Il y a bientôt deux siècles, la France lançait une attaque contre Alger, capitale d’une région sauvage, abandonnée de toute civilisation depuis le remplacement des Blancs par les envahisseurs arabes, devenue au fil des décennies un repaire de pirates pillant régulièrement les navires en Méditerranée, après avoir ravagé durant des siècles les côtes européennes, massacrant, violant, pillant et réduisant en esclavage des centaines de milliers de Blancs.
Après 70 ans de régime d’occupation, c’est désormais en France que les criminels étrangers pillent, violent et massacrent.
Dimanche, une vingtaine de pillards ont attaqué une rame du RER D qui se trouvait en gare de Juvisy-sur-Orge (vingt kilomètres au sud de Paris), peu après 5 heures du matin. Les personnes présentes dans la rame ont été agressées et dépouillées.
Plusieurs victimes se sont déjà signalées malgré les menaces des criminels. Une enquête – qui ne devrait pas bénéficier d’autant de moyens que ceux mis en branlent pour la fusillade de Marseille ayant gâché la journée de communication de Manuel Valls et blessé l’ego de l’occupant de Matignon – a été confiée à la brigade des réseaux ferrés (BRF). L’agent de ce dernier est d’ailleurs rapidement intervenu pour minimiser les faits :
« Sous réserve des résultats de l’enquête placée sous la direction du procureur de la République, il serait hasardeux d’établir un parallèle entre cette affaire, certes grave, et les faits commis en gare de Grigny en mars 2013 »,
a précisé le préfet de l’Essonne.
Ces faits sont loin d’être isolés. Tout près de là, à Grigny, une autre cité envahie de la région parisienne, plusieurs raids ont été menés ces dernières années contre les populations françaises.
En juillet 2014, des coupeurs de route avaient bloqué une bretelle de sortie de l’A6, sur la D 445, à la sortie Viry-Châtillon-Grigny. Comme au fin fond du plus sous-développé des pays étrangers, plusieurs véhicules avaient été arrêtés et leurs conducteurs et passagers dépouillés. Au moins trois véhicules avaient été ciblés ; un motard avait été violemment frappé. Il n’y avait eu alors aucune interpellation.
Un an plus tôt, en mars 2013, des étrangers avaient commis trois attaques violentes contre des rames de RER D en gare de Grigny. Le 16 mars, ce sont une vingtaine de criminels cagoulés qui s’étaient introduits dans une rame, frappant et blessant plusieurs passagers ; tous étant dépouillés de leurs portefeuilles, sac à main, bijoux, téléphones, etc.
Quelques racailles afro-maghrébines avaient été retrouvées. Jugées en juin 2013, elles avaient écopé de peines d’une clémence rare, véritable encouragement à récidiver. Aucun n’avait eu de prison ferme ; les peines les plus « lourdes » ayant été de la prison avec sursis pour cinq d’entre eux, la plupart s’en tirant avec des « avertissements » (sic). Le parquet avait requis jusqu’à 24 mois de prison.
Deux ans plus tard, l’incompétence, l’inefficacité et l’impuissance du gouvernement apparaissent à nouveau au grand jour en matière de criminalité. Deux ans plus tard, les transports en commun de la région parisienne sont toujours aussi peu sûrs. Deux ans plus tard, les racailles étrangères font toujours autant la loi dans les cités occupées.
Pour toute réaction à l’époque, Manuel Valls, qui était à l’époque ministre de l’Intérieur, avait réclamé aux Français « arrêter d’exploiter et d’instrumentaliser ces sujets », justifiant les attaques inexcusables de la racaille en évoquant certes des « actes tout à fait intolérables » – des faits pourtant qu’il tolérait tout autant ministre de l’Intérieur hier que premier ministre aujourd’hui – mais évoquant surtout cette « partie de notre jeunesse, une partie de nos quartiers à l’abandon » : comme si le fait d’avoir dégradé les bâtiments mis à leur disposition sans le moindre retour justifiait de s’attaquer aux Français !
Quelques mois plus tard, c’était, dans un contexte différent, lors d’un « crime d’opportunité », que les occupants s’étaient livré aux pillages et agressions lors du déraillement d’un train en gare de Brétigny-sur-Orge, toujours dans le même secteur. Outre les insultes racistes antiblanches et les caillassages contre les secouristes, plusieurs individus avaient pillé les effets personnels des victimes et même volé le matériel des professionnels portant secours aux victimes.
Ne s’agissant que de simples Français, Manuel Valls ne devrait pas intervenir, ne trouvant probablement pas qu’il s’agit de faits « intolérables », contrairement à « l’agression » d’un député franc-maçon et PS souffleté.
La corde également pour les juges, traîtres à la loi et complices de cette racaille.