Un clandestin comme chef des jeunes sárközystes
Le délinquant camerounais Stéphane Tiki, présent sur le territoire national illégalement depuis une dizaine d’années, a annoncé sa « mise en retrait » des Jeunes populaires (JP, parfois dits « Jeunes pop »), la branche des jeunes arrivistes de l’Union pour un mouvement populaire (UMP).
Le Canard enchaîné a révélé qu’il est en « situation irrégulière », présent en France depuis de longues années au mépris de nos lois et en ayant violé nos frontières. Cet individu a été nommé par Nicolas Sárközy en décembre, pour mettre fin à de longs mois de crise des JP. Le président de l’UMP a, une fois encore, totalement échoué.
Pour tenter de minimiser l’impact de ce colossal scandale révélant la véritable nature de l’UMP, un parti ultra-libéral au service de la submersion de la France, Nicolas Sárközy l’a poussé à sa « mise en retrait » immédiate. Après dix jours de crises, Nicolas Sárközy n’avait pas besoin d’une nouvelle polémique démontrant la trahison, ma corruption et l’amateurisme de l’UMP.
Un clandestin prétendant lutter contre les régularisations et… bientôt régularisé
Stéphane Tiki est membre de la « Droite forte », la prétendue aile droite du parti libéral pro-invasion, dirigé par Guillaume ‘Com+1’ Peltier, ex-FNJ, ex-FN, ex-MNJ, ex-MNR, ex-ACEP, ex-MPF, ex-UDF, et Geoffrey Didier. Ce dernier avait rejoint la « Droite forte [rigoureusement sic] » après sa rencontre avec Guillaume Peltier. Auparavant, il animait au sein de l’UMP « La Diagonale », regroupant les sárközystes de gauche, favorables, entre autres, à la destruction de la famille et de l’institution du mariage par son ouverture aux paires de déviants sexuels.
Le Parti communiste et le Parti socialiste, qui prétendent combattre les libéraux, ont réclamé la régularisation du délinquant. À cause des politiques criminelles de l’extrême gauche, cela devrait bientôt être le cas.
« Tant pour garantir l’issue favorable de ma demande, que pour assurer la sérénité de l’action des Jeunes Populaires, j’ai décidé de me mettre en congé de sa direction »
a précisé hier le clandestin.
« Ce que je peux lire dans la presse sur la situation me concernant est inexact et mensonger. Il n’y a en réalité aucun sujet, j’ai fait une demande de naturalisation qui est en cours […] mes parents ont été mariés en France par Jacques Chirac »
a-t-il précisé hier, osant ajouter, après avoir violé nos frontières et nos lois :
« Je n’ai pas attendu d’obtenir la nationalité française pour m’engager pour ce pays que j’aime. Je vis en France, j’ai étudié au lycée Français [sic] et en France, je travaille en France. Je respecte les institutions [sic] et surtout j’aime profondément la France ! »
Transparence : le site de la « Droite forte » mis hors ligne par les immigrationnistes honteux
Guillaume Peltier a été l’une personnalité éclaboussée par le scandale Bygmalion. Si selon leur loi les juges n’ont pour l’heure – malgré perquisitions et garde à vue – rien trouvé de répréhensible, il en va différemment de sa probité morale. Il avait alors notamment fait mettre son site personnel hors ligne aux premiers problèmes. Sa pseudo « société de communication » n’a elle pas de site internet…
Les mois passent et les pratiques immorales de l’UMP se poursuivent : le groupuscule pro-invasion a fait mettre dès l’éclatement du scandale Tiki le site hors ligne. Il s’agit de masquer la duplicité des libéraux, prétendant lutter contre l’invasion qu’ils favorisent en réalité. Il s’agit d’une curieuse pratique pour le plus important courant de l’UMP.
Malheureusement pour les escrocs immigationnistes, nous avons été en mesure de retrouver les articles publiés sur le site de ladroiteforte.fr ces dernières années. Les positions en matière d’expulsion des clandestins et de refus absolu de toute « assimilation » (Marine Le Pen dixit) doivent être lues pour comprendre à quel point ces politiciens mentent à leurs militants.
La « Droite forte » pour l’expulsion de tous les clandestins – quid de M. Tiki ?
Parmi les textes figurant sur le site avant qu’il ne soit débranché hier, se trouve l’entretien de Jean-François Battini délégué de la Droite forte pour la Corse. Il dénonce « des tensions liées au communautarisme et à une immigration excessive », « sans même parler du droit de vote envisagé pour les étrangers, on a ouvert les vannes d’une immigration non maîtrisée au détriment des résidents qui trouvent du travail plus difficilement et ne bénéficient pas du système de protection sociale hyper-avantageux dont certains savent très bien tirer parti. »
Dans un entretien à France soir en janvier 2014, Geoffroy Didier déclarait :
« Nous proposons que les étrangers venus clandestinement en France soient reconduits avec leurs enfants dans leur pays d‘origine et que ni les parents, ni les enfants ne puissent acquérir la nationalité française. Par respect pour tous les étrangers qui respectent nos règles et nos lois, il ne doit pas y avoir de droit du sol pour les clandestins, car pour qu’il y ait droit du sol, encore faudrait-il qu’il y ait eu un droit au sol ! »
Le sárközyste de gauche s’est déjà renié. Comme le dernier des socialistes trouvant des excuses aux délinquants, les principes affichés par La Droite forte ne s’appuient en réalité sur rien. Parler d’expulsion, c’est bon pour récolter les voix des sympathisants UMP, qui, après 14 ans de cocufication, en redemandent.
La suppuration ethnique à la tête des « Jeunes pop » n’est pas une nouveauté : avant le délinquant Africain Stéphane Tiki, les JP ont été dirigés par l’israélite Benyamin Lancar. Le copéiste Jonas Haddad serait déjà sur les rangs, ainsi que les fillonniste Mahmoud Tall, pour le remplacer.