À l’occasion d’une grève organisée par des délinquantes étrangères africaines « exploitées » par leurs congénères à Paris, certains activistes d’extrême gauche, de la CGT ou du PC, avaient découvert la réalité de l’invasion. Très loin des schémas anticolonialistes et racistes antiblancs (dit « antiracistes »), la situation leur avait révélé l’altruisme des Blancs aidant des étrangères ayant pourtant violé leurs frontières et leurs lois, contre d’autres Africains, eux en situation « légale » (sic).
Parmi ces derniers, certains se sont montrés violents, voire très violents, non seulement contre leurs employées en grève, mais encore contre leurs soutiens. Leur haine était d’autant plus grande à l’égard de ces derniers qu’elle était motivée par le racisme antiblanc si courant parmi les occupants.
L’un d’eux a d’ailleurs été poursuivi devant le tribunal correction de Paris pour des menaces de mort à l’encontre de syndicalistes, mais aussi – et c’était le plus grave – pour des propos racistes.
Trois syndicalistes d’extrême gauche avaient ainsi été menacés par un patron-colon africain d’être « décapités », eux tout comme « toute [leur] famille ».
« Les Blancs n’ont pas à s’occuper de ce qui se passe dans le quartier »,
avait-il ajouté.
Sans surprise, les juges rouges l’ont totalement blanchi concernant les insultes racistes. Deux des trois plaignants ont été totalement déboutés de leurs demandes. La dernière, Marilyne Poulain, responsable invasion au sein de la Confédération générale du travail (CGT) Paris, n’a obtenu la condamnation que pour les menaces de mort.
Le délinquant africain n’a été condamné qu’à deux mois de prison avec sursis, bien moins que les déjà faibles six mois avec sursis demandés par le procureur. La victime des menaces n’a obtenu que 500 euros de dommages et intérêts pour le préjudice moral, refusant de faire prendre en charge les frais d’avocats par le condamné.