Du FLN au FN
Ces dernières années, le corrompu Roland Dumas, issu de la pire extrême gauche maçonnique, pro-FLN et pro-communiste, avait disparu des médiats après ses ennuis judiciaires et sa condamnation pour corruption dans l’une d’entre elles – il fut miraculeusement blanchi dans les autres –, celle de la succession de l’artiste dégénéré Albertio Giacometti. Malgré son passé dans les rangs des pires ennemis de la France, malgré sa condamnation pour corruption, il avait été accueilli par le Front national à la fin des années 2000 et au début des années 2010, dans le sillage de l’entrisme de personnalités pro-métissages, postmarxistes, républicaines et « réconciliatrirces ».
Ainsi en 2006, il posait avec Bruno Gollnisch et Jany Le Pen aux côtés d’Alain Soral et de Dieudonné. Des liens s’étaient rapidement tissés avec une certaine extrême droite et il avait fini par être cité régulièrement par des organes de propagande du Front national. Le site « nation presse info » reprenait régulièrement ses « analyses » entre deux articles d’autopromotion et quelques autres de désinformation.
Il avait fini par écrire une lettre de recommandation en faveur de Louis Aliot pour son entrée au barreau.
Roland Dumas est né en 1922 à Limoges, dans les terres rouges, ce qui détermina toute sa vie. Après la Libération de la France en 1940 et l’avènement du régime de Vichy, il rejoint les rangs des terroristes pour lesquels il aurait effectué quelques missions. En 1950, il devient avocat et se spécialise dans la défense des criminels antifrançais. Il obtiendra ainsi un non-lieu pour le criminel contre l’humanité stalinien Georges Guingouin, responsable de nombreux massacres lors de l’invasion de l’Europe à partir de 1944 justement dans le Limousin, où sévissait le propre père de Roland Dumas.
Il défend les membres du Parti communiste avant de se préoccuper du sort des terroristes islamistes du Front de libération nationale (FLN, Jabhat at-Tahrīr al-Waţanī) et de leurs financiers. Particulièrement, il fut l’avocat du criminel Henri Jeanson, qui a armé et financé le FLN pour égorger et massacrer indifféremment des Français, des harkis et mêmes des rebelles non-FLN, en Algérie comme en France.
Parallèlement, dans le sillage de François Mitterrand, il émarge au Parlement et le suit jusqu’au sommet du pouvoir quand, devenu président de la République, il le nomme ministre. Cet autoproclamé propalestinien fut aux Affaires étrangères l’homme de la « Françafrique », passant plus de temps à agiter ses réseaux francs-maçons pour piller l’Afrique avec les multinationales et les rois nègres qu’à doter la France d’une véritable diplomatie non alignée.
Leur République sauvée par la magouille et la corruption
Dans un entretien au Figaro, il a confirmé que son premier acte comme président du Conseil constitutionnel avait été un acte de corruption et de faux, validé par les membres de cet organisme symbole de leur République corrompue
« Je peux le dire aujourd’hui, les comptes de campagne d’Édouard Balladur et ceux de Jacques Chirac étaient manifestement irréguliers. C’était mon premier dossier, je venais d’entrer en fonction. […] Que faire ? C’était un grave cas de conscience [sic]. J’ai beaucoup réfléchi. Annuler l’élection de Chirac aurait eu des conséquences terribles. J’ai pensé à mon pays. Je suis un homme de devoir. Nous avons finalement décidé, par esprit républicain, de confirmer, à l’unanimité au deuxième tour, son élection présidentielle. Je suis convaincu que j’ai sauvé la République en 1995. »
Par cet acte de trahison et de corruption, le politicien franc-maçon affirme aujourd’hui être « convaincu d’avoir sauvé la République », en violant, existe-t-il un symbole plus éclairant ?, la loi et la morale. La pourriture est tellement congénitale à leur République, que c’est en violant la loi, en reniant son serment que Roland Dumas est aujourd’hui persuadé d’avoir fait ce que la République attendait de lui.
Ces faits étaient connus et avaient été énoncés à plusieurs reprises par des journalistes en 2010, et à nouveau en 2011 puis en 2013.
« Peut-on prendre le risque d’annuler l’élection présidentielle et de s’opposer, nous, Conseil constitutionnel, à des millions d’électeurs et ainsi remettre en cause la démocratie ? »
avait déclaré alors Roland Dumas pour forcer les « sages » à le suivre dans ses manipulations, bafouant la loi dont il était censé être le représentant suprême et indépendant, lui qui était justement chargé de veiller à la régularité de l’élection du président de la République.
Au-delà des déclamations sur le sauvetage d’un régime de décadence, Roland Dumas a également participé à masquer les probables actes de corruption de la tribu Balladur-Sárközy, permettant à ce dernier de poursuivre la carrière avec les répercussions connues pour la France et les Français. Soulignons encore qu’en 1999, Roland Dumas avait permis le renforcement de l’immunité du président de la République pendant la durée de ses fonctions, permettant au corrompu Jacques Chirac d’échapper à la justice et d’être élu à nouveau en 2002, comme son complice, « pour sauver la République »
Cet ignoble individu, qui se vante d’avoir sauvé leur République juive, est parfois honteusement présenté comme propalestinien, ou, encore plus mensongèrement, comme « antisémite ». S’il l’avait été, il aurait agi avec honneur et droiture. Et il aurait médité ces paroles de Robert Brasillach :
« On ne s’aperçoit pas qu’on encourage le mensonge, qu’on encourage le Juif. En finira-t-on avec les relents de pourriture parfumée qu’exhale encore la vieille putain agonisante, la garce vérolée, fleurant le patchouli et la perte blanche, la République toujours debout sur son trottoir. Elle est toujours là, la mal blanchie, elle est toujours là, la craquelée, la lézardée, sur le pas de sa porte, entourée de ses michés et de ses petits jeunots, aussi acharnés que les vieux. Elle les a tant servis, elle leur a tant rapporté de billets dans ses jarretelles ; comment auraient-ils le cœur de l’abandonner, malgré les blennorragies et les chancres ? Ils en sont pourris jusqu’à l’os. »
Que Dumas et ses amis profitent encore pendant qu’ils le peuvent,de cette putain comme dirait Robert Brasillach,quand nous serons au pouvoir,nous,nationalistes,ces gens là se balanceront au bout d’une corde sans jugement bien sûr,le peuple n’aura pas à leur payer un procés avec leurs impôts,leurs états de fait suffiront à les condamner. Qui vive? FRANCE!