« A l’injustice sociale Marx n’oppose qu’une utopie, l’idée d’une classe unique qui accomplirait une Révolution universelle. Que deviennent, dans sa doctrine, les peuples liés à leur sol, à leur patrie et à leurs traditions ? Où sont les prolétariats nationaux ? Le Manifeste communiste est plus abstrait encore que le Contrat social. C’est l’Unstaat, le monstre socialiste, la foule indistincte et amorphe ! Cette Internationale, la guerre l’a heureusement détruite.
Le marxisme est affligé d’une autre tare. C’est une doctrine purement terrestre, eudémoniste et matérialiste. Comme pour la bourgeoisie capitaliste, les grands principes voilent ici bien mal un utilitarisme irréductible. L’homme, dit Marx, doit s’assurer les conditions concrètes qui lui permettent de réaliser les fins à sa portée, les seules qu’il doive se proposer. Marx enferme donc l’humanité dans un programme de progrès social strictement limité. Il lui interdit la création de l’imprévisible, surtout le regard qui va au delà de la vie terrestre. Le voici bien, l’intellectualisme juif, étranger aux réalités européennes et aux aspirations chrétiennes ! C’est le Judas qui trahit éternellement Jésus. Le socialisme n’est que l’atroce contre-partie de l’industrialisme outrancier. Il entretient la lutte perpétuelle des classes. Il en vit »
Le marxisme est affligé d’une autre tare. C’est une doctrine purement terrestre, eudémoniste et matérialiste. Comme pour la bourgeoisie capitaliste, les grands principes voilent ici bien mal un utilitarisme irréductible. L’homme, dit Marx, doit s’assurer les conditions concrètes qui lui permettent de réaliser les fins à sa portée, les seules qu’il doive se proposer. Marx enferme donc l’humanité dans un programme de progrès social strictement limité. Il lui interdit la création de l’imprévisible, surtout le regard qui va au delà de la vie terrestre. Le voici bien, l’intellectualisme juif, étranger aux réalités européennes et aux aspirations chrétiennes ! C’est le Judas qui trahit éternellement Jésus. Le socialisme n’est que l’atroce contre-partie de l’industrialisme outrancier. Il entretient la lutte perpétuelle des classes. Il en vit »