Un criminel du Burundi a attaqué des policiers dans un commissariat de Joué-lès-Tours (Touraine) hier après-midi. L’étranger, un multirécidiviste qui avait été laissé libre par les autorités de leur République. Il a bénéficié particulièrement des lois laxistes mises en place par Nicolas Sárközy (abolition de la double peine), dont les effets catastrophiques ont été accentués par les mesures imposées par Christiane Taubira.
Après s’être introduit, très énervé, dans le commissariat, l’étranger, en criant « Allah Akbar », a porté deux coups au visage de l’un des trois policiers qui venaient tenter de le raisonner. Il a frappé ensuite les deux autres policiers, avant d’être abattu par un adjoint de sécurité présent qui a ouvert le feu à deux reprises sur le terroriste islamiste.
L’attaque a été menée conformément aux ordres relayés par l’État islamique (ÉI), sollicitant notamment contre la France des actions isolées de type « loup solitaire ». La veille, l’ÉI avait diffusé une vidéo incitant les islamistes en France à attaquer les intérêts français, à attaquer les Français en France, à « faire exploser la France ».
La famille du terroriste était connue et suivie par les services de sécurité. Son frère avait été repéré pour avoir voulu rejoindre le rang des égorgeurs en Syrie. Bien que réputés dangereux, et malgré les condamnations pénales de certains, ces étrangers étaient laissés libres d’agir par leur République et notamment par les forces de l’ordre complices. Certains de ses membres ont payé hier le prix de la lâcheté et du choix du service d’un système qui préfère traquer les Français sur les routes plutôt que d’enfermer les criminels et d’expulser les indésirables.
Le tueur africain – dont les médiats, qui n’hésitent souvent pas à dévoiler la vie de Français innocents, ont caché le nom – avait vingt ans. Il était libre d’aller et venir à Joué-les-Tours, où il occupait plusieurs domiciles.
Bien tardivement, la justice a ouvert une enquête pour association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste après cette triple tentative d’assassinat.
Va falloir faire un sacré message au deux sens du terme !