La mairie de Besançon incendié au cocktail molotov par deux criminels « migrants »

Depuis longtemps la situation s’aggrave en France, mais ces dernières semaines ont été l’occasion d’une multiplication des attaques de l’occupant. Les faits qui se sont produits ce jeudi à Besançon sont d’une terrible et extrême gravité. Un prétendu « réfugié politique » a volontairement incendié la mairie de la ville en lançant deux cocktails molotov à l’intérieur.

La cible choisie par ce « migrant » – du même type que ces envahisseurs auxquels Bernard Cazeneuve serrait la main il y a peu – est particulièrement symbolique. Non seulement elle abrite les services de l’État, ceux qui organisent et favorisent l’invasion, mais surtout, les locaux, ceux de la mairie et de l’office de tourisme, sont installés dans un bâtiment historique datant du XIVe siècle.

Les flammes ont ravagé les lieux emblématiques de l’histoire de la ville avant que les nombreux pompiers mobilisés ne puissent circonscrire les flammes. L’attaque a fait deux blessés, deux personnes intoxiquées par l’inhalation de fumées. Le premier est un commerçant qui est intervenu courageusement pour éteindre l’incendie, le second un passant.

Malgré la violence de l’attaque, d’un bâtiment municipal classé au patrimoine historique depuis plus d’un siècle, ni François Hollande, ni Manuel Valls ne sont intervenus à cette heure pour condamner cette nouvelle attaque due à l’invasion contre l’âme de la France.

Le criminel présumé a été arrêté. Il est présenté par un responsable de la « sécurité publique » (sic) comme « connu pour être revendicatif ». Malgré son comportement habituellement insultant et agressif contre les fonctionnaires, cette racaille n’a jamais été expulsée, avec ses semblables, par un régime totalement coupable de la situation.

« Nous avons des certitudes grâce à la vidéosurveillance mais aussi grâce à d’autres éléments donnant des éléments concrets quant à sa participation à cet incendie. Il est actuellement entendu au commissariat. En revanche, nous n’avons pour l’heure aucun autre élément sur le nombre exact de protagonistes dans cette affaire. L’enquête suit son cours »

a précisé un responsable. Certains élus locaux, individus pro-invasion et antifrançais, ont osé se plaindre après cette attaque.