Le mécanisme à l’air aussi pervers qu’infaillible : dans un premier temps, le gouvernement dissout, sans avoir à fournir la moindre preuve, sans le contrôle d’un seul juge « indépendant », un mouvement nationaliste en prenant prétexte d’une bagarre de rue avec laquelle ce mouvement n’a aucun lien. Dans un second temps, les juges « indépendants » poursuivent ceux qui osent se révolter contre cette dissolution dictatoriale et injuste comme ceux qui simplement veulent continuer à exercer leur droit de Français de peser sur la politique nationale corrompue et souillée par le gouvernement d’occupation. C’est ensuite à l’abri de cette double première condamnation que toutes les autres deviennent possibles : qu’importe la réalité ou la matérialité des faits : des Français touchés par une condamnation politique puis par une condamnation « judiciaire » ne peuvent qu’être des individus appelant à « la haine raciale », contestant de prétendus « crimes contre l’humanité », osant défendre et dire la vérité à propos d’organisations interdites par des tribunaux militaires étrangers, ou des chefs d’État français condamnés par des pantins aux ordres alors de Staline et du grand capital.
Mais s’il est pervers, leur système n’est en rien infaillible. Si le gouvernement s’affole aujourd’hui, c’est parce qu’il sait que nous avons raison. S’il nous vise chaque jour un peu plus, c’est qu’il sait que le constat que les nationalistes ont dressé de leur société depuis plus d’un siècle est vrai dans chacun de ses arguments, dans chacune de ses critiques : le matérialisme et l’argent roi, l’immigration et le judaïsme politique, la repentance et les mensonges historiques, la haine de race et de la France, la volonté de destruction du travail et de la famille, le jacobinisme républicain et la démocratie corrompue : tous les mythes de leur régime, la liberté, l’égalité, la fraternité, l’intégration, l’universalisme, la fin de l’histoire ont été dénoncés et déconstruits aussi bien par Charles Maurras que Julius Évola, Juan Donoso Cortès et Édouard Drumont, jusqu’aux penseurs d’aujourd’hui. S’il attaque aussi violemment, c’est parce que le système sent venir sa propre mort, c’est qu’il ne peut plus nier tous les signes de décadence, la violence dans les rues, les relations sociales explosives, l’invasion incontrôlée, la perte de tous les repères sociaux, culturels, même de ceux que prétendait imposer le régime, une économie atone couplée à un chômage de plus en plus massif, l’absence de tout sentiment d’appartenance à leur République, contestée jusque dans les rangs des avant-gardistes comme des millions de colons que ces derniers ont imposé sur notre sol.
Quand les Français auront enfin ouvert les yeux sur la purulence et la nocivité du système, quand ils auront compris l’étendue de l’invasion et l’importance de ce qui est en jeu, quand ils auront achevé de tester tous les partis républicains, de l’extrême gauche internationaliste marxiste à l’extrême populiste républicaine, il ne restera plus d’autre alternative que de se tourner vers ceux qui luttent pour ce qui a fonctionné parce que conforme à la vérité et aux lois de ce monde, adapté à ce qu’est l’humain avec ses forces et ses faiblesses, les défenseurs de la tradition et de l’ordre naturel, bien entendu, mais surtout les révolutionnaires, les nationalistes radicaux qui devant l’ennemi n’ont jamais baissé les yeux, ceux qui, dissous, persécutés, emprisonnés, n’ont jamais cessé de combattre pour la France.
Interrogé des parlementaires qui lui demandaient d’exclure le « champ social » des mesures liberticides décidées par le gouvernement, Bernard Cazeneuve a refusé, et a au contraire pointé du doigt les véritables ennemis visés par le régime. S’il a parlé pudiquement de « mouvance identitaire », c’est bien entendu avant tout le mouvement nationaliste qui est visé, lui qui subit la répression depuis maintenant plusieurs années.
Les nationalistes qui cherchent à redresser le pays et à le délivrer de l’occupation seront visés autant que les islamistes qui cherchent à provoquer le chaos et qui sont l’invasion, quand les terroristes juifs ou marxistes continueront à bénéficier de toute la bienveillance du régime.
« Notre objectif est, par des mesures de police administrative, sous le contrôle du juge des libertés, de prévenir des atteintes graves à la paix sociale »,
a osé le ministre de l’Intérieur de leur gouvernement d’occupation qui est seul et totalement responsable de la situation actuelle et de la guerre sociale importée en France.
« Que les choses soient claires, il y a des mouvements qui, en raison des actions qu’ils déclenchent, peuvent se trouver à l’origine de violences portant atteinte aux principes fondamentaux de la République. Je pense au mouvement identitaire […] mouvements identitaires de multiple nature »,
a précisé l’ennemi de la France.
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