« Je n’ai pas connaissance de dégâts particuliers »
Profitant de l’agitation créée par l’extrême gauche, plusieurs centaines d’Afro-Maghrébins ont « manifesté » lundi en Seine-Saint-Denis. À Saint-Denis, le lycée Suger a été incendié. De nombreuses voitures ont été dégradées autour de plusieurs établissements scolaires du département à Saint-Ouen et Saint-Denis ; plusieurs conteneurs à poubelles ont été brûlés. Des vols et des agressions ont été commis contre les lycéens par les habituels gangs ethniques. Plusieurs magasins ont également été attaqués et ont eu leurs vitrines brisées.
De tout cela, le représentant du ministère de l’Intérieur n’a rien vu.
« Je n’ai pas connaissance de dégâts particuliers »
a déclaré Nicole Isnard, le sous-préfet de Saint Denis. Des propos qui n’ont rien d’étonnant pour le représentant d’un gouvernement qui nie l’existence de l’invasion, de l’idéologie du genre, de la crise économique, de l’augmentation incessante du chômage et de la criminalité.
Lycée incendié, étudiants dépouillés, passant agressés : l’extrême gauche a pu contempler les résultats de ses manipulations d’étudiants poussés dans les rues – et accessoirement de la réalité de l’invasion en Seine-Saint-Denis occupée – pour officiellement commémorer la mort d’un militant, mais en réalité propager le désordre.
Nicole Isnard, une ennemie de la France récidiviste
À l’époque de Jacques Chirac, Nicole Isnard supervisait la correspondance présidentielle. Elle fut ensuite nommée sous-directrice de la protection sanitaire à la préfecture de police de Paris. C’est elle qui ordonnait les internements psychiatriques d’office, et qui est coupable de l’enfermement arbitraire du correcteur des ouvrages d’Hervé Ryssen.
Sur les réseaux sociaux, l’extrême gauche est restée totalement muette. Le syndicat UNSA qui se demandait justement en fin de semaine dernière pourquoi les professeurs refusent d’aller en Seine-Saint-Denis possède désormais une réponse précise. Les occupants, eux, se félicitaient du bilan de la journée et l’heure est au compte : combien de vols, d’agressions, d’incendies…
Les enfants monstrueux de leur République et de l’invasion
Les enfants rêvés de la République, des rappeurs et des médiats. Ils en ont rêvé… et ils l’ont fait. Qui s’étonnera demain des viols généralisés, des décapitations filmées, des massacres ? « Voilà ! Nique ta mère ! Voilà ! Nique ta mère !… »
Les monstres de la République face à la police de Manuel Valls
Toujours ce lundi en Seine-Saint-Denis occupée, les racailles étrangères de 15 ans – ces chances pour la France vantées régulièrement depuis deux ans par François Hollande – ont mis en fuite la police de Manuel Valls.