Contre l’offensive sans précédent du gouvernement de gauche en faveur des délinquants étrangers présents illégalement sur le sol américain, la population blanche commence à se mobiliser. Une petite ville de Californie, Murrieta, est devenue le symbole des protestations contre l’invasion des États-Unis. Depuis une semaine, des manifestations y sont organisées par les habitants, auxquels se joignent d’autres Américains de la région. À l’origine, avec l’appui des autorités locales, les manifestants ont empêché l’entrée d’un convoi de 140 colons dans un centre d’accueil de la police. Le gouvernement fédéral avait envoyé le convoi depuis San Diego, après avoir obtenu autorisé les étrangers à séjourner aux États-Unis, avec un large accès aux avantages sociaux par le simple fait d’avoir mis un pied dans le pays. Le projet du gouvernement est de disperser les étrangers dans les petites communautés locales ; il espérait ainsi éviter de grandes manifestations.
La tentative a échoué provisoirement, ajoutant un nouveau point de tension à une situation déjà délicate pour Barack Obama, le président le plus incompétent de l’histoire récente américaine, incapable de faire face aux problèmes essentiels du pays.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=_LEecFNyUAg[/youtube]« On veut une barrière, pas une réforme »
« Où est l’argent pour nos vétérans? »
« Retour à l’envoyeur ».
peut-on lire sur les pancartes.
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=B3ReRHdb1M4[/youtube]Greg Allison, chômeur américain, dénonce « le gouvernement fédéral » qui « balance les immigrants illégaux ici ». « Pourquoi pendant qu’on y est ne pas accueillir aussi tous les enfants opprimés du Soudan, d’Ukraine ou de Chine ? Si nous ne les arrêtons pas, nous allons devenir un pays du tiers monde ».
Si la grande majorité des manifestants sont Blancs, certains Africains se mobilisent, donnant lieu à des échanges surprenants :
[youtube]https://www.youtube.com/watch?v=q_oyP0eDKZ0[/youtube]Face aux manifestants anti-immigration, les Latinos se mobilisent aussi, avec le soutien actif des médiats du système et de quelques extrémistes de gauche blancs. Plus que jamais, les sociétés multiraciales, en plus d’être des sociétés multiracistes, sont des sociétés instables.