Les conséquences de la politique d’invasion de la France imposée par leur République sont habituellement niées par les statisticiens officiels du régime, l’INSEE ânonnant depuis plusieurs décennies que « le nombre d’étrangers en France n’augmente pas », relayés par les désinformateurs habituels, tels les « décodeurs » du Monde, mentant effrontément (« 7 idées reçues sur l’immigration et les immigrés en France ») arrivant même à découvrir « une légère baisse de la part d’étrangers ».
À l’occasion d’un rapport remis à Najet Belkacem – une “Française” – le Conseil national d’évaluation du système scolaire évoque les établissements scolaires « ghettos » où les colons sont désormais majoritaires, voire seuls. Il ne s’agit pas de s’attaquer au racisme antiblanc, encore moins à la politique d’invasion, mais au contraire d’obliger les Blancs à cohabiter avec ceux qu’ils fuient, de « mélanger », de « mixer ».
Le reportage de TF1 est éloquent concernant la disparition des Blancs dans des villes entières, rappelant encore le racisme du gouvernement qui alloue des milliards aux établissements fréquentés par les étrangers au détriment des écoles de Français. Il s’agit ici de Créteil, dans la zone ethniquement perdue du Mont-Mesly.
« Chaque territoire a son mode de vie, chaque territoire ses établissements scolaires. Et selon les règles définies par la carte scolaire, d’année en année, les élèves vont immanquablement dans le collège de leur quartier. En haut de la ville, dans la cité du Mont-Mesly, les enfants sont scolarisés au collège Amédée Laplace. […] Tout change ici, grâce à la politique d’éducation prioritaire pour les collèges des cités. Bâtiments flambant neufs, nouvelle direction et rigueur dans la discipline.
Tout change, sauf la population. “Ce ne sont que les enfants de la cité ici, c’est pour ça qu’il y a beaucoup plus de noirs et d’arabes que de blancs”, explique Fatia qui a terminé les cours plus tôt ce jour-là. […] “il y a moins de 10 Blancs pour 376 élèves”, aux dires d’un élu. “C’est bien comme ça. Les Français se mélangent pas, et nous non plus !” lâche Atim, 15 ans, le visage surpris par une question sur la mixité. […] On a beau donner plus de moyens financiers aux populations scolaires les moins favorisées, la reproduction des inégalités sociales ne se réduit pas, bien au contraire. “Le manque de mixité pèse sur le quotidien et cela se ressent sur les résultats scolaires. Le paysage mental de ces élèves s’arrête au quartier. Il y a chez eux la difficulté de se projeter sur des exemples de réussite au lycée ou plus tard.”, explique Jacques Rusin [le principal].
Avec ses mots, Maissata, ancienne du collège de la cité et aujourd’hui jeune maman, ne dit pas autre chose. “Je regrette de ne pas avoir pas été mélangée, on avait tous le même mode de vie dans le quartier. Donc quand je suis arrivée au lycée, c’était plus difficile de s’intégrer. Je veux pour mes enfants un collège mélangé”. »
Mais au-delà des mensonges habituels de la propagande, d’un monde sans problème et d’une mixité idyllique, il est question subrepticement des élèves qui « fuient vers le privé », de professeurs qui « veulent souffler après des années dans un collège difficile [comprendre : envahi] », sans que jamais ne soit posée la question : pourquoi ?
Heureusement, les équipes de TF1 ont trouvé les coupables de tout cela : « les familles privilégiées [Blanches, évidemment], elles, ne souhaitent pas de mélange ».
Un ramassis de salopards hypocrites. Les journalopes veulent des colons partout, sauf chez eux.
https://www.youtube.com/watch?v=2kSR6i2wyGc