L’arsenal répressif antiraciste et antirévisionniste renforcé en Grèce
Le martyr du peuple grec pour la jouissance de quelques rentiers multicartes
Les socialistes grecs ont truqué les comptes nationaux avec la complicité technique de Goldman Sachs – actuel plus gros tentacule visible de la pieuvre financière au blason rouge – et conjointement endetté la Grèce à des taux usuraires. Cela ne pouvait que conduire le pays à la situation dramatique qu’il connaît actuellement. Les députés grecs pourraient s’occuper utilement, en faisant payer, par exemple, à hauteur de leurs responsabilités respectives, tous les “socialistes” et affairistes qui ont provoqué la situation présente, au besoin en confisquant tous leurs biens pour les mettre immédiatement à la disposition des Grecs nécessiteux ruinés par la faute de cette pseudo-élite.
Mais, après qu’on a emprisonné illégalement les principaux dirigeants de l’Aube dorée dont le jugement est repoussé en décembre puisqu’il n’y a rien à leur reprocher, le Parlement grec vient de renforcer les textes « antiracistes », c’est-à-dire racistes antiblancs et antigrecs, comme l’exigeait notamment le pouvoir juif. Il n’y a pourtant, officiellement, que 5 000 Juifs vivant en Grèce sur plus de 11 millions d’habitants (un rapport de seulement 4,5 pour dix mille).
Phobies payantes
Cette loi illégitime mélange tout ce qu’elle a pu trouver dans les poubelles de l’humanisme le plus sirupeux, prévoyant trois ans de prison – si on y mange mieux que dans les familles grecques appauvries, pourquoi pas… – et jusqu’à cent mille euros d’amende pour tout propos dérangeant aussi vrai pourrait-il être, d’ailleurs. Mais qui pourrait payer de telles amendes, à part les kleptocrates ?
Tout sera donc prétexte désormais, en Grèce sous occupation financière, à porter plante pour « incitation à la discrimination, à la haine ou à la violence » sur des questions de race, de religion, de handicap ou d’orientation sexuelle [sic]. Idem pour « la négation ou l’apologie de l’Holocauste, des génocides ou des crimes contre l’humanité ». Même l’escroc auquel les médiats financiers complices ont fait une publicité gratuite coupable en lui tendant le micro du temps où ses magouilles étaient autorisées – alias Bernard Madoff, « Bernie » pour les médiats – n’a jamais prétendu avoir trouvé un placement plus rentable ! Il s’agit de faire taire les Grecs dénonçant de plus en plus ouvertement maintenant l’invasion et l’oligarchie, et frapper les mouvements de résistance.
Désarmer les cerveaux pour asservir les êtres trahis par le Parlement.
Selon les médiats, qui ne le cachent même plus, « il aura fallu plus d’un an de débats pour réformer l’ancienne législation de 1979, et des appels de la Commission européenne et du Congrès juif mondial ». C’est le Congrès juif mondial qui avait exigé des marionnettes à la tête de l’État français la dissolution des Jeunesses nationalistes et de l’Œuvre française, qui a exigé la destruction de l’Aube dorée en Grèce ou du Jobbik en Hongrie.
Alors que la Grèce s’est trouvée surendettée auprès des usuriers new-yorkais pour intégrer l’euro, ses députés continuent de prendre leurs ordres à Bruxelles et à la succursale américaine de Tel-Aviv !
Et alors même que la moitié de Chypre est sous occupation militaire turque et que la Grèce a toujours été un rempart européen contre l’invasion venue d’Asie, les chants « anti-turcs » et « anti-albanais » ont motivé l’extension de cette loi… aux militaires !
Comme bien des lois subversives inspirées depuis les loges étrangères (lois anti-familles en France, par exemple), celle-ci a été votée par une minorité, à savoir cinquante-cinq députés sur quatre-vingt-dix-neuf présents, sur un total de trois cents élus, la plupart refusant lâchement de prendre part au vote de ces lois dictatoriales et liberticides.
« Nous espérons vraiment que cette loi limitera les déclarations racistes et antisémites et qu’elle dissuadera les négationnistes, qui se sont multipliés ces deux dernières années, même à l’intérieur du parlement »
a déclaré Victor Eliezer, du Conseil central des communautés juives de Grèce, l’équivalent grec de l’anti-français CRIJF, pour 5000 personnes dans un pays…
Le bon sens populaire grec est refusé par la secte.
« Qu’est-ce que la xénophobie ? Les grilles de ma maison qui empêchent un Pakistanais, ou tout autre étranger, de violer ma femme et de me tuer ? »
a déclaré un député de l’Aube dorée.
« Mais les Juifs du pays, ses dirigeants juifs et les autres qui soutiennent la loi voient les choses différemment. “Nous espérons [que la loi] sera appliquée avec rigueur par les cours de justice. […] Cependant, on doit faire plus d’efforts si on veut que la lutte contre les forces extrémistes comme l’Aube dorée soit un succès” »
rapporte le Times of Israël « en français », citant Robert Singer, le président du Congrès juif mondial, sans préciser pas quel moyen encore plus vicieux est envisagé pour imposer la terreur aux Grecs afin qu’ils se laissent encore plus asservir et dissoudre.