Manuel Valls a annoncé hier une nouvelle série de mesures liberticides, dont les Français seront – et sont déjà – les premières victimes et qui ne serviront absolument à rien contre des terroristes islamistes prêts à mourir pour leur cause, et alors que les véritables mesures à prendre – la destruction de leur république et le renvoi de tous les étrangers – sont ignorées.
Un fichier sera créé pour répertorier les terroristes. Officiellement, seules les personnes condamnées doivent être fichées ; la mesure pourrait cependant facilement être étendue aux personnes mises en cause, ce qui permettrait de faire surveiller de nombreux nationalistes.
Alors que déjà environ 3 000 terroristes sont – ou doivent être – surveillées, 2 680 emplois seront créés dans les trois ans. Le tout doit coûter, toujours selon les estimations officielles, 425 millions d’euros sur trois ans.
Le gouvernement d’occupation a demandé hier à ses partenaires de l’ONU de s’organiser pour rendre les opérateurs des réseaux sociaux responsables des contenus antirépublicains.
« Il y a des vidéos de haine, des appels à la mort, de la propagande qui restent sans réponse et à laquelle nous devons répondre. Nous devons limiter la dissémination de ces messages. Nous devons établir un cadre légal afin que ces plate-formes sur internet, les grandes compagnies qui gèrent les réseaux sociaux, soient appelées à agir de manière responsable » »
a déclaré le secrétaire d’État étranger aux Affaires européennes Harlem Désir, alors que l’ONU travaille pour lutter contre « l’antisémitisme » – mais pas ses causes.
Interrogé sur France Télévision hier soir, Bernard Cazeneuve, comme Jean-Claude Urvoas l’avait fait, s’est prononcé pour le prolongement des écoutes téléphoniques administratives – c’est-à-dire sans réel contrôle judiciaire – doivent pouvoir être prolongées « pour des publics extraordinairement dangereux » et « des cellules dormantes qui à tout moment peuvent se réveiller », y compris « l’entourage » des présumés terroristes. Sans contrôle, ces écoutes pourraient rapidement être généralisées à tous les suspects d’antirépublicanisme, à commencer par les nationalistes contre lesquels l’accusation de « terrorisme » a déjà été utilisée. Il s’agit de plus d’une mesure totalement inutile, puisque seule l’expulsion massive des étrangers serait en mesure d’éloigner la menace et de rendre aux Français leur sécurité.
Pendant ce temps-là, les condamnations pour « apologie du terrorisme » se poursuivent. Un individu de 21 ans – non islamiste, mais dont l’appartenance raciale n’a pas été précisé – a écopé en comparution immédiate de 12 mois de prison, dont 6 ferme à Agen. Ce multirécidiviste, contrôlé sans billet dans un train avait déclaré aux contrôleurs : « Ce sont des héros, ils ont eu raison, Charlie n’a eu que ce qu’il méritait ». Son frère et sa sœur ont été interpellé à l’audience alors qu’ils menaçaient et insultaient le tribunal. La sœur était recherchée pour une autre peine de prison…
La république socialiste de France qui n’est pas une dictature mais une oligarchie manipulée par l’Union européenne capitaliste et pour le marxisme culturel (UECMC) qui dans la continuité de leur prédécesseur le grand staline ou le grand mao, ironie bien sur, faisaient surveillé toutes personnes remettant en cause le bolchevisme. Alors que chez les dirigeants nationalistes seuls la critique du chef et du régime était interdite.