et les pompiers caillassés à Roubaix. Le ministre de l’Intérieur du gouvernement d’occupation Bernard Cazeneuve n’était alors pas en mesure de se préoccuper de la sécurité des Français. C’est avec ses maîtres juifs qu’il passait la soirée, lors du dîner annuel du CRIJF Marseille.
Il y a deux ans, c’est Manuel Valls qui était l’invité « d’honneur » du dîner du CRIJF (Conseil représentatif des institutions juives) de Marseille.
« En attaquant les juifs, on attaque la République »
« L’antisémitisme doit être, comme le racisme, une cause nationale »
Michèle Teboul, avait donné le ton de la soirée. Elle n’a pas été déçue par le discours de Bernard Cazeneuve qui a multiplié les paroles de soumission. Dans un long discours, le ministre de l’Intérieur a vanté l’invasion, le multiculturalisme, la diversité, et surtout la supériorité des Juifs, plus Français que les Français, plus-que-Français, même puisqu’ils « vivaient sur cette terre avant même que la France ne soit pleinement la France».
« C’est à Marseille […] depuis l’observatoire privilégié que constitue ce vieux port Grec [sic], juché sur la méditerranée [sic], qu’il me semble percevoir le mieux le sens profond du mot “République”. Ville-monde, sans cesse enrichie par l’arrivée de nouvelles populations aux origines diverses, mais foncièrement désireuses de vivre ensemble, Marseille est depuis longtemps le creuset symbolique de notre Nation. A [sic] Marseille comme en Provence, la communauté juive occupe pourtant une place singulière. […] Vous, représentants des juifs de Provence, vous savez ce que l’histoire longue de notre pays doit à votre communauté, implantée dans la région depuis au moins le XIIIème siècle. »
a déclamé Bernard Cazeneuve.
S’il a affirmé qu’il avait « la responsabilité d’assurer la sécurité de tous les Français », il a immédiatement précisé que la sécurité des millions de Blancs ne l’intéressait guère. Autant les viols, les meurtres, les agressions quotidiennes contre les Européens lui indiffèrent, autant les quelques dizaines de prétendues attaques « antisémites » annuelles sont importantes à ses yeux.
« Le Gouvernement a donc pris et prendra toutes les mesures, en concertation avec les responsables de votre communauté, tant pour protéger les lieux de culte et les écoles que pour lutter contre l’insupportable antisémitisme du quotidien. J’ai personnellement signé une circulaire enjoignant à tous les préfets d’assurer la surveillance statique de chaque école et de chaque synagogue de France pendant les fêtes, y compris bien entendu ici, à Marseille. Mais je tiens à vous assurer plus largement de notre fermeté absolue dans le combat que nous livrerons contre ces menaces. Aucun acte antisémite, les petites phrases mortifères pas plus que les grands gestes assassins, ne doit rester impuni. Leurs auteurs doivent savoir qu’ils seront inlassablement traqués, retrouvés et punis »
Pour protéger « l’avant-garde de la République », Bernard Cazeneuve suit le même chemin que ses prédécesseurs : la répression. «Le gouvernement entend renforcer l’arsenal juridique » « nous devons aussi renforcer nos moyens d’enquête et de répression » « au-delà du renforcement indispensable de notre arsenal répressif », «le projet de loi de lutte contre le terrorisme que je présenterai très bientôt ».
Florilège :
« Le devoir de mémoire nous enseigne la vigilance ».
« Un homme qui tue un autre homme en raison de son identité n’est pas un combattant. Il n’est pas seulement l’ennemi de la communauté qu’il poursuit de sa haine ; il est un ennemi de la Nation [sic] et du genre humain ».
« J’ai déjà pu mesurer, dans le cadre du dialogue qu’entretiennent les cultes avec le ministère de l’Intérieur, l’esprit de responsabilité et le souci constant de l’intérêt général qui inspirent les représentants de la communauté juive de France ».
L’existence même du CRIJF est un scandale, leur dîners spectacles,- à combien 700 euro la place? quand on se fait engraisser par le contribuable, on a les moyens-, où tous les politiciens traîtres viennent bouffer du français, comment le supporter? » L’antisémétisme doit être, comme le racisme, une cause nationale » a dit l’ennemi de la nation Valls. Le Nationaliste ne dira pas mieux, mais en choc frontal: « L’ANTISEMITISME ET LE RACISME SONT LA CAUSE NATIONALE A DEFENDRE ».