Incapable de gérer l’invasion de la France, et particulièrement la situation dramatique à Calais, Bernard Cazeneuve, parlant au nom du gouvernement, a officiellement redemandé aux délinquants africains d’avoir l’amabilité de faire une demande d’asile en France, plutôt que de vouloir poursuivre leurs agressions contre l’Europe en Grande-Bretagne. En pleine révision du texte sur le droit d’asile, cette demande en dit long sur la conception qu’en a Bernard Cazeneuve, pour lequel il ne semble visiblement aucunement attaché à la situation des prétendus « réfugiés », mais être le meilleur moyen pour les « migrants » d’obtenir de rester dans le pays envahi.
La hausse de ces demandes d’asile conduira les Français, en plus de subir leur présence, de devoir financer leur présence durant plusieurs mois, payer leur logement, leur nourriture – ils le font déjà pour ce qui concerne les soins.
Après avoir obtenu l’asile en France, ce que Bernard Cazeneuve leur assure quasiment de facto, ils pourraient à terme passer en Grande-Bretagne ; le gouvernement espère sans doute qu’ils feront comme les millions d’étrangers, avec ou sans papiers, réfugiés ou non, vivant en France aux dépens des Français à vie. Avant, reconnaissance du ventre oblige, qu’ils ne deviennent à leur tour les derniers électeurs d’un Parti socialiste en plein naufrage. Dans les deux cas, Britanniques ou Français, les victimes demeureront les peuples d’Europe subissant l’invasion avec la complicité active de leurs gouvernants.
« Il y a la volonté du gouvernement de développer les centres d’accueil de demandeurs d’asile, et nous avons mis des moyens significatifs pour inciter les migrants qui relèvent de l’asile en France à le demander en France »
a-t-il déclaré en visitant le chantier d’un centre d’accueil pour délinquants étrangers en cours d’achèvement. Le centre Jules Ferry devrait commencer à distribuer des repas chauds et disposer d’installations sanitaires dès la mi-janvier. Il n’a fait aucune annonce concernant les attaques contre les frontières françaises ni sur le rapatriement des millions de colons. Le ministre de l’Intérieur n’a pas non plus évoqué le coût des travaux du centre Jules Ferry pour le contribuable.
Alors que le gouvernement et les associations extrémistes niaient une très violente aggravation de la situation sécuritaire à Calais, le ministre de l’Intérieur a prétendu que la mise en place de mesures spéciales a permis de faire baisser les cambriolages et les dégradations de biens publics de 20 % et les vols de deux roues de 77 % depuis octobre. Mais l’arrivée d’environ 120 fonctionnaires de police s’est révélée cependant totalement inopérante face aux véritables problèmes causés par l’invasion : les vols avec violence ont explosé en deux mois : +20 %, atteignant un taux jamais connu dans la ville picarde.