Le musicien nationaliste Varg Vikernes a été condamné ce mardi à six mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Paris. Les magistrats de la justice d’occupation ont assorti cette peine d’une lourde amende, 8 000 euros.
Les juges de l’anti-France lui ont reproché d’avoir, sur son site, publié des textes s’élevant contre l’invasion et l’occupation de notre terre et de l’Europe, notamment concernant les extrémistes judaïques et islamistes qui veulent y imposer plus encore leur loi.
Les juges, qui habituellement, contre les trafiquants de drogues ou les violeurs étrangers, imposent des peines plus faibles que les réquisitions du parquet ont cette fois comblé les vœux du ministère public.
Le procureur avait réclamé, pour de prétendues provocations à la discrimination – les faits de prétendues apologies de crime de guerre étant prescrits -, de quatre à six mois de prison avec sursis et au moins 5 000 euros d’amende.
Ce jugement est d’autant plus scandaleux que, lors de sa garde à vue, des policiers incompétents avaient amené pour traduire les propos de ce Norvégien un interprète danois. Cette garde à vue faisait suite à une violente attaque de la police républicaine contre un paisible foyer européen au cœur de l’Auvergne : de lourds moyens avaient été déployés contre le « terroriste » Varg Vikernes, contre lequel les autorités avaient inventé d’invraisemblables mensonges de projet terroriste, dont il n’est désormais absolument plus question. Il lui avait même été reproché d’avoir soutenu le tueur Anders Breivik, dont il avait au contraire dénoncé les dérives, sionistes notamment.
Il a tué un homme qui l’agressait, et n’a jamais brûlé d’église. Les fusils ne lui appartiennent pas, ils sont à sa femme.