Le ministre juif des Affaires étrangères Laurent Fabius et le ministre de Rothschild Emmanuel Macron du gouvernement Valls-Hollande ont longuement fêté hier la destruction de l’industrie française par la délocalisation en Algérie. Ils ont inauguré à Oran la première usine automobile d’Algérie ; cette usine y construira des modèles distribués en France sous la marque Dacia et qui le seront là-bas sous la marque Renault.
Les conditions de l’installation du constructeur automobile français – dont l’actionnaire le plus important reste l’État français avec 15 % – sont pourtant très désavantageuses pour les Français. Mais rien n’est trop beau ni trop cher – surtout quand ce sont les Français qui payent – pour les rêves de « réconciliation » de la gauche au pouvoir avec les successeurs des égorgeurs. Sans prendre en compte les précédents historiques – des viols et razzias au XIXe siècle au drame de 1962 – ou les conditions sécuritaires déplorables actuellement, Renault a dû concéder plus de la moitié des parts de l’usine à l’État FLN.
Ces derniers mois, d’autres entreprises qui suppriment des emplois en France ont installé ou repris des unités de production en Algérie, comme c’est le cas de Lafarge, Saint-Gobain et Sanofi.