À l’image de toutes les sociétés en crise, les biens immobiliers et la terre de France sont livrés à l’étranger par les autorités complices. Le peuple de France est dépossédé de ses usines, de ses vignobles, de ses palaces : aux mafias étrangères et aux oligarques de divers États impérialistes s’ajoutent ces dernières années le Qatar et ses dirigeants qui « investissent » des dizaines de milliards d’euros.
Les Qataris ont plus de droits que les Français en France
Ce mouvement a été très largement favorisé sous la présidence de l’occupant Nicolas Sárközy. Pour ce faire, il a accordé des avantages fiscaux exorbitants aux Qataris pour qu’ils puissent placer une partie de leurs fortunes – amassées par l’esclavage dans l’extraction du gaz naturel – dans des propriétés immobilières situées en France. Ainsi achètent-ils les palaces parisiens et les plus beaux immeubles disponibles à la vente, repoussant, en bout de chaîne, l’ouvrier et l’employé de bureau parisien toujours plus loin en grande banlieue pour des loyers surévalués du fait de cette spéculation immobilière effrénée. Un phénomène similaire se produit sur la Côte d’Azur.
Dans cette société libérale libertaire, seuls les oisifs des spectacles télévisuel et politique – subventionnés qu’ils sont par leur Système – et quelques affairistes boursicoteurs qui obéissent aux « lois » des marchés financiers peuvent encore vivre décemment près de leur lieu de travail.
L’Église et les États insoumis, boucs émissaires face au Qatar
Cette situation du logement en France est officiellement « dénoncée » par les partis de gauche prétendument dans « l’opposition »… qui pourtant laissent faire les accapareurs, une fois revenus au pouvoir. En effet, ils pourraient aujourd’hui légiférer contre ces dérives de vassalisation financière des Français vis-à-vis d’un État du Qatar qui arme et finance des mouvements politicomilitaires islamistes parmi les plus criminels dans le monde. Au lieu de ça, le socialiste Laurent Fabius a, lui aussi, apporté son soutien aux égorgeurs qui assaillent l’État légal en Syrie, sans que la gauche ne s’émeuve de cette guerre contre un peuple simplement parce que son système d’organisation politique déplaît à l’entité sioniste qui occupe la Palestine et le plateau du Golan voisins au mépris du droit international.
Mais, dans sa capacité à s’émouvoir sur commande et à sens unique, la gauche recèle bien des ressources gluantes. Ainsi, si les loyers des habitations sont trop élevés en France, ça serait quasiment « la faute de l’Église », dont la marxiste Cécile Duflot souhaitait réquisitionner les locaux afin d’y loger toute l’invasion du tiers-monde, dans un de ces élans républicains qui confisquent, puis laissent à l’abandon et enfin détruisent ou bien vendent aux étrangers ce que les Français ont bâti et financé.
Les nationalistes, seuls opposants véritables au Système kleptocratique
Finalement, c’est parce qu’une librairie parisienne – la plus ancienne paraît-il – « classée plutôt à gauche », donc politiquement parfaitement conforme, se trouve harcelée par ses nouveaux propriétaires avides, qu’on s’émeut aujourd’hui. Et encore, c’est le « symbole » qui est vaguement défendu contre une demande de révision à la hausse du loyer qui mènerait probablement cette boutique à cesser son activité.
Alors oui, il faut se défendre contre ce système de « globalisation financière » qui cherche à nous asservir et à tout nous confisquer, mais au-delà de quelques symboles bien mous qui ne récoltent que le mauvais fruit qu’ils ont eux-mêmes laissé semer sans jamais s’y opposer frontalement, c’est toute l’organisation socio-économique au service du peuple français qui doit être entièrement repensée, à l’opposé de cette dérive eurolibérale qui a redonné le pouvoir à la même ploutocratie financière qu’avant-guerre ; celle-là même que seuls les nationalistes ont combattue au péril de leur vie le 6 février 1934, payant un lourd tribut sous les balles de leu République des « droits de l’homme » fondamentalement corrompue par la grosse bourgeoisie usurière.