Lettre ouverte d’Yvan Benedetti à Manuel Valls
Monsieur le Premier Ministre,
Ces journées doivent être pour vous bien lourdes du deuil des victimes que l’incurie de vos politiques a provoquées à Nice.
On ne s’acharne pas à importer toutes les populations du monde en France sans que celles-ci y apportent leurs racines, leurs croyances, parfois même leur fanatisme.
On ne provoque pas l’humiliation et la colère des uns parce qu’on se sent « éternellement lié, quand-même », à d’autres, sans que cela ait des conséquences.
Qui sème la haine récolte le terrorisme !
Mais les victimes sont encore les Français, ces sans grades que nous, Nationalistes, nous persistons à aimer, à défendre.
Aussi, par charité, nous avons choisi de vous envoyer une note d’optimisme, éclairée de ce beau soleil de France auquel vous semblez si peu sensible.
Quand d’autres fomentaient leurs attaques meurtrières, vous avez fait réprimer nos manifestations, persécuter nos militants…
Vous aviez jugé plus urgent de faire interdire par votre préfet des Hautes-Alpes notre camp d’été, prévu dans ces montagnes…
Mais la France est nôtre, de l’océan aux Pyrénées et du nord à la méditerranée.
Aussi, de cette terre de France avec laquelle nous entretenons, privilège de nos racines, un lien charnel depuis des générations, nous envoyons ce message d’espoir.
Après les orages que vous avez déclenchés, le beau temps que nous portons finira par s’imposer.
Puisse-t’il éclairer votre conscience.
Veuillez croire, Monsieur le Premier Ministre, à l’expression des sentiments que cette photographie ne manquera pas de réveiller en vous.
Yvan Benedetti
Directeur de Jeune Nation
Moi, je me méfierais…
Je ne présenterais pas mon dos à un initié du G∴O∴D∴F∴ …