Sommaire
Évincé du gouvernement, Vincent Peillon boudera l’université d’été du PS
Des fanatiques juifs veulent faire « débaptiser » un lieu-dit dans le Loiret
L’islamisme ou le nationalisme
Les criminels protégés, le « bon père de famille » exclu : la justice française à l’envers
La justice donne raison aux islamistes contre la mairie de Wissous
Invasion 2014 : près de 700 migrants « secourus » par l’Espagne
Le pédocriminel Polanski ne viendra pas à Locarno
Premier mort en Europe du virus Ébola
Progression des islamistes vers l’Irak
FRANCE
Évincé du gouvernement, Vincent Peillon boudera l’université d’été du PS
L’ancien ministre de l’Éducation de François Hollande qui a, comme la plupart de ses collègues, laissé un très mauvais souvenir aux Français par ses réformes extrémistes imposées contre la volonté du peuple, en veut toujours à son parti d’avoir perdu son poste lors du dernier remaniement. Même s’il bénéficie depuis d’une confortable place de député européen, il a décidé de boycotter l’université d’été du PS à La Rochelle. L’homme « se concentre sur l’écriture, sa passion » précise la presse. Il rédigerait même actuellement deux ouvrages. Le petit-fils de rabbin s’est-il lancé dans la suite de Survivre avec les loups ?
Des fanatiques juifs veulent faire « débaptiser » un lieu-dit dans le Loiret
Le centre Simon Wiesenthal, une organisation fondée par le criminel juif du même nom qui a traqué durant plusieurs décennies des Européens avec l’appui de nombreux gouvernements d’occupation, a intimé l’ordre à Bernard Cazeneuve de… « débaptiser » le lieu-dit « La-mort-aux-Juifs » d’un petit village du Loiret, Courtemaux.
Ce n’est pas la première fois que les occupants tentent de faire débaptiser ce lieu : en 1992 le MRAP avait déjà tenté de faire pression sur les élus. Après avoir falsifié l’histoire de France, des juifs fanatiques s’attellent donc maintenant à falsifier sa géographie.
« Ce n’est pas la première fois que j’entends parler d’une telle démarche. Un conseil municipal précédent, il y a au moins vingt ans, avait déjà refusé de débaptiser ce lieu-dit, qui est constitué d’une ferme et de deux maisons. C’est ridicule, ce nom a toujours existé. Personne n’en veut aux Juifs, bien sûr. Cela ne m’étonne pas que cela revienne encore une fois sur le tapis. Pourquoi changer un nom qui remonte au Moyen Âge, ou à plus loin encore ? Il faut respecter ces vieux noms ».
a courageusement déclaré une adjointe au maire du village, Marie-Élizabeth Secretand.
L’islamisme ou le nationalisme
C’est le choix auquel sera confrontée la France selon Pierre Reynayd, auteur d’un livre (à compte d’auteur), La Révolution 2014.
« En dehors même de la crise économique qui affaiblit terriblement la Nation, la crise politique frappe aussi de plein fouet le pays. D’un côté, à gauche et actuellement au pouvoir, le Parti socialiste fait preuve d’impuissance et d’incompétence établies. De l’autre, à droite, l’UMP vient de montrer une image désastreuse de la politique, avec ses corruptions, ses détournements de fonds, ses compromissions, ses magouilles et autres arnaques en tous genres »
écrit-il dans un article qu’il conclut par la prédiction suivante, si la République corrompue s’effondre enfin :
« La France peu basculer à tout moment, François Hollande n’ayant pas la capacité de maîtriser la situation. À force de commettre erreur sur erreur, le président compromet l’avenir de la nation aujourd’hui au bord du gouffre. La ruine du pays est amorcée par des réformes très souvent inutiles et surtout stupides. […] Sachons que si la République s’effondre, le pays tombera alors entre les mains de l’extrême droite ou des islamistes radicaux »
Puisse-t-il être entendu et puissent les nationalistes être prêts !
Les criminels protégés, le « bon père de famille » exclu : la justice française à l’envers
Acte symbolique de la politique antifrançaise menée par le gouvernement : quelques jours après la validation de la réforme pénale en faveur des criminels et au détriment des honnêtes citoyens, la loi « pour l’égalité entre les hommes et les femmes » (sic) est entrée en vigueur. L’une de ses conséquences est la suppression de l’expression juridique « en bon père de famille » du Code civil.
Police de la pensée : le maire de Cholet condamné à 3 000 euros d’amende pour sa blague exterminationiste sur les Gitans
Poussé par Me Ivan Jurasinovic, avocat de la Ligue des droits de l’homme (LDH), l’avocat général Olivier Tcherkassof avait évoqué lors du procès un « dérapage verbal intolérable » (sic). Il avait requis en avril dernier la condamnation du député-maire de Cholet qui avait déclaré en plaisantant « Hitler n’en avait peut-être pas tué assez » (sic). Il visait alors un groupe de Gitans causant de nombreux problèmes et qui avaient alors envahi illégalement un terrain avec la complicité des services de la République.
Il a écopé de 3 000 euros d’amende, comme en première instance, mais cette fois sans sursis, pour apologie de crime contre l’Humanité (re-sic). Grâce à ses propos, Gilles Bourdouleix a été largement réélu maire de Cholet en mars dernier, avec 55,5 % des voix, contre 51 % en 2008.
La justice donne raison aux islamistes contre la mairie de Wissous
Le tribunal administratif de Versailles a suspendu mardi un article du règlement de « Wissous-Plage » qui interdisait l’accès à l’événement aux personnes arborant « de manière ostentatoire des signes religieux susceptibles d’occasionner un trouble à l’ordre public (niqab ou burqa, croix ou étoile de dimensions manifestement excessives) ». Plusieurs groupes islamistes avaient dénoncé cette décision et attaqué la mairie. Plusieurs islamistes avaient tenté de pénétrer malgré tout sur la plage ces derniers jours.
La municipalité, dirigée par l’UMP Richard Trinquier, a été condamnée à payer 1 500 à deux de ces islamistes venues voilées par provocation le 9 août. Le tribunal avait, il y a un mois, annulé un précédent article du même type, pris après de nombreux incidents mettant en cause des représentants des populations inassimilables.
La décision scandaleuse de la justice devrait avoir pour conséquence l’annulation totale de l’événement l’année prochaine.
Occupation & faits divers
-Une touriste belge de 17 ans, qui était couchée sur une plage de Bastia (Corse) samedi, a été blessée par une « balle perdue ». Son état a nécessité une hospitalisation.
-La jeune Julia, dont les parents étaient sans nouvelles depuis vendredi, a été retrouvée à Nice. Selon des informations qui restent à confirmer, la jeune fille, âgée de 14 ans, aurait été séquestrée et serait parvenue à se libérer, mais ses déclarations sont « confuses » selon une source proche de l’enquête.
-Les policiers sont parvenus à identifier un corps démembré qui avait été retrouvé en partie dans une valise à Tarnos (au nord de Bayonne) le mois dernier. Il s’agit d’un trafiquant de drogues de Gijon en Espagne.
-Trois racailles de Vitrolles, près de Marseille, ont été arrêtées pour s’être fait passer pour une patrouille de la brigade anticriminalité (BAC) et avoir arrêté au moins une jeune fille. Cette dernière, qui conduisait une voiture, a été menacée d’une arme, alors que les racailles avaient présenté une fausse carte de police et circulaient à bord d’une voiture équipée d’un gyrophare.
-Une criminelle algérienne de 28 ans, enceinte de 6 mois, a attaqué, sur le quai de la station Bobigny-Pablo Picasso de la ligne 5, une passagère qui attendait une rame. Après lui avoir tapoté sur l’épaule, elle lui a porté un coup de lame de rasoir au niveau de la gorge. Elle a ensuite porté des coups à trois autres femmes venues aider la première. Comme à l’accoutumée, la justice a immédiatement décrété que la criminelle souffrait de « problèmes psychologiques », une décision qui lui a permis d’écourter sa garde à vue et qui devrait lui permettre d’échapper à tout procès et de poursuivre ses agressions rapidement sur notre territoire avec la bénédiction de la République.
À lire
-« Droit de vote des détenus : la CEDH condamne Londres ». La Cour européenne des droits de l’homme a condamné le Royaume-Uni, parce que la législation du pays implique que toute personne détenue soit déchue de son droit de vote. (Le Monde)
-« Syrie: un djihadiste photographie son fils portant la tête décapitée d’un soldat ». (L’Express)
EUROPE
Invasion 2014 : près de 700 migrants « secourus » par l’Espagne
La journée de mardi a été marquée par un nouvel afflux d’Afro-Maghrébins contre l’Europe. L’Espagne a annoncé avoir récupéré 470 colons qui arrivaient à bord d’une dizaine d’embarcations par le détroit de Gibraltar. La veille, ce sont 227 étrangers qui avaient été « secourus » et apportés en terre d’Europe par ceux-là mêmes qui sont censés en défendre les frontières.
Pour les 6 premiers mois de l’année, il y a eu 60 % d’envahisseurs de plus que pour toute l’année 2013 selon l’ONU.
Les envahisseurs ont provoqué de nombreux incidents ces derniers jours en Espagne. Environ 700 Africains ont attaqué le poste-frontière à Melilla et une trentaine d’entre eux sont parvenus jusqu’à la ville de l’enclave espagnole en Afrique du Nord, une attaque suivie par une autre menée par 200 assaillants puis une troisième avec 50 autres un peu plus tard.
Demain, il sera trop tard.
Le pédocriminel Polanski ne viendra pas à Locarno
« Après avoir constaté que ma présence au Festival de Locarno aurait pu provoquer des tensions et des controverses [sic] de la part de personnes qui s’y opposent, mais dont je respecte les opinions, je regrette de vous annoncer que j’ai renoncé à contrecoeur d’y participer »
a déclaré le pédocriminel juif Roman Polanski.
Le violeur d’enfant a fui durant plusieurs décennies la justice de son pays, avec la complicité de plusieurs gouvernements européens et de nombreuses personnes, notamment issues de son groupe politico-religieux. L’annonce de la venue du criminel au Festival de Locarno avait provoqué ces dernières semaines d’intenses polémiques, relayées notamment sur les réseaux sociaux. La mobilisation populaire a payé.
ÉTRANGER
Premier mort en Europe du virus Ébola
Rapatrié en Espagne il y a cinq jours, le prêtre espagnol Miguel Pajares n’a pas survécu au virus Ébola. Il est mort hier à l’hôpital qui l’avait accueilli à son retour du Libéria.
La Guinée-Bissau a annoncé la fermeture de ses frontières avec la Guinée, l’un des quatre pays touchés par l’épidémie et où 506 personnes ont été infectées ; 373 en sont mortes. C’est dans ce pays qu’a commencé l’épidémie en décembre 2013.
Selon le dernier bilan de l’OMS, l’épidémie a touché 1 848 personnes, dont 1 013 en sont décédées. L’organisation mondialiste a autorisé hier l’utilisation de traitements expérimentaux dont les effets sur la maladie ne sont pas prouvés et dont les effets secondaires ne sont pas connus.
Interrogé sur la radio publique belge, un spécialiste belge a reconnu qu’en Belgique, aucun patient ne pourrait être traité mais simplement accueilli ; à l’échelle européenne, selon lui, seul quelques cas pourraient l’être : « ce sont des équipements limités […] s’il y a plus de cas, là se posera un problème ».
Progression des islamistes vers l’Irak
Malgré les menaces de l’ancien premier ministre Nouri al-Maliki, la transition vers le nouveau gouvernement devrait s’effectuer dans le calme. Nouri al-Maliki a lui-même demandé à l’armée de ne pas s’en mêler – ce qu’elle ne semblait pas vouloir faire de toute façon – et de « rester à l’écart de la crise politique et de poursuivre leurs tâches sécuritaire et militaire pour défendre le pays ». Après les États-Unis, la nomination de son successeur Haïdar al-Abadi a été saluée par l’Iran.
Alors que les États-Unis ont annoncé qu’ils limitaient leur action militaire à la région du Kurdistan (nord), les combattants de l’État islamique (ÉI) continuent leur progression vers Bagdad (est). L’ÉI a pris le contrôle de Djalaoula (115 kilomètres au nord-est de Bagdad), près de la frontière avec l’Iran, à la limite de la zone kurde. Les islamistes continuent ainsi leur encerclement de la capitale.
En France, pendant la vacance du pouvoir, le Nouveau parti anticapitaliste (NPA) a estimé que ce nouveau désastre humanitaire devait être l’occasion d’une nouvelle invasion et que l’Union européenne et la France devaient « ouvrir leur frontière » aux deux millions de réfugiés.
À l’extrême droite, le parti de Marine Le Pen a au contraire plaidé pour une intervention armée de la France aux côtés des États-Unis contre l’État islamique (ÉI).
« Certes laïque, la France n’en est pas moins historiquement une nation catholique, fille aînée de l’Église. Elle a, depuis les Croisades et la libération du tombeau du Christ, un devoir particulier envers ses frères chrétiens d’Orient. […] Il en va de notre honneur de se poser en protecteur de ces femmes chrétiennes aujourd’hui réduites en esclavage et vendues dans les souks des villes contrôlées par l’État islamique… »
avait déclaré en fin de semaine dernière un député européen du Front national (FN) semblant à l’inverse mépriser les chiites autant que la minorité yézidi.
© Jeune nation – 2014