Selon une enquête publiée par la revue américaine Circulation, la consommation de boissons sucrées est responsable chaque année de la mort de 184 000 personnes dans le monde. Les « sodas » seraient responsables de diverses maladies pouvant devenir graves et conduire à la mort, comme le diabète (133 000 décès), les maladies cardiovasculaires (45 000) et les cancers (6 450).
« De nombreux pays enregistrent un nombre élevé de décès résultant d’un seul facteur diététique à savoir les sodas et autres boissons fruitées ou sucrées comme les thés glacés, dont une forte réduction de la consommation ou leur élimination devrait être une priorité planétaire »,
selon le doyen de la faculté des sciences de la nutrition à l’Université Tufts à Boston (Massachusetts), principal auteur de l’étude. Le Dr Dariush Mozaffarian et son équipe ont travaillé à partir de 62 études ayant concerné 611 971 personnes dans 51 pays entre 1980 et 2010 et des données officielles concernant le sucre, le taux de diabète, etc. par pays.
Le Mexique et les États-Unis sont les deux pays les plus touchés selon les auteurs de l’enquête.
Le groupe nationaliste suisse Résistance helvétique (RH) a publié en lien avec cette information le texte suivant.
Être nationaliste ne se limite pas à des idées ou des convictions politiques. Ce n’est pas seulement un amour sans borne pour sa patrie, sa famille et ses traditions. C’est aussi un véritable mode de vie. C’est prôner une existence saine et équilibrée. Faire du sport, découvrir la nature, consommer des produits du terroir et s’habiller décemment. C’est se montrer droit dans ses bottes et bien dans sa peau à l’époque de la dégénérescence et du mal-être général et ambiant. C’est montrer à nos élites que nous savons garder la tête haute malgré les coups qu’ils nous assènent. C’est cesser d’être en permanence dans la dénonciation et être en priorité dans l’engagement et dans la construction. C’est garder le sourire, l’espoir, la certitude de notre triomphe pour montrer à ceux qui veulent nous couler que nous sommes, à l’instar des valeurs que nous défendons, immortels.
Dans cette démarche, le nationaliste doit éviter la “mal bouffe”, le gavage à l’américaine, les produits issus d’une agriculture destructrice et mortifère. Il doit éviter les “fast-food”, boycotter, dans la mesure du possible, les aliments et boisons aux ingrédients dangereux aussi bien pour les hommes que pour les sols sur lesquels ils sont cultivés. Nous ne sommes pas en train de vous dire que le régime du nationaliste doit se faire de pain sec et d’eau ou qu’il doit se nourrir de graines. Mais il apparaît évident, pour un homme censé et amoureux de sa patrie, de consommer de façon à préserver nos sols, notre environnement, nos agriculteurs et nos spécialités culinaires séculaires.
Se nourrir correctement et avec des produits locaux c’est aussi refuser, en partie, un mode de vie qu’on nous impose. Celui de la culture américaine, de la consommation de masse et du bénéfice financier au profit de la santé. Un mode de vie imposé et qui dure – ou du moins qui s’accentue – depuis l’invasion de 1944 par les soldats US. Une invasion culturelle sous couvert de libération et débutées avec des viols, des morts et des incendies et qui continue de nous nuire des décennies plus tard. Une vraie bombe à retardement laissée sur notre sol et qui détruit aujourd’hui l’Europe de l’Ouest. La libération passera aussi par ces points qui peuvent paraître détails. Elle passera par des Européens qui se réveillent et qui, pas à pas, avec une radicalité grandissante, sortiront du moule dans lequel ils sont façonnés par le mondialisme.